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Nailbiter tome 1 sur 8
EAN : 9782331023354
Glénat Comics (29/06/2016)
4.05/5   51 notes
Résumé :
L'enfer a un nom... Buckaroo, Oregon, a donné naissance à 16 des plus dangereux serial killers des États-Unis. Cette ville nourrit l'obsession de Caroll, profiler au FBI, depuis que le dernier « boucher de Buckaroo », Edward « Nailbiter » Warren, a été acquitté au tribunal et lui a filé entre les doigts. Comment une si petite ville a pu voir émerger tant de meurtriers ? Finch, agent à la NSA, doit rejoindre Caroll pour élucider cette énigme sur place. Mais quand il ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Ce tome est le premier d'une série indépendante de toute autre. Il comprend les épisodes 1 à 5, initialement parus en 2014, écrits par Joshua Williamson, dessinés et encrés par Mike Henderson, avec une mise en couleurs réalisée par Adam Guzowski.

Avec l'aide d'une équipe SWAT (Special Weapons And Tactics), il y a 3 ans l'inspecteur de police Eliott Carroll procédait à l'arrestation d'Edward Charles Warren, le meurtrier en série surnommé Nailbiter. Il choisissait ses victimes parmi les gens qui se rongent les ongles, et leur mangeait le doigt jusqu'à l'os, pour les tuer après. Accusé de 45 crimes il avait été jugé non coupable. de nos jours, Eliot Carroll contacte son collègue Nicholas Finch du service de renseignement de l'armée pour le rejoindre dans la ville de Buckaroo dans l'Oregon.

En arrivant à Buckaroo, Finch découvre que Carroll a disparu. Il enquêtait sur la raison pour laquelle plusieurs tueurs en série étaient originaire de cette ville. Il fait connaissance avec l'inspecteur Shannon Crane (responsable de la police), avec Raleigh Woods (propriétaire du magasin souvenirs sur les tueurs en série, et petit-fils de Norman Woods l'un des premiers tueurs en série de Buckaroo), Alice (une jeune femme très curieuse) et Edward Warren, revenu habiter dans sa ville natale.

Peu de temps après avoir lancé la série Ghosted (à commencer par Haunted heist chez Image, dans la branche Skybound, celle de Robert Kirkman), Joshua Williamson lance une deuxième série, toujours chez Image, mais sans la tutelle de Skybound. Dès le premier épisode, le lecteur qui a lu Ghosted voit bien la différence. Cette fois-ci, il s'agit d'un thriller bien sanglant. Dans les phrases promotionnelles en quatrième de couverture, Scott Snyder espère que si Joshua Williamson venait à mourir, il lui lèguerait cette série. Il attire ainsi l'attention du lecteur sur la perspicacité du point de départ : 16 tueurs en série sont nés dans la même ville, Buckaroo dans l'Oregon.

Rapidement le lecteur se rend compte que Joshua Williamson joue avec les conventions du genre thriller, et avec celles du sous-sous-genre tueur en série. Alors qu'il est en cellule, Edward Warren interpelle une jeune femme qui vient lui rendre visite en l'appelant Clarice. Elle fait mine de ne pas comprendre, puis se moque de lui en expliquant qu'elle connaît bien cette référence à le silence des agneaux (1988) de Thomas Harris, et qu'il ne ressemble pas à Anthony Hopkins dans le film du même nom (1991) de Jonathan Demme. Il ajoute une petite touche de dérision, avec un personnage expliquant qu'il ne souhaite pas participer à une enquête de type Scoobidoo. Il prend également un malin plaisir à imaginer des modus operandi pour les tueurs en série, du Book Burner qui brûlait les bibliothèques avec les usagers à l'intérieur (parce qu'il ne savait pas lire), à la Blonde qui coupait les langues et cousait les lèvres de ceux qui la harcelaient dans la rue (après les avoir provoqués, avant de les tuer). le lecteur comprend vite que le scénariste maîtrise les conventions du genre, et que la dimension horrifique est bien présente.

Le scénariste a conçu son récit sur un fil directeur très simple : un enquêteur de l'armée (Nicholas Finch, de la National Security Agency) est à la recherche d'un collègue du FBI dans une petite ville. Dès la première séquence, il indique que cette histoire contient son lot d'horreurs. Il n'est pas si facile que ça de mettre en scène une horreur visuelle dans les comics, parce que le dessinateur peut vite tomber dans les monstres pas beaux génériques, et parce que c'est le lecteur qui gère le rythme de lecture ce qui rend difficile de le surprendre par une image choc. Joshua Williamson joue avec son lecteur de manière adroite pour au contraire tirer parti de ces contraintes.

Cela commence avec la scène d'arrestation d'Edward Warren où il est en train d'attaquer un petit doigt avec les dents, dans un dessin en double page. le niveau de détails n'est pas photoréaliste. le lecteur ne voit pas la chair déchirée. Les tâches de sang sont trop étalées pour être plausibles. Mais l'horreur de l'occupation de Warren apparaît pleinement et reste dans l'esprit du lecteur. Ce dernier est alors sur ses gardes, mais la scène change de suite pour montrer Finch envisageant de se suicider, son pistolet sur la tempe, dans sa chambre. Il n'y a pas d'explication très peu de mots, juste un fait montré de manière manifeste. Les auteurs ont réussi à éveiller la curiosité du lecteur et à lui faire comprendre qu'il lui appartient d'établir les éventuels liens de cause à effet. Aussi quand Finch se fait piquer par une abeille dans le coup à peine arrivé à Buckaroo, le lecteur se demande ce qu'il doit faire de cette information.

Les auteurs continuent de maintenir le lecteur déstabilisé entre l'anticipation et l'attente. Alors que Finch est le passager dans la voiture de Shannon Crane, il aperçoit une silhouette cagoulée dans les bois. La scène se déroule dans une page comprenant 5 cases de la largeur de la page, sagement disposées les unes au-dessus des autres. La première, la troisième et la cinquième montrent le visage de Finch ; les deuxième et quatrième montrent ce qu'il aperçoit. le lecteur a donc tout loisir de revenir sur la deuxième case où se trouve la silhouette à côté d'un arbre. Par contre, il ne peut pas savoir ce qu'en pense Finch, s'il croit l'avoir imaginée ou s'il s'est déjà fait une idée sur l'individu qui joue à ce petit jeu. Il se demande lui-même s'il doit prendre le dessin comme une information solide, ou s'il doit l'interpréter comme une invention de l'esprit de Finch (et il a tout loisir de regarder le dessin autant de fois qu'il veut, aussi longtemps qu'il veut).

Ainsi déstabilisé, le lecteur doute du sens de ce que montrent les images, et apprécie la dimension ludique de la lecture. Lorsque Warren et Crane sonnent à la porte d'Edward Warren, celui-ci leur ouvre la porte alors qu'il porte un tablier tâché de sang. Bien sûr, ce ne peut pas être la preuve trop évidente du fait qu'il a bien tué Eliot Carroll. Mais d'un autre côté, comme les auteurs le mettent tellement en évidence, c'est peut-être une fausse preuve pour détourner l'attention du fait que c'est bien lui' Au petit jeu du "Je sais que tu sais que je sais que tu sais", le lecteur finit par remettre en cause tout ce qu'il sait sur les conventions.

Mike Henderson dessine de manière réaliste, avec un petit degré de simplification qui facilite la lecture de ses planches. Même si le lecteur peut observer une proportion significative de cases avec des têtes en train de parler, cela ne dérive pas jusqu'à une monotonie visuelle, car le dessinateur prend soin de souligner le mouvement corporel qui accompagne les paroles, les expressions restent de type naturaliste. En outre Adam Guzowski réalise une mise en couleurs qui habille discrètement les dessins, sans les supplanter. Il établit une couleur dominante par séquence pour développer une ambiance. Il joue avec restreinte sur les variations de nuance pour ajouter un tout petit de volume.

Mis à part cet usage un peu fréquent de la tête en train de parler, le lecteur apprécie la manière dont ce dessinateur sait s'investir pour établir un environnement : la façade de très mauvais goût de la boutique des tueurs en série, la cuisine d'Edward Warren, les abords de l'église, le cimetière spacieux. Il tique un peu devant les dimensions de la pièce qui sert à Morty (Garth Digging, le médecin légiste). Henderson donne une apparence spécifique à chaque personnage, avec des morphologies normales (pas de musculature ou de poitrine hypertrophiée) qui les rend facile à reconnaître, sans en faire des monstres de foire. Les tenues vestimentaires sont variées et cohérentes avec la personnalité de chacun (même s'il est inattendu que Nicholas Finch porte des chemises roses).

Mike Henderson a dû faire des choix quant au mode de représentation des images horrifiques. le scénario ne repose pas exclusivement sur ces moments choc. Ce dessinateur a un sens très sûr pour concevoir un découpage de planche qui fera monter la tension, soit en utilisant des plans habituels dans ce genre de récit, s'appuyant ainsi sur une convention visuelle dont le lecteur a bien conscience qu'elle ne signifie peut-être pas la même chose que d'habitude (mais peut-être que si). Pour les images choc, il a donc choisi de ne pas donner dans le photoréalisme, préférant une forme simplifiée, des tâches de sang un peu simplifiées, sans rendre compte de sa texture visqueuse, sans représenter les croûtes de sang séché. de même quand il dessine les lèvres cousues avec un fil épais, il ne s'attarde pas sur les plaies, les orifices, etc. Mike Henderson insiste plus sur l'impression que sur le gore voyeuriste, et ça fonctionne très bien.

À la fin de ce premier tome, le lecteur sait qu'il est accro. Il a passé plusieurs dizaines de minutes à découvrir quelques habitants de Buckaroo, à prendre connaissance des exactions de plusieurs tueurs en série, à essayer d'assembler des pièces de puzzle très intrigantes. Les auteurs jouent avec ses attentes et avec sa capacité d'anticipation sur les conventions du genre, avec un savoir-faire attestant de leur maîtrise du genre.
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Dans le passionnant The Lever of Riches: Technological Creativity and Economic Progress, l'historien de l'économie Joel Mokyr, récipiendaire du Prix Balzan en 2015, étudie entre autres les sources de la croissance, le développement économique moderne et durable, le progrès technologique - pour le dire différemment et pour paraphraser Adam Smith, il s'intéresse à ce qui fait la richesse des nations.

Au chapitre 10 consacré à la révolution industrielle, il étudie les phénomènes conduisant à la constitution de « clusters » - regroupement, grappe ou agglomérat en français ; souvent le terme « cluster »* est utilisé en français également - comme la Silicon Valley actuelle. Selon lui, ces phénomène ne sont pas propres à la technologie mais se retrouvent également dans la peinture (les peintres néerlandais au XVIIème siècle) ou la musique (la musique autrichienne au 18ème et 19ème siècle) :

« Clustering phenomena are not, of course, confined to technology : Dutch painting in the seventeenth century and Austrian music in the eighteenth- and nineteenth centuries come immediately to mind. Although the emergence of talent may be uniformly distributed over time, its focusing and employment surely are not. There were few British artists of much importance between 1770 and 1830. Apart from a cluster of romantic novelists and poets, centerstage was held by engineers, scientist, and political economists. (Chapter 10. The Industrial Revolution : Britain and Europe) ».

Même si les auteurs de Nailbiter ne citent pas le livre de Joek Mokyr, ils reprennent cette idée de « cluster », de concentration d'individus dans une même zone géographique et à la même époque en l'appliquant aux tueurs en série.

La ville de Buckaroo où se déroule l'action de cette bande dessinée a enfanté 16 serial killers parmi les plus sanguinaires des États-Unis. La gloire locale, Edward « Nailbiter » Warren, a contre toute attente été récemment acquittée de ses crimes. Lorsque Eliott Caroll, celui qui avait procédé à l'arrestation de Warren, l'appelle car il pense avoir trouvé la raison de ce « cluster » de tueurs en série, Nicholas Finch, un agent de la NSA, rapplique à Buckaroo. À son arrivée, Caroll a disparu ; Finch va alors coopérer avec Shannon Crane, la responsable locale de la police, et avec Warren lui-même, tout en croisant la route de joyeux drilles.

L'idée de départ est plus qu'intéressante et le traitement tant au niveau du scénario - pour l'instant je n'ai lu que le deux premiers tomes - que du graphisme tient la route. Les auteurs maîtrisent bien les codes du genre, les clins d'oeil au rendez-vous, l'action également et une réflexion sur les tueurs en série et notamment leur starification.

* le cluster est défini comme « un groupe d'entreprises et d'institutions situées dans une même région géographique spécifique et interdépendantes dans l'approvisionnement d'un ensemble de produits et/ou services. A cause de leur proximité (à la fois en termes géographique et d'activités) les composants des clusters jouissent des avantages économiques de plusieurs types d'externalités positives spécifiques à leur localisation. Ces externalités comprennent, par exemple, l'accès à des ressources humaines et à des fournisseurs spécialisés, l'externalité des connaissances, une pression pour être plus performant face à une compétitivité accrue, et un apprentissage permanent grâce à une étroite interaction avec des clients et des fournisseurs spécialisés. » (Christian Ketels)
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Les comics, c'est comme les mangas : il y en a des bons et des mauvais. En l'espèce, nous avons un titre qui semble sortir du lot avec toutes mes faveurs. Ce n'était pourtant pas aussi évident au vu du synopsis.

Nous avons une petite bourgade perdue des Etats-Unis qui a la particularité d‘avoir vu naître pas moins de 16 serial-killers à travers les siècles. Il y a comme une espèce de malédiction si bien que chaque habitant peut avoir une parenté avec l'homme qui a tué telle victime parce qu'elle se rongeait les ongles. le titre nailbiter ne trompera pas sur la marchandise (nail veut dire ongle en anglais pour ceux qui n'auraient toujours pas compris). Il est clair qu'après cette lecture, l'envie de se ronger les ongles va vous passer.

Pour le reste, on aura droit au duo de choc entre la shérif qui s'est un peu laissé aller durant sa jeunesse avec de mauvaises fréquentations et le flic accusé de meurtre. Rien que cela. Evidemment, on ne va pas s'ennuyer au gré de cette enquête qui va se révéler assez passionnante car des rebondissements sont à prévoir.

C'est assez bien agencé et le dessin n'est pas vilain. Pour le reste, il fallait y penser à ce village au tourisme un peu macabre. C'est cela où les faux miracles ! Bref, c'est à s'en mordre les doigts !
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"Nailbiter Tome 1" de @Williamson_Josh et @MikeSHenderson chez @GlenatComics

Voilà encore une série où j'ai sauté sur l'occasion qu'elle soit à prix réduit sur Iznéo, pour l'acquérir et la lire. Je parle bien sûr de "Nailbiter" de Joshua Williamson et Mike Henderson chez Glénat Comics. Je vais essayer de développer cette chronique tome par tome, pour vous montrer à quel point cette série est géniale. Alors partons pour le premier épisode de notre voyage à Buckaroo.

"L'enfer a un nom...Buckaroo, Oregon, a donné naissance à 16 des plus dangereux serial killers des États-Unis. Cette ville nourrit l'obsession de Caroll, profiler au FBI, depuis que le dernier « boucher de Buckaroo », Edward « Nailbiter » Warren, a été acquitté au tribunal et lui a filé entre les doigts. Comment une si petite ville a pu voir émerger tant de meurtriers ? Finch, agent à la NSA, doit rejoindre Caroll pour élucider cette énigme sur place. Mais quand il arrive, son ami a disparu. Et le seul qui peut l'aider à le retrouver n'est autre que le diable en personne."

Quel est le point commun entre un flic au bord du suicide, un serial killer, rogneur d'ongle dans l'âme et la disparition d'un profiler du FBI ? La réponse simple pourrait se résumer en quelques mots apposés sur un panneau de bois marquant le nom de la ville dans laquelle vous allez pénétrer, mais vous comprendrez facilement que c'est bien plus complexe que ce qui n'y paraît. C'est le monde énigmatique, inquiétant et mortel que nous propose de découvrir le duo Williamson/Henderson, incarné à la perfection ici par la petite ville de Buckaroo. Eh, oui, elle a une sacrée réputation cette petite ville, en effet, elle serait le berceau de 16 des plus dangereux serials killers de tous les USA, qui sont nés ces dernières années. Pas plus, pas moins et c'est déjà assez éloquent. Voilà le tableau dans lequel va devoir évoluer notre cher agent Finch, qui mû par le devoir envers son ami Caroll, disparu sans laisser de trace, va pour, arriver à ses fins, pactiser avec le diable. Son enquête ne sera que complication, non-dit et bouseux en tout genre et ça sera loin d'être une sinécure.

Ce tome 1 est la parfaite incarnation d'un excellent démarrage d'une histoire atypique et quelque peu dérangeante, qui vous mènera par le bout du nez, de la première à la dernière page. le duo W&H arrive parfaitement à vous faire ressentir cette odeur de putréfaction dont souffre en son sein cette bonne vieille bourgade de Buckaroo, vous mettant parfaitement mal-à-l'aise durant la totalité de votre périple. Cette impression est d'autant plus renforcée par la faune qui évolue tout autour de notre héros, mais également par l'univers graphique sorti du cerveau de Mike Herderson. Une entrée en matière dérangeante, mais tellement bien ficelée, que nous nous prenons facilement et agréablement au jeu de cette chasse aux sérials killers. Une série qui mérite toute votre attention.

Note Tome 1 : 5/5. 

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See you soon sur les ondes...
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Bienvenue à Buckaroo, Oregon, la ville qui a fait naitre 16 tueurs en série auxmodus operendi tous un peu tirés par les cheveux (ou les ongles). Il y a celui qui brûlait des bibliothèques avec des personnes à l'intérieur, celle qui cousait les lèvres des hommes qui l'avaient interpellée dans la rue, celui qui bouffait les gens qui se rongeaient les ongles...Sauf que ce dernier, notamment, n'est pas derrière les barreaux, il a été déclaré Non coupable. Finch, enquêteur débarque dans cette ville de tarés pour y retrouver son ami Carroll qui semble avoir compris pourquoi Buckarroo a fait naitre tant de serial killer. Mais Carroll a disparu, et de nouveaux crimes voient le jour. Accompagné de l'inspecteur Crane, Finch vza partir à la recherche de son ami et tenter de comprendre qui se cache derrière ces meurtres et la "malédiction" de la ville. Entre thriller, horreur et humour, Nailbiter promet de belles découvertes!
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critiques presse (4)
BoDoi
05 décembre 2016
Chaque sortie dans les rues de la ville équivaut à embarquer pour un tour de train fantôme. Faites la queue pour prendre un ticket : frissons garantis.
Lire la critique sur le site : BoDoi
BDGest
23 août 2016
Premier opus d'une série qui en comptera cinq, Le sang va couler est une bonne surprise. Rondement menée, l'intrigue brouille les cartes en mélangeant les genres avec suffisamment de brio pour prendre rendez-vous mi-septembre pour la suite, Les liens du sang.
Lire la critique sur le site : BDGest
Auracan
04 août 2016
Le magazine USA TODAY ne s’y est pas trompé et a élu cette série comme meilleur comics d’horreur en 2014 : à la lecture de ce premier tome, le public va vitre réaliser que le prix n’est assurément pas usurpé.
Lire la critique sur le site : Auracan
ActuaBD
01 août 2016
Un thriller, c’est ce à quoi nous invite Nailbiter, et même une sorte de "méga-thriller", meurtriers, mystères et victimes semblant se multiplier à mesure que l’on progresse dans le récit.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (4) Ajouter une citation
- Après Warren, notre petite ville s'est retrouvée en plein sous les feux des projecteurs. Les gens ont commencé à rassembler les morceaux, et la légende de Buckaroo, la ville où naissent les tueurs en série, s'est développée.
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Il n'est pas extraordinaire qu'un boucher ait du cœur.
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Oh, wow. Le "tueur du cinema muet". Walter Grant ne tuait que des gens qui parlaient pendant les films au cinéma... En voilà un que je pourrais apprécier.
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Tu peux m'expliquer comment tu sais que Hank est mort, au fait?
Ben, grâce à Twitter, tiens. Les nouvelles vont vite. Surtout les bonnes.
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Vidéo de Joshua Williamson
JOSHUA WILLIAMSON (Nailbiter, Batman) et ANDREI BRESSAN (Suicide Squad) s'associent à nouveau (après le succès de Birthright) pour une plongée haletante dans un roller-coaster meurtrier baigné de sinistres secrets de famille. Devil Land est le premier parc d'attractions au monde sur le thème de l'horreur. Il abrite l'attraction la plus effrayante jamais créée : le Devil's Due . Mais lorsque Owen Seasons, fan depuis toujours, y débute sa première journée de travail, il découvre les véritables horreurs qui se déroulent en coulisses. le travail de ses rêves pourrait bien se transformer en son pire cauchemar !
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