Ce sera une impression personnelle que je livrerai ici. J'ai bien aimé ce roman parce qu'il ne s'y passe pas grand chose, sinon une fin du monde comme on en voit tant dans la littérature. Mais le devant de la scène, apparemment occupé par les humains qui s'accrochent à la terre et à leur ancienne condition mortelle, est plutôtla fuite générale, le sauve-qui-peut global de la plupart des gens hors de leur mortalité, loin de leur lieu d'origine, vers un ailleurs global et vague. C'est ce côté "migration de lémuriens" qui m'a bien plu et beaucoup touché dans ce roman symptomatique.
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