Quand on parcourt l’histoire de la psychiatrie et des psychothérapies, on a le sentiment que la réponse à cette question relève plus de préférences personnelles (génétiquement déterminées ?) que d’arguments scientifiques étayés, et le débat reste ouvert même si les neurosciences permettront peut-être un jour d’y voir plus clair.
Interview de Jean-Jacques Wittezaele 2/2