Entre beauté et ignominie, entre innocence et malséance, la famille Sambre nous emmène dans une histoire captivante qui ne manque pas de rebondissements.
L'intrigue est fort bien menée. On suit les amours balbutiants et contrariés de Charlotte et Werner avec émotion et le coeur serré mais l'on s'amuse tout autant du caractère sulfureux et pernicieux de Jeanne-Sophie la mère de Charlotte.
J'ai rendez-vous avec le tome 3 dans le petit boudoir d'un manoir autrichien..A moins que ce ne soit derrière les fourrés d'où jaillira un cerf ...J'y cours !
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La mère de Charlotte n'a pas finit avec ses intrigues et ses coups tordus, plus la série avance et plus elle devient méchante et jalouse. le venin coule dans ses veines.
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Si Marc-Antoine Boivin s’est parfaitement approprié l’univers des Sambre, avec une pointe de folie dans les yeux en moins, le scénario d’Yslaire laisse à désirer en ne restant que très superficiel et en réutilisant une recette qui a lui-même appauvrie au fil du temps. Les amants maudits lutant contre une malédiction ne sont pas une ressource inépuisable.
Lire la critique sur le site : BDGest
L'histoire de l'humanité est comme un opéra familial, chanté en chœur, qui ne craint ni les rimes ni les refrains...
- Où m’emmenez-vous ?
- Entre nos deux rives. Là où le courant nous portera.
La duchesse Alexandra von Gotha aimait le whist comme d'autres goûtent le schnaps, avec ivresse, car les plaisir du jeu l'attiraient autant qu'un papillon une bougie. (p.3)
Ptit Cab La neige était sale