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Critique de JeromeJeanJacques
Zweig, à chacun de ses ouvrages, parvient à rendre vivants des personnalités, et à dynamiser une cause, — on ne le dira jamais assez — avec un talent fou de vulgarisateur.
Je ne m'étais jamais renseigné auparavant sur la confrontation entre Castellion et Calvin, et pourtant, après lecture, je m'en sens familièrement proche.
Pour ce qui est du corps de l'oeuvre : on sent la volonté de Zweig de revenir aux racines philosophiques les plus primaires de l'humanité : les guerres de théologie religieuse.
À travers le fanatisme de Calvin, il y a une intention de dénoncer les errements idéologiques contemporains — le nazisme. Et avec Castellion, prêcheur de tolérance religieuse, c'est la liberté de conscience, le libre arbitre ; c'est-à-dire l'anti-totalitarisme par essence.
Ce livre fait partie des oeuvres qui me font considérer Stefan Zweig comme un des romanciers les plus intellectuels contemporains. J'admire, avec respect, son propre chemin de conscience qu'il a fait, à travers les héros de toute époque.
Je ne m'étais jamais renseigné auparavant sur la confrontation entre Castellion et Calvin, et pourtant, après lecture, je m'en sens familièrement proche.
Pour ce qui est du corps de l'oeuvre : on sent la volonté de Zweig de revenir aux racines philosophiques les plus primaires de l'humanité : les guerres de théologie religieuse.
À travers le fanatisme de Calvin, il y a une intention de dénoncer les errements idéologiques contemporains — le nazisme. Et avec Castellion, prêcheur de tolérance religieuse, c'est la liberté de conscience, le libre arbitre ; c'est-à-dire l'anti-totalitarisme par essence.
Ce livre fait partie des oeuvres qui me font considérer Stefan Zweig comme un des romanciers les plus intellectuels contemporains. J'admire, avec respect, son propre chemin de conscience qu'il a fait, à travers les héros de toute époque.
