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Critique de cicou45


Recueil de six nouvelles, à savoir La Peur, la nouvelle éponyme, Révélation inattendue d'un métier, Leporella, La femme et le paysage, le bouquiniste Mendel et enfin La collection invisible. J'aime beaucoup l'écriture de Stefan Zweig donc certains pourront probablement dire que je ne suis pas objective dans ma critique mais tans pis ! J'adore ! Bien que rempli de tristesse, ce recueil comporte aussi ses phases d'humour et de tentresse, voire d'attendrissement envers certains personnages.

Stefan Zweig est, à mon goût, un auteur grandiose qui a su capter et décrire la psychologie de ses personnages.
Pour citer Romain Rolland, ce dernier lui octroyait « ce démon de voir et de savoir et de vivre toutes les vies, qui a fait de lui un pèlerin passionné, et toujours en voyage » et je trouve qu'il avait admirablement raison.
Cet ouvrage est poignant de sincérité et de compassion. Dans la première nouvelle, je trouve que cette femme qui 'set rendue coupable d'adultère n'est ni lâche ni cruelle en n'osant pas avouer la vérité à son mari mais est tout simplement humaine. J'attribue beaucoup de grandeur d'esprit aux personnages qui de ces nouvelles car, même s'ils ont des attitudes que je ne comprends pas toujours et que je ne peux donc pas louer, Zweig arrive, dans ses description et ses analyses, à leur inculquer soit une force de caractère pour certains ou des sentiments pour d'autres qui forcent respect ou admiration selon les cas. Une merveille !
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