Mon premier Zweig, il y a fort longtemps. Avec le temps les souvenirs d'une lecture s'estompent nécessairement, chez moi la plupart du temps ils s'agglomèrent et se concentrent autour d'une image forte et indélébile.
Pour
le Joueur d'échecs, c'est celle, vertigineuse et terrifiante, de cet homme enfermé seul dans une cellule, longtemps, sans aucune occupation, avec pour seul rempart contre la folie un manuel d'échecs. Obsédante expérience du vide...
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