Dans un essai tardif, Szweig revient sur sa jeunesse avant 14, son parcours d'écrivain au succès considérable, et bien sûr sur son exil pendant la période hitlérienne.
Ce qui est le plus frappant je crois, c'est sa peinture de l'Autriche d'après-guerre, en 19-22, où le chaos social, monétaire régnait. Ses talents d'observateur nous font partager le quotidien d'un peuple sans boussole, un peuple qui appartenait à un empire qu'il croyait éternel. Une grande leçon de vie, assurément.
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