Une bonne grosse claque bien cinglante sur ma joue à peau de bébé. Ça se lit comme un thriller et
Stefan Zweig fait toujours attention à prévenir le lecteur qu'il n'est pas possible de coller totalement à la réalité dans ce type d'exercice (Confiance +25). Je dois bien avouer que le Zweig à quand même une petite patte. Je vous refais pas le pitch (Elle meurt à la fin… Ceci dit tout le monde meurt à un moment donné parce que ça s'est passé a long time ago). Je ne connais pas bien cette période mais
Stefan Zweig n'a franchement pas son pareil pour faire revivre une époque; on sent la tension monter tout au long du livre et ce point de vue subjectif permet de rappeler la violence inouïe de la révolution française. C'est rare mais je n'ai rien lu pendant 2 jours après l'avoir refermé tellement cette biographie m'a secoué.
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