Bon, encore une fois, je suis ennuyé.
Dire que je n'ai pas aimé ce livre de
Stefan Zweig, c'est comme dire à haute voix dans un bar à vin de St-Germain des prés qu'on aime le foot! On vous regarde avec la condescendance qui sied au mépris que vous inspirez.
Pourtant, je vous promets avoir fait des efforts. J'avais, il y a longtemps, essayé de lire «
le voyage dans le passé ». J'avais vite abandonné…saoulé par un style que je ressens comme empesé. Et puis, il y a peu, on m'a conseillé de lire «
Vingt-quatre heures de la vie d'une femme » pour me réconcilier avec l'auteur. J'ai accepté, me disant que j'étais obligatoirement passé à côté du génie de Zweig sans le reconnaître ! Donc, je m'y suis mis…
Mouais …Idem, même impression, même ennui ; que de chichis ! Je me suis cru transporté sur le banc entre Julien Sorel et Mathilde, aussi niais et aussi pénible. Pourtant, il est court ce livre, mais j'ai eu du mal à le finir, c'est vous dire !
Au moins, j'ai compris deux choses. La première est que je n'ouvrirai plus un des livres de Zweig et la seconde est que je suis de plus en plus hermétique à la littérature dont l'action échappe à la deuxième moitié du XXème et au XXIème siècle.
Mais, ne vous inquiétez pas pour moi, ce n'est pas grave, il me reste quand même un bon stock d'auteurs…