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Paul Louÿs (24/08/2014)
3.4/5   5 notes
Résumé :
Bénédicte, cadre supérieure chargée du recrutement de son entreprise, s'intéresse d'un peu trop près à la disparition de jeunes et jolies stagiaires de sa société. Pour la dissuader de mener son enquête plus avant, elle va faire l'objet d'un chantage sexuel...
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Surprise
Une très belle histoire avec plein de rebondissement qui vous tiendra en haleine du début à la fin, et surtout avec une fin auquel personne ne s'attend. On peut dire que c'est l'arroseur arrosé. Une suite serait souhaitable pour connaitre le dénouement de la pauvre Bénédicte, cela aurait pu être écrit à la suite, car le roman est à peine lu en une heure.
Un bon érotique que je recommande au lecteur qui aiment ce genre
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Ne vous laissez pas tromper par le patronyme de Paul Louÿs, qu'un de ses illustres prédécesseurs dans la littérature érotique porte aussi, Pierre Louÿs. Si le patronyme est commun, le talent chez l'ancien est présent et plutôt aux abonnés absents chez l'actuel!
Après avoir lu ce livre, après bien des efforts pour ne pas le lâcher avant la fin, je ne peux vraiment pas donner le titre d'écrivain à Paul Louÿs.
La trame de l'histoire aurait pu être intéressante, voir passionnante. Elle semble prendre un virage attrayant vers le tiers du bouquin pour partir très vite en tête à queue! Pire encore, quand enfin l'intrigue effleure le suspens, boum, tout s'effondre platement.
Et que dire du vocabulaire. Uniquement des mots crus, répétés à longueur de page, sans emploi d'aucun synonyme qui aurait pu relevé un tant soi peu le style désolant de cet ouvrage.
Pour le fond, pas de cadeau non plus. On frise, voir on touche au racisme. Il est vrai qu'ici ce sont les Africains les méchants mais de là à baser toute l'intrigue sur les préjugés. Ils se nomment black, bâtard et j'en passe. Evidemment, se sont des animaux obsédés sexuellement, aux "bites" de black (je cite, désolé) comme tout le monde le sait, montés comme des ânes, éjaculateurs intarissables, qui à force de bourrer le "con" (je cite toujours, désolé pour la trivialité) de cette pauvre bourgeoise coincée du cul qui à force de chantage se prostitue gratuitement pour le plaisir de la communauté mâle africaine de New-York (plus encore pour le plaisir d'humilier une femme blanche, forcément, quand on est noir, c'est là qu'est surtout le plaisir, tout le monde blanc sait ça!) et qui finit nymphomane obsédée de grosses queues de black! Et enfin la fin, gros pétard mouillé qui ne fait même pas "pchiiit!"
Même en prêt gratuit, je n'ai qu'un conseil, évitez ce bouquin qui ne peut surtout pas être qualifié de littérature!
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Pour un roman clairement pornographique, c'est assez bien écrit. Est-ce une histoire tirée d'un fait divers réel ? En tout les cas, les fantasmes mis en jeu font appel au côté sombre de l'âme humaine. J'ai trouvé pas mal de passages excitants. Bon livre du genre.
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Une très belle histoire avec beaucoup de sensualité certains passages auraient pu être plus développés avec un langage plus cru
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Une très belle histoire avec beaucoup de sensualité certains passages auraient pu être plus développés avec un langage plus cru
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Serrant les dents, Bénédicte se révéla incapable d’empêcher les fortes mains de lui saisir les hanches pour la maintenir en place. Puis elle sentit à nouveau le gland familier se frotter de haut en bas sur sa vulve avant qu’il ne la pénètre brutalement et commence à la baiser. C’était vraiment affreux d’avoir des relations sexuelles de cette manière, tout en essayant de converser le plus naturellement du monde avec son mari au téléphone. Le point culminant de l’horreur eut lieu quand le bâtard noir éjacula en elle juste lorsqu’elle était en train de dire à son mari : — Je t’aime !
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Peut heurter les plus sensibles

Ceux qui avaient été incapables de surenchérir payèrent un droit d’entrée fabuleux pour assister à la défloration de la jeune Américaine, pour la voir pleurer et lutter tandis qu’un bâtard de quelque 150 kilos s’étendait sur elle et cueillait son précieux pucelage. Après son dépucelage, chacun des témoins déboursa encore plus d’argent pour avoir une chance de violer la jeune blonde. Lorsque la soirée d’inauguration s’acheva, la jeune Gil Claymore gisait sur un matelas grand format, les jambes et les bras écartés, une substance épaisse et gluante suintait de sa chatte violée. Elle était couverte de sperme partout, sur ses cheveux, son visage, ses lèvres, ses seins , ses doigts , ses courtes boucles blondes , ses cuisses , ses orteils , ses dessous de pieds , etc . Tout ce désordre avait été causé par chacun des cent vingt hommes concupiscents présents lors de l’inauguration cette nuit - là .
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Elle avait été droguée et transportée en jet privé au Nigeria où elle travaillait pour son nouvel employeur, là, Michelle était logée dans un souterrain situé sous la base militaire principale de l’armée. En échange du gîte et du couvert, Michelle devait prodiguer des faveurs sexuelles à n’importe quel officier nigérian envoyé auprès d’elle pour se divertir. Leur agent en Amérique basé à New York avait montré sa photo au commandant de l’armée. Le grand manitou avait alors décidé que cela valait la peine de dépenser l’équivalent de 50 000 dollars américains sur le budget de l’armée pour soutenir le moral des officiers sous - payés.
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