6 Types of People Who Do Not Deserve to Hear Your Shame Story by Dr. Brené Brown with Oprah Winfrey.
Se fermer à la vulnérabilité, c'est s'éloigner des expériences qui donnent du sens à la vie.
- Le perfectionnisme incarne un système de croyances autodestructeur et addictif qui nourrit cette réflexion première : Si j'ai une apparence parfaite, que je vis parfaitement et que je fais tout parfaitement, je peux éviter ou du moins minimiser les sentiments douloureux de la honte, du jugement et du blâme.
- Le perfectionnisme est autodestructeur pour la simple et bonne raison que la perfection n'existe pas. La perfection est un but inatteignable. De surcroît, le perfectionnisme est plus une question de perception : on veut être perçu comme étant parfait. Encore une fois, cela est inatteignable : il n'existe aucun moyen de contrôler la perception des autres, quels que soient le temps et l'énergie que nous investissons à y parvenir.
- Le perfectionnisme est addictif pour la raison suivantes : quand on fait invariablement l'expérience de la honte, du jugement ou du blâme, on croit souvent que c'est parce qu'on n'a pas été suffisamment parfait. On devient alors encore plus entêté dans l'idée fixe de la perfection dans notre vie, au lieu de remettre en question la fausse logique du perfectionnisme.
- Se sentir honteux, jugé ou blâmé (et la peur de se sentir ainsi) est une simple réalité de l'expérience humaine. Le perfectionnisme augmente les probabilités de vivre ces émotions pénibles et aboutit souvent à s'autoblâmer : C'est ma faute. Je me sens comme ça parce que "je ne suis pas à la hauteur."
La vulnérabilité, ce n’est pas connaître la victoire ou la défaite, c’est comprendre leur nécessité à toutes deux. C’est s’engager, se donner à fond. La vulnérabilité n’est pas la faiblesse. L’incertitude, le risque et les émotions de tous les jours ne sont pas des options. Le seul choix possible est une question d’engagement. La volonté d’assumer sa vulnérabilité et de l’embrasser détermine la profondeur du courage et la clarté du but.
Vulnerability isn’t good or bad [...]Vulnerability is the core of all emotions and feelings. To feel is to be vulnerable. To believe vulnerability is weakness is to believe that feeling is weakness. To foreclose on our emotional life out of a fear that the costs will be too high is to walk away from the very thing that gives purpose and meaning to living.
The perception that vulnerability is weakness is the most widely accepted myth about vulnerability and the most dangerous. When we spend our lives pushing away and protecting ourselves from feeling vulnerable or from being perceived as too emotional, we feel contempt when others are less capable or willing to mask feelings, suck it up, and soldier on. We’ve come to the point where, rather than respecting and appreciating the courage and daring behind vulnerability, we let our fear and discomfort become judgment and criticism.
Vulnerability is not weakness, and the uncertainty, risk, and emotional exposure we face every day are not optional. Our only choice is a question of engagement. Our willingness to own and engage with our vulnerability determines the depth of our courage and the clarity of our purpose; the level to which we protect ourselves from being vulnerable is a measure of our fear and disconnection.
Appartenance et intégration ne sont pas la même chose et que, en réalité, l'intégration obstrue l'appartenance. S'intégrer veut dire évaluer une situation et devenir ce que vous devez être pour être accepté. L'appartenance, elle, ne nous demande pas de changer qui on est ; au contraire, elle nous appelle à être ce que nous sommes déjà.
On cultive l'amour quand on laisse voir et connaître son individualité la vulnérable et la plus forte, et quand on honore la connexion spirituelle qui germe de ce don avec confiance, respect, tendresse et affection.
L'amour n'est pas quelque chose qu'on donne ou qu'on reçoit; l'amour est une plante qu'on nourrit et qui grandit, une connexion qui peut seulement être cultivée entre deux personnes lorsqu'elle existe au plus profond de chacune : l'amour qu'on a pour les autres se mesure à l'amour qu'on a pour soi-même.
La honte, le blâme, l'irrespect, la trahison et l'absence d'affection endommagent les racines qui nourrissent l'amour. L'amour ne peut survivre à ces blessures que si elles sont reconnues, guéries, et rares.
Daring greatly is not about winning or losing. It’s about courage. In a world where scarcity and shame dominate and feeling afraid has become second nature, vulnerability is subversive. Uncomfortable. It’s even a little dangerous at times. And, without question, putting ourselves out there means there’s a far greater risk of feeling hurt. But as I look back on my own life and what Daring Greatly has meant to me, I can honestly say that nothing is as uncomfortable, dangerous, and hurtful as believing that I’m standing on the outside of my life looking in and wondering what it would be like if I had the courage to show up and let myself be seen.
La question est « qu’est-ce qui vaut la peine d’être fait, même si j’échoue ? ».