James Islington est né et a grandi dans le sud de Victoria, en Australie. Il a été influencé dans son enfance par les récits de Raymond E. Feist et de Robert Jordan, mais ce n'est que plus tard, lorsqu'il a lu la série Fils-des-brumes de Brandon Sanderson - suivie peu après par Le nom du vent de Patrick Rothfuss - qu'il a finalement eu envie de s'asseoir et d'écrire ses propres romans. La Trilogie de Licanius, éditée par Orbit et dont le 3e et dernier tome a été publié fin 2019, est un succès international avec près de 400 000 exemplaires vendus. James Islington vit aujourd'hui avec sa femme et ses deux enfants dans la péninsule de Mornington, dans le Victoria.
Tout ce que je voulais, je l'ai reçu
Tout ce dont je rêvais, je l'ai réalisé
Tout ce qui me faisais peur, je l'ai conquis
Tout ce que je haïssais, je l'ai détruit
Tout ce que j'aimais, je l'ai sauvé
C'est ainsi que je me couche, fatigué de désespoir
Car tout ce dont j'avais besoin, je l'ai perdu.
(p102)
Ceux comme Raden mènent des vies pitoyables et pourtant se comportent comme s'ils ne méritaient pas mieux. On dirait que la manière dont on les traite, comme s'ils n'avaient aucune valeur, les définit.
La mort brise le lien déclara une Breshada impatiente en voyant l'expression de Davian. Elle les regarda d'un air fatigué. Ne m'attaquez pas et n'utilisez pas vos pouvoirs sinon une armée d'administrateurs va débarquer en quelques minutes.