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4.13/5 (sur 286 notes)

Nationalité : Autriche
Biographie :

Anna Katmore est auteur de romance.

Elle a grandi à Vienne où ses parents se sont installés lorsqu'elle avait quatre ans. Actuellement, elle vit à la campagne avec son mari.

Elle est auteur de la série "Grover Beach Team" dont le premier tome et son premier roman, "Changement d’équipe" (Play With Me/Teamwechsel), a été publié en 2012.

son site : https://annakatmore.com/home/
page Facebook : https://www.facebook.com/authorannakatmore

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Citations et extraits (57) Voir plus Ajouter une citation
Elle posa les yeux sur le morceau de fruit juteux, puis les releva sur moi et hocha la tête.
- D’accord, ça marche.
Voilà qui signalait mon top départ. Ravi, je pris le citron vert perché au-dessus de ma téquila, heurtai mon verre avec celui de Philip et tendis la tranche à Lisa.
- Mords.
- Quoi ?
- Mords, répétai-je.
Reposant le verre, je tournai la visière de ma casquette de manière à ce qu’elle se retrouve dans ma nuque, histoire qu’elle ne vienne pas la cogner dans les yeux. Et puis, je vidai le shot d’alcool, dont le goût acéré me brûla la gorge. Ses prunelles rivées aux miennes, Lisa baissa la tête et croqua dans le fruit que je lui tendais.
Avec une grimace, elle sursauta et eut un mouvement de recul. OK, ça ferait l’affaire. Je jetai le citron dans mon verre vide, passai la main dans son cou et sous ses cheveux si doux. Le moment n’était pas à la réflexion, autrement je risquais de changer d’avis… pour son bien, pas pour le mien.
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« Je regardais son ombre disparaître derrière le verre givré, puis sortis de son jardin d’un pas traînant. Je posai mes fesses dans la voiture et roulai à fond la caisse jusqu’à la maison.
- Putain de debile ! M’ecriai-je en frappant mon poing sur le volant, sans même savoir si c’est Tony que je maudissais ou moi.
Je m’étais bien ridiculisée en essayant d’être amicale. Quel cretin ! Je serrais les dents et appuyai encore plus fort la pédale d’accélérateur.
- Ne renverse pas de vernis à ongles dessus, Summers, marmonnai-je. Ne les saupoudre pas de maquillage, Summers. Fais attention de ne pas les mettre à laver.
Ben oui! Parce que c’est ce que je faisais habituellement avec des notes empruntées. Connard ! »
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« Sebastian s’est glissé dans ma vie comme ma dose personnelle d’héroïne. Il commençait à être la seule chose de vraie dans mon monde perturbé et faussement confortable. Quelqu’un avec qui j’avais tellement envie d’être ! Aussi incroyable que cela puisse paraître. Mais, au final, il est devenu la seule règle que je ne pourrai jamais enfreindre. Je ne peux pas l’avoir… pas d’une manière qui réparerait mon âme. Parce que ça voudrait dire détruire tout ce que je suis. Un sanglot douloureux passe au travers de mes dents serrées. Je ne peux pas faire ça. »
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«Je suis le capitaine de ce navire ! Personne ne me claque la porte au nez ou ne m'enferme hors de ma propre chambre ! D'un coup de pied puissant, je défonce le battant qui percute le mur dans un énorme vacarme, le verrou se cassant dans la foulée et des échardes de bois volant sur le sol jusqu’aux pieds nus d'Angel. Elle se retourne brusquement, les joues rouges à la suite de notre dispute, les yeux grands ouverts, et me regarde comme si je venais de lui offrir des champignons vénéneux en guise de dîner.
— Pourquoi tu abîmes ton navire, Capitaine ? La porte n'était pas verrouillée !
Ma bouche est déjà ouverte pour lui répondre, mais je me sens soudain stupide. Je me tourne vers la porte brisée avant de lui faire face de nouveau. Pas verrouillée ? Je suis vraiment un idiot. Et qu'est-ce qui m'a fait perdre la tête comme ça ? Tout ce que je voulais, c'était la convaincre que je n’ai jamais eu l'intention de la laisser mourir sur la planche, ou ailleurs. Mais cette fille me tape sur les nerfs.
— C'est de ta faute. »
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« Elle ouvrit le battant et, au moment où les premiers rayons s’infiltrèrent à l’intérieur, elle recula vivement et vint se heurter direct contre mon torse. Ah, là, là, je pourrais continuer ainsi toute la journée. Et à moins que je ne sois complètement à côté de la plaque, j’eus l’impression qu’elle appréciait ce bref contact corporel elle aussi. »
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« Même assis, il oscillait face à moi. Mais bon, comme la pièce faisait pareil, je ne savais pas trop si c’était lui ou si j’étais la proie d’une sorte d’hallucination bizarre.
- Du coup, je fais quoi moi?
- Je dirais : tu t’allonges, tu dors. Et on en reparle de tout ça demain.
- Et toi?
Il balaya la chambre du regard en se frottant la nuque.
- Le sol est dur. Et je suis claqué. Il y a bien de la place pour deux, dans ce lit.
A la façon dont il avait prononcé sa dernière phrase, on aurait cru une question. J’avais envie de vomir. Et pas à cause de sa suggestion de dormir dans le même lit que moi. Mon estomac se tordait. Le goût acide du sodé me remontait le long de l’œsophage. Il n’y avait qu’un moyen d’ne virer de rendre partout sur ce drôle de lit ou ce drôle de sol: la position horizontale. »
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« Je reste, un long moment, figé, le regardant avec une horreur fascinée, alors qu’il s’immisce à nouveau avec une facilité déconcertante dans mon monde. Sa présence dans la pièce me rend à fleur de peau et engourdit non seulement ma langue, mais aussi mon esprit. »
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Je pense qu’il est temps que tu saches que je suis amoureux de toi, Lisa. Que tu es mon rayon de soleil à moi depuis très longtemps. Et que je n’ai pas l’intention de te laisser quitter mes bras.
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« Tony s’arrêta net juste avant de me rentrer dedans. Il fit un effort pour baisser le regard sur moi, comme si ma petite taille l’ennuyait profondément. Oh, allez, ce n’était pas à ce point. À défaut d’autre chose, ma taille était au moins mignonne. Il pouvait probablement reposer son menton sur le haut de ma tête s’il me serrait dans ses bras.
Attends. Je ne venais quand même pas de penser serrer dans ses bras, non ? Sûrement pas avec ce connard, hors de question. »
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N’osant pas le réveiller, je ne bougeai pas, mais passai frénétiquement en revue toutes les options que j’avais. Génial, je n’en avais aucune. J’étais piégée.
Peut-être que si je restais immobile en faisant semblant d’être profondément endormie jusqu’à ce qu’il se réveille et se lève le premier, alors je pourrais me faufiler dehors après qu’il soit sorti et m’en aller sans qu’il s’en rende compte. Je me serais volontiers giflée pour avoir eu cette idée, si j’avais pu retirer ma main posée sur son torse chaud.
Oui, chaud et ferme, le torse. Il doit soulever des poids, en plus de pratiquer le foot. Comme si mes yeux agissaient de leur propre initiative, ils se promenèrent sur son corps magnifique. Un mince trait de poils bruns partait de son nombril, courait sur son ventre plat et disparaissait sous la ceinture de son jean. Sa jambe pliée paraissait incroyablement longue. Je n’y avais jamais prêté attention, mais il devait mesurer une bonne tête de plus que moi.
Mon regard remonta vers son cou et la partie de son visage qui n’était pas dissimulée par son bras. Une mâchoire mince et un nez parfaitement droit.
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