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3.83/5 (sur 2928 notes)

Nationalité : France
Né(e) : 1991
Biographie :

Journaliste, romancière et chroniqueuse télé.
Hypokhâgne puis khâgne et diplôme en journalisme à l'Institut français de presse en 2014.

Elle a débuté comme pigiste au "Monde" et stagiaire au journal d’Arte avant d’intégrer la rédaction du JT de TF1 comme reporter.
Elle a rejoint puis été chroniqueuse de l'émission "Quotidien" jusqu'à septembre 2019.
En janvier 2019, Lilia Hassaine a foulé le podium du défilé Haute Couture de Jean-Paul Gaultier.

"L'œil du paon" (2019) est son premier roman fantastique.
Son troisième roman, "Panorama", publié en août 2023, est un thriller d’anticipation.

Le 31 mai 2022, Pascal Praud accuse Lilia Hassaine de manipulation à la suite d'une chronique diffusée dans Quotidien la veille. Alors qu'elle évoquait le traitement par les médias d'incidents autour du Stade de France, la chroniqueuse dénonce des propos tenus par le journaliste de CNews et faisant le lien entre lesdits incidents et le footballeur Karim Benzema. Pascal Praud réagit le soir même sur le compte Twitter de sa chaîne puis le lendemain dans son émission, accusant Lilia Hassaine d'avoir diffusé un extrait tronqué pour lui faire dire l'inverse de sa pensée.

Twitter : https://twitter.com/liliahassaine

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Les secrets sont des bâtons de dynamite qu’on cache sous un lit. Pendant des années, tout se passe bien, mais l’étincelle peut venir de n’importe où, n’importe quand.
(page 102)
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Naître fille, ça voulait dire devenir la boniche de ses frères, puis celle de son mari, ne jamais jouir d’aucun plaisir, si ce n’est ceux de la bouche, et donc grossir, grossir, tomber enceinte autant de fois possible, accoucher sans aucun bruit, brider ses propres filles, qui reproduiront le même schéma à leur tour : « La féminité est une maladie transmissible. On trimballe les tares de nos mères, et on les refile à nos mômes », répétait souvent Michèle, la voisine. Naja était d’accord.
(page 45)
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Donner envie d’apprendre à un enfant, maintenir l’éveil, le désir, et le jeu, répondre à chaque question avec patience, partager son amour des livres, susciter de nouvelles curiosités pour les plantes ou le Système solaire, ouvrir des fenêtres dans les esprits, afin qu’ils ne soient pas trop étriqués… Cet objectif est le plus ambitieux de tous : les maîtres d’école nous marquent toute une vie. 
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Quitter un pays qu’elles aimaient, suivre un mari qui trimait, perdre leurs enfants un par un, se demander si elles avaient fait le bon choix, être mère c’était ça, accumuler les erreurs, apprendre sans cesse, échouer encore. Les héroïnes, c’était elles. On inhumait des adolescents, de jeunes adultes, des futurs médecins.
(pages 151-152)
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Le cerveau humain est si bien fait qu’il vous console avant les coups. C’est l’expérience du deuil : on souffre après. Au départ on se représente la belle vie que le défunt a eue, on témoigne, on discourt, on pose. Mais quelques jours plus tard, il n’y a plus que la solitude et le manque.
(page 27)
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La joie sans mélancolie, c’est un soleil qui brillerait sans discontinuer. La joie n’est la joie que parce qu’elle joue au funambule au-dessus du vide.
(pages 64-65)
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Nora s’esclaffait : « la canicule ? En Algérie… TOUTE L’ANNÉE c’est la canicule ! »
(page 97)
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D’un côté il se disait fier de ses origines et de sa culture, de l’autre il espérait se fondre dans le paysage français. D’un côté il désirait rentrer au bled, de l’autre il rêvait que ses enfants s’intègrent. Il oscillait entre deux pays, entre deux projets, et élevait ses enfants dans la même dualité. La dualité comme identité, c’était déjà une contradiction, il n’existait pas de mot pour dire « un et deux » à la fois.
(page 69)
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Ève s’était rapprochée des parents de ses camarades de classe, un établissement privé tout à fait détestable dans le genre faussement ouvert, il y avait quelques Noirs et quelques Arabes pour les statistiques départementales ; aidés par un système de bourses ; les parents étaient invités à y contribuer en début d’année. Les bonnes âmes de gauche pouvaient ainsi inscrire leur enfant sans crainte d’être mal jugées, tout en évitant l’école publique et son armada de têtes basanées.
(page 113)
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Ils (Amir et Daniel) s’aimaient comme des frères mais bavardaient comme des copains.
(page 145)
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