Les regards ont un poids aussi, vous savez
Il faut souffrir pour concrétiser ses rêves !
Toi aussi tu es magnifique, Mathieu... alors libère-toi. Ne laisse plus personne te contrôler, car tu as le droit de rêver et d’aimer qui tu veux... comme tu me l’as appris au début.
Si tu veux que je reste, dis-le moi franchement... C'est pourtant toi qui m'as appris à me laisser porter par les émotions, n'est-ce pas ?
Depuis ce jour où il l'a rencontré, son collègue demeure un cocon de secrets... Un cocon qu'il aimerait toutefois percer, en douceur.
Alerte coup de cœur !! Nouvelle pépite ! Nouveau diamant !! Nouveau 5/5 !!! ( un livre découvert en format numérique, tellement fabuleux qu’il va falloir que je me le procure en format papier )
Ce livre est magnifique !! L’histoire comporte de biens belles morales. La plume est super agréable.
Nous passons par un feu d’artifice d’émotion ! Passant des rires aux larmes mais également de l’inquiétude au questionnement ! Bref une bien belle palette d’émotions toute plus fortes les unes que les autres !
L’auteur nous offre une histoire mélangeant mystère, amour, manipulation et aventure !
Les pages se dévorent rapidement. Gardant toujours un rythme parfait !
De nombreuses citations m’ont beaucoup touchées!
Et la fin…!
En bref c’est une gros gros 5/5 !
Vous êtes un lâche : le passé, qu'on l'accepte ou non, est un héritage qui forge notre présent. C'est pareil pour toute âme, pour toute terre. Renier le passé c'est oublier les morts, notre véritable présent.
- Tu sais, quand tu vis l'instant présent, tu ne réalises pas forcément la valeur des trésors que tu possèdes. Tout te paraît aussi évident que le fait de respirer, de manger ou de boire... Alors tu ne mesures pas la chance que tu as, au contraire : tu l'acceptes comme une normalité, sans penser à la souffrance des autres... jusqu'au jour où tu te retrouves brisé.
Tu n’es pas qu’un homme perdu que j’ai rencontré. Même si tu as une carapace, moi aussi je peux voir tes véritables émotions
Tandis que je me dirige vers la dernière fenêtre pour pousser les volets intacts, mes yeux se braquent sur mon reflet : celui d'un jeune homme d'une vingtaine d'année, visage livide et cheveux blonds trônés par un bonnet noir. Avec ma veste sombre, mon jean froissé et ces maudites cernes, j'ai l'impression d'être démuni...