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4.38/5 (sur 94 notes)

Né(e) à : Warwick , le 16/10/1969
Biographie :

Alexandra Henrion-Caude est une généticienne franco-britannique. Titulaire d'un doctorat en génétique de l'université Paris-Diderot, ses recherches ont porté sur les maladies génétiques et sur l'ARN non codant.

Elle soutient une thèse de doctorat à l'université Paris-Diderot en 1997, sous la direction d'Axel Kahn, et reçoit une bourse de recherche de la Fondation Nestlé. Elle travaille comme neurobiologiste au Joslin Diabetes Center à la Harvard Medical School de Boston et au Salk Institute for Biological Studies.

Alexandra Henrion-Caude est directrice de recherche à l'Inserm de 2012 à 2018, en tant que chef d'équipe. Elle découvre en 2012 l'implication d'ARN non-codants dans des maladies génétiques. Ses travaux concernent des maladies génétiques comme la mucoviscidose et le syndrome Ravine. Elle est l'un des 22 lauréats des Eisenhower Fellowships en 2013.

Elle s'intéresse aux questions de bioéthique, notamment à propos de la recherche sur l'embryon humain, et crée le site internet Science en conscience.

Alexandra Henrion-Caude quitte l'INSERM début 2018 pour « convenances personnelles » ; elle en est retraitée depuis 2019, sans le statut de « chercheuse émérite ». Elle vit désormais à Maurice, où elle a fondé le laboratoire SimplissimA, qui se donne pour objectif de revaloriser les remèdes traditionnels
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Source : wikipedia
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Bibliographie de Alexandra Henrion Caude   (1)Voir plus

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Citations et extraits (31) Voir plus Ajouter une citation
Cette publication n'a pas manqué de susciter une controverse folle car évidemment la question sous-jacente est : l'ARN vaccinal peut-il aussi intégrer notre génome, et donc modifier notre descendance? La réponse est oui. […]
Imaginer qu'on a injecté ce vaccin à des millions d'hommes, de femmes, de jeunes, et maintenant d'enfants sans avoir pris la moindre précaution pour protéger la molécule la plus intime qui soit : notre ADN, notre génome, notre patrimoine génétique me plonge dans une perplexité vertigineuse.
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Pour mieux comprendre, prenons, en guise d’ARNm, une phrase complète : « Ce matin je mange du gâteau au chocolat. » Elle comporte un seul message, qui pourtant peut servir à construire d’autres messages de même nature, comme « Je mange », « Ce matin je mange », « Je mange du gâteau », « Je mange du chocolat ». Mais elle peut aussi donner des messages qui ne sont pas de même nature, en s’adressant à quelqu’un d’autre et en lui donnant un ordre comme « Mange », « Mange du gâteau » ou « Mange du chocolat », et elle peut même utiliser l’exclamation : « Du chocolat ! », etc.
Ajoutons à cette complexité que même les silences entre les mots donnent une information : imaginez ce livre sans espace entre les mots ! En clair, la cellule s’autorise toutes les combinaisons possibles à partir de l’ARNm, qui, lui, est passif.
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En Allemagne, le 9 septembre 2022, le principal quotidien berlinois, le Berliner Zeitung, [...] interviewe l'épidémiologiste et professeur émérite à l'université de Münster, Ulrich Keil. "Nous constatons donc une augmentation absolue du risque [d'effets secondaires graves] dû à la vaccination ARNm-Covid-19", explique-t-il.
Le 12 septembre 2022 est publiée une autre étude, qui révèle cette fois que le vaccin peut être plus dangereux que le virus lui même, jusqu'à 98 fois plus dangereux. Elle est menée par les scientifiques de Harvard et de Johns-Hopkins dans la revue Social Science Research Network, et repose sur les données du Centre pour le contrôle et la prévention des maladies aux États-Unis (CDC) et des laboratoires eux-mêmes, chez des jeunes adultes entre 18 et 29 ans.
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"Nous sommes ce que nous mangeons", nous expliquait Ludwig Feuerbach, philosophe du XIXème siècle. Mais nous avait-on précisé que "nos descendants seront aussi ce que nous avons mangé?" Les femmes surveillent généralement, presque intuitivement, ce qui entre dans leur corps quand elles sont enceintes. Mais ont-elles conscience qu'il faudrait faire attention à ce qu'elles mangent y compris en dehors des neufs mois de grossesse?
Et quel homme pense, au moins dans les deux mois et demi avant d'essayer de procréer, que ce qu'il mange va influencer la santé de ses spermatozoïdes et celle de sa descendance? Aucun! Car nous avons cette information depuis peu. Et qu'elle se diffuse à peine, voire pas du tout.
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Chaque personne est le produit d'une fusion totalement unique qui explique, si elle a des frères et sœurs, qu'ils ne sont pas ses doubles. Pourtant, comme elle, ils sont faits de l'ADN du père et de la mère. Et c'est pour moi la source d'un émerveillement constant. À chaque rencontre, je me représente la chance que j'ai de croiser, de parler avec une personne, de la connaître, même si elle est antipathique, car elle est unique : il n'y en a jamais eu d'autres comme elle dans toute l'histoire de l'humanité, et on peut affirmer avec certitude qu'il n'y en aura jamais une autre après elle.
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Cela veut dire que la rencontre avec un parasite modifie l'ARN du sperme, et que cet ARN modifié est capable de changer le comportement des générations suivantes. Quand je vous dis que l'ARN est très puissant !
Chez l'homme, cela prend hélas beaucoup plus de temps pour étudier la transmission sur plusieurs générations (les hommes vivant trop longtemps par rapport aux chercheurs vieillissants), mais chez les vers, qui ont de courtes existences, on s'est rendu compte que cette transmission peut concerner jusqu'à quatorze générations.
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- Est-ce que le vaccin a stoppé l’épidémie ? Non.
- Est-ce que le vaccin empêche d'attraper le Covid ? Non.
- Est-ce que le vaccin empêche d'attraper à nouveau le Covid ? Non.
- Est-ce que le vaccin empêche d'infecter les autres ? Non.
- Est-ce que le vaccin empêche de mourir du Covid ? Non.

(p.14)
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Il y a les engagements auxquels on se serait attendus, mais qui n'ont pourtant jamais été énoncés. Je pense à l'engagement de ne pas nous faire mourir, comme à celui de ne pas occasionner des effets secondaires de nature à bouleverser toute une vie... Le fameux principe de la médecine de ne pas nuire. Un principe qu'on imagine partagé par tous.
On a compris que le ton était tout autre dès que l'on a eu accès à des documents de Pfizer que nous ne devions pas lire avant 75 ans (et 4 mois). Nous y apprenons qu'en trois mois d'essais cliniques, environ 14 morts par jour ont été enregistré par Pfizer, avec exactement 1 223 décès et 158 893 effets indésirables enregistrés entre le 1er décembre 2020 et le 28 février 2021.
(p.17)
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Pour lutter, et de préférence gagner contre le SARS-CoV-2, les chercheurs ont commencé par choisir la souche de Wuhan. Or, en juillet 2020, on sait déjà qu'une autre souche a fait son apparition.
Et celle-ci toucherait 74% de la population mondiale, selon une étude italienne parue dans la revue Frontiers in Microbiologie [34].
Bref, nous voici lancés dans une guerre contre un ennemi qui n'est pas le bon.
À l'école, on aurait qualifié ça de hors sujet.
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Dans le cas d'un vaccin à ARNm, on nous injecte une soucoupe dans laquelle on met de l'ARNm. Le tout est synthétique. Cette technologie de soucoupe est d'ailleurs la même que celle utilisée avec les vaccins ARNm contre la grippe aviaire et contre la rage... ceux qui ne marchaient pas. Cette soucoupe échappe donc à la surveillance immunitaire qui est chargée de faire des anticorps. Ainsi, contrairement à ce qui se passe pour toute autre vaccination, notre système immunitaire ne réagit pas en fabriquant des anticorps sur-le-champs, car il ne détecte pas de virus. En tout cas, pas à ce stade. Il s'agit de ces fameux quinze jours où l'on vous indiquait que vous n'étiez pas protégés... "Il faut du temps à votre corps pour se protéger", écrit le CDC (Centre pour le contrôle et la prévention des maladies aux États-Unis). "Les gens sont considérés comme complètement vaccinés deux semaines après leur première injection". Ce délai est donc une seconde différence fondamentale.
La soucoupe fusionne alors avec nos cellules, comprenez que l'ARNm entre en elles. Là, les cellules se transforment d'un coup en usine à produire ce que l'ARNm vaccinal nous force à produire. Avec cette injection, un nouvel ordre arrive. Nos cellules sont ainsi reprogrammées, car l'information de cet ARNm synthétique est conçue pour s'imposer, être exécutée avec une forte productivité. CureVac -laboratoire allemand- parlera d'une "clé USB" qui donne des ordres à vos cellules.
(p.85-86)
⬅️2️⃣➡️
((les différences fondamentales avec une vaccination classique))
⤵️
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