Chez les pauvres d’aujourd’hui, c’est comme chez les pauvres d’antan ; autrefois, on faisait entrer la vache et le cheval dans la maison, maintenant, on y met le vélo ou la moto. Ça sent moins bon et c’est moins chaleureux mais c’est une coutume heureusement renouvelée et Dieu sait que nous avons besoin de toutes les coutumes.