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3.74/5 (sur 86 notes)

Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Manchester , le 16/06/1880
Mort(e) le : 15/12/1949
Biographie :

Alice Ann Bailey, dite Alice Bailey ou A.A.B., était un écrivain britannique.

Née sous le nom d'Alice LaTrobe Bateman, elle fut mariée à Foster Bailey.

Reconnue comme une des personnalités fondatrices du mouvement du New Age, Alice Bailey a écrit une vingtaine d'ouvrages ésotériques, ainsi que des articles pour le Lucis Trust, institut spiritualiste qu'elle fonda en 1920.

Dans son dernier ouvrage publié à titre posthume, Autobiographie inachevée, Alice Bailey relate son aventure littéraire et initiatique.

Après avoir été chrétienne évangélique et adepte de la Société Théosophique, Alice Bailey fonde l'École Arcane en 1923. Elle affirme que la plupart des ouvrages qu'elle a écrits lui ont été dictés par télépathie par le tibétain Djwal Khul, un « Maître de Sagesse ».

Ses 26 ouvrages ont popularisé des notions telle que la venue du Nouvel Age et l'avènement du « Nouveau Groupe des Serviteurs du Monde », au travers de « triangles ésotériques » – réunions d'individus par groupes de trois, supposés travailler en réseau avec leurs énergies pour l'aide spirituelle à l'Humanité – qu'Alice Bailey a commencé à organiser en 1937.

Ces triangles se fondent sur un mantra connu sous le nom de Grande Invocation, utilisé par des milliers de groupes ésotériques au travers le monde encore aujourd'hui.

De nos jours, l'enseignement d'Alice Bailey continue d'être diffusé et étudié au travers de l'École Arcane et de sa maison d'édition le Lucis Trust.
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Source : Wikipédia
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Citations et extraits (147) Voir plus Ajouter une citation
Au point de vue de l'astrologie ésotérique, il y a trois signes majeurs dans lesquels sont subies les "trois morts" ...
[...]
" Le feu flamba, et par ce feu je mourus à la vie et ainsi je naquis à la mort. Et une fois encore, je mourus à la forme. (le Bêlier)
La chaleur de la terre, l'humeur ignée de la Mère détruisit la forme, libéra l'âme et ainsi le soi inférieur fut tué. (Scorpion)
Les eaux noyèrent l'homme. Le poisson fut contraint de disparaître, puis il apparut à nouveau mais pour mourir, ou mourir et apporter le salut. (Poissons)

NDL : Des textes lus de temps à autres, avec des phrases parfois mystérieuses mais plaisantes à lire.
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Le Bouddhisme et le Christianisme ont leur origine respective dans deux moments inspirés de l'histoire : la vie du Bouddha et la vie du Christ. Le Bouddhisme nous donna sa doctrine pour éclairer le monde ; le Christ nous donna sa vie.
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LE SEIGNEUR BOUDDHA A DIT :
qu'il ne faut pas croire une chose simplement parce qu'on l'entend dire ; ni croire aux traditions car elles nous ont été transmises depuis l'antiquité ; ni croire aux rumeurs en tant que telles ; ni aux écrits des sages, parce que les sages les ont écrits ; ni aux imaginations inspirées, pensons-nous par un Déva (inspiration supposée spirituelle) ; ni croire aux conclusions tirées de quelque supposition faite par nous au hasard ; ni croire une chose parce qu'elle semble devoir être vraie par analogie ; ni croire sur la simple autorité de nos instructeurs et maîtres. Mais nous devons croire la chose écrite ou parlée, ou la doctrine, si elle est corroborée par notre propre raison et notre propre conscience. "C'est pour cela", dit-il en concluant, que je vous ai appris à ne pas croire une chose simplement parce que vous l'avez entendu dire ; mais quand vous croyez avec votre conscience, alors agissez en conséquence et abondamment.
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Cet ouvrage expose les quinze Règles de la magie (contrôle de l'Ame). L'Ame, le magicien blanc s'efforce d'entrer en contact avec son instrument, la Personnalité, afin de parvenir à la maîtriser. C'est ainsi que l'humanité développe une conscience de la divinité innée, que la matière dense se voit transmutée et la pure flamme de l'esprit libérée des limitations de la forme.
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Aucune autre période, dans l'histoire de la pensée, n'a ressemblé tout à fait à la nôtre. Les penseurs du monde entier ont pris conscience de deux choses : d'abord, que la région du mystère n'a jamais été aussi clairement circonscrite qu'aujourd'hui ; ensuite que l'on peut y pénétrer plus facilement qu'autrefois. Elle peut donc, en conséquence, être amenée à nous livrer certains de ses secrets, si toutes les écoles poursuivent leurs recherches avec ténacité. Les problèmes qui nous affrontent, lorsque nous étudions les faits connus de la vie et de l'existence, peuvent être plus clairement définis qu'à aucune autre époque, et bien que nous ne possédions pas la réponse à nos questions, bien que nous n'ayons pas encore découvert la solution de nos problèmes, bien qu'aucune panacée ne se trouve à portée de notre main pour guérir les maux du monde, le seul fait, cependant, de pouvoir les définir, de pouvoir montrer du doigt la direction dans laquelle se trouve le mystère, et de savoir que la lumière de la science, de la religion et de la philosophie a été répandue sur d'immenses domaines considérés jadis comme des terres enveloppées de mystère, est une garantie de succès pour l'avenir. Nous savons infiniment plus de choses
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Le mot Avatar est un mot sanscrit, signifiant littéralement : Qui descend de très haut. Ava (employé comme préfixe devant les verbes et les substantifs verbaux) exprime l'idée de "à distance, loin, vers le bas". Avataram (le comparatif) "plus loin". La racine Av semble toujours indiquer l'idée de protection d'en haut, et se trouve dans des mots composés se référant à la protection de rois ou de législateurs. S'appliquant aux dieux, la signification en est : "accepté favorablement", lorsqu'un sacrifice est offert. Il en résulte que le mot racine peut signifier : "qui descend avec l'approbation de la source supérieure d'où Il émane, et au profit du lieu où Il arrive" (tiré du Dictionnaire sanscrit de Monier-Williams).
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Le Dr Jung écrit encore à ce sujet :
La science est le meilleur outil de l’intellect occidental et plus de portes peuvent être ouvertes avec lui qu’avec des mains vides. Ainsi, partie intégrante de notre compréhension, elle n’embrume notre vision intérieure que lorsqu’elle prétend être le seul et unique moyen de comprendre. Mais l’Orient nous en a enseigné un autre, plus vaste, plus profond et une compréhension plus haute, c’est la compréhension par la vie. Nous ne connaissons ce moyen que vaguement, comme un simple sentiment imprécis, tiré de la terminologie religieuse et, en conséquence, nous plaçons volontiers la "Sagesse" orientale entre guillemets et la repoussons dans le domaine obscur de la foi et de la superstition. Mais ainsi le "réalisme" oriental est radicalement méconnu. Il ne consiste pas en intuitions sentimentales exagérément mystiques, frisant la pathologie, émanant de reclus ascétiques et de détraqués. La Sagesse de l’Orient est basée sur une connaissance pratique (...) dont rien ne justifie la sous-estimation.
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Il est également intéressant de se rappeler que ces deux individualités, le Bouddha et le Christ, ont marqué de leur empreinte les deux hémisphères - le Bouddha étant le maître de l'Orient, et le Christ, le Sauveur de l'Occident.
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Dès le commencement de nos études, je voudrais signaler que, même si je connaissais la cause ultime des maladies, les lecteurs ne parviendraient pas à la comprendre. Cette cause est enfouie dans l'histoire du passé lointain de notre planète, dans la carrière (ésotériquement comprise) de la Vie planétaire, et elle a ses racines dans ce qu'on appelle en termes généraux le "mal cosmique". Cette phrase est parfaitement dépourvue de sens, mais décrit symboliquement une condition dans la conscience qui est celle de certains "Dieux imparfaits".
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Les sept Rayons sont les Sept forces créatrices. Ces sept Vies, dont la nature est "conscience", et dont l'expression est sensibilité et qualité spécifique, engendrent cycliquement le monde manifesté. Elles travaillent ensemble dans l'harmonie et l'union la plus étroite, et coopèrent intelligemment avec le Plan dont Elles sont les gardiennes. Elles sont les Sept Constructrices qui édifient le Temple rayonnant du Seigneur, sous la direction du Mental du Grand Architecte de l'Univers.
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