AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Ana Scott (102)


Quel mufle !
Et moi, j’ai succombé !
Il m’a prise par surprise et je n’ai pas été capable de résister. Mais je ne vais pas cracher dans la soupe ! Comme disait mon grand-père Dumas : « Ce n’est pas quand on a chié dans son froc qu’il faut serrer des fesses ! » C’est puissant, hein ? Mais l’image est claire.
Commenter  J’apprécie          60
J’ai vu les dégâts que peut causer l’amour, je n’en veux pas dans ma vie. Jamais  !
Commenter  J’apprécie          40
Je ne souffre pas de maladresse habituellement, mais cet homme me chamboule tellement, en plus de m’exaspérer, que mon corps ne cesse de me trahir.
Commenter  J’apprécie          30
Chapitre 5 :

Camille

«… - À Tokyo.

OK...

- Et... du coup... après les fêtes, tu repars là-bas ? insisté-je.

Il sourit, rétorque :

- Oui, Camille, je repars ! Tu seras bientôt débarrassée de moi !

- Ce ne'st pas ce que j'ai dit !

- Non, mais tu le penses ! Mais ne t'inquiète pas, d'ici là, je saurai me tenir !

- Comment ça ?

- Je ne t'approcherai pas plus que nécessaire !

Il se penche, plante ses iris dans les miens.

Des iris aussi noirs que la nuit.

- À moins que tu ne le désires...

Quoi ?

J'en reste sans voix.


Quel mufle ! … »
Commenter  J’apprécie          30
Chapitre 2 :

Camille

«… – Je ne sais pas, Max, je…

– Pour une avocate, je trouve que tu manques cruellement d’arguments !

Je tourne la tête vers l’entrée de la pièce, surprise par l’intrusion.

LÉO !

Nom de Dieu… qu’est-ce qu’il fout là !

J’ai l’impression de faire un bond en arrière de plusieurs années, lorsqu’il surgissait à n’importe quel moment.

Pitié… je ne veux pas revivre ça ! À aucun prix !

Il avance vers moi et plus il avance, plus j’ai le sentiment de manquer d’air.

De petits picotements parcourent ma colonne vertébrale sous l’intensité de son regard.

– Bonjour, Camille. Ça fait longtemps…

Il se penche et je ne peux pas faire autrement que de l’embrasser lorsqu’il me tend la joue. Son parfum m’enveloppe, sa peau contre la mienne me fait frémir. Un flot de souvenirs me submerge. Ses baisers étaient toujours très appuyés et à la limite de la commissure de mes lèvres. Pour me faire chier ! Et j’ai comme la vague impression qu’il va remettre ça !

Je frissonne.

– Respire ! murmure-t-il à mon oreille.

Connard !

Et soudain, je comprends.

Je le désigne du doigt à mon frère alors que mon pire cauchemar s’installe sur un tabouret tout près de moi. Bien trop près. Mon cœur s’emballe lorsque son regard sur mes cheveux mouillés et ma nuque, qui elle aussi se met à picoter, devient insistant.

C’est pas vrai…

J’oublie que je n’ai même pas daigné répondre verbalement à son salut, et m’écrie :

– Ne me dis pas que c’est lui que tu as embauché ?

– Si, maître, c’est moi !

Je prends sur moi et me retiens de ne pas réagir à l’ironie manifeste de ses propos. Je ne veux pas me comporter comme une hystérique, mais là, tout de suite, mon cerveau est incapable de se focaliser ailleurs que sur sa présence à mes côtés, et une chose, une seule, trotte dans ma tête : si je décide de rester au domaine, nous allons nous côtoyer.

IMPOSSIBLE !

Tout bonnement impossible ! ...»
Commenter  J’apprécie          30
– Tu m’en veux pour hier ? Quentin n’est pas un homme pour toi, je te le répète !
– T’en sais rien ! Tu ignores quel genre de type me fait craquer.
– Si, je le sais !
– Des types comme toi ? Imbus d’eux-mêmes et connards sur les bords ?
– Pas des types comme moi, Camille. Moi ! Juste moi. Je suis unique en mon genre.
Commenter  J’apprécie          20
« Il verrouille ses iris aux miens, lèche ses doigts. Je fronce les sourcils. Il les retire d’entre ses lèvres avec un bruit de succion, claque la langue comme s’il s’agissait d’un premier cru et me fait un baiser dans le cou, avant de murmurer à mon oreille de sa belle voix grave : « Je t’ai fait des sushis… » et de s’écarter.
Je suis dans le miroir sa haute silhouette qui s’éloigne. […]
– Merci pour ce bon moment… […]
– Je t’en prie, c’était avec plaisir.
– Pour moi aussi, c’était un plaisir. Tu recommences quand tu veux.
– J’imagine… Il se penche, souffle :
– Mais la prochaine fois que tu jouiras, ce sera avec ma queue… »
Commenter  J’apprécie          20
Chapitre 3 :
Amos
«… Ses yeux sont brillants. La lumière dorée du patio, douce, donne une lueur irréelle à ses iris. Et soudain, une autre émotion me poignarde le cœur en comprenant qu’elle a encore pleuré. Je refuse de m’appesantir sur ce que ça déclenche en moi.
– Chère Helena, enchaîne Lavallée, laissez-moi vous présenter notre nouvelle égérie, Amos Onakis, que vous connaissez certainement de réputation.
Elle m’observe froidement, se lève.
– Effectivement, sa réputation est venue jusqu’à moi ! Enchantée, Mister Fire ! termine-t-elle, les lèvres pincées.
Je contemple sa main tendue.
– Plaisir partagé, madame.
– Qui parle de plaisir, monsieur ! laisse-t-elle tomber sèchement.
Putain, j’ai l’impression qu’elle est en colère contre moi !
Alors que c’est moi qui devrais l’être, bordel !
Je suis tellement surpris par sa réaction que j’en reste sans voix.
– Amos, intervient alors Lavallée face à notre silence devenu pesant. Demandez-lui de venir dîner avec nous. Elle vous écoutera, vous. Aucune femme ne résiste au charme dévastateur de Mister Fire ! ... »
Commenter  J’apprécie          20
Chapitre 4 :

Chloé

«… Je perçois un rire, puis la main de Jack qui tapote ma cuisse.

– Nous sommes arrivés, patronne, vous pouvez ouvrir les yeux !

C’est ça, moque-toi de moi !

Je pousse un profond soupir, laisse tomber ma tête vers l’avant.

Il éclate de rire de nouveau.

– C’était si terrible que ça ?

– Pire !

– Vous auriez dû me dire que c’était trop pour votre petit cœur, j’aurais été plus délicat !

Je lui retourne un regard furibond.

– Parce que vous savez l’être, peut-être ?

Il a un sourire sournois, à la limite de l’indécence, rétorque :

– Vous n’imaginez pas à quel point !

Malgré moi, mes joues s’échauffent à ce que ses mots impliquent.

Jamais, de ma vie, un homme ne m’a autant déstabilisée, ni énervée, ni… intriguée. Ni… excitée…

Et… je crois qu’on va s’arrêter là… Ce n’est pas une bonne idée, pas une bonne idée du tout ! …»
Commenter  J’apprécie          10
Nous nous observons. Son émoi m’émeut et encore une fois, je me demande quelles enfance et adolescence il a vécu, quels sont ses secrets, ses fêlures, ses faiblesses… parce que nous en avons tous. Moi, c’était lui ma fêlure, ma faiblesse… ma souffrance. Lui que mon cœur désirait, lui que mon corps réclamait avec cette force et cette intensité propres aux premières amours, d’autant plus douloureuses que celui-ci, d’amour, n’était pas réciproque.
Commenter  J’apprécie          10
Hors de question que je reste une minute de plus dans la même pièce que Léo !
Sa présence me fout en rogne, ce qui me met encore plus en colère.
Il n’aurait pas pu devenir moche, se « dodufier », prendre du bide, perdre ses cheveux… non, il est super beau ! Et toujours aussi outrecuidant ! Sinon plus… et pourquoi je fantasme sur ses lèvres, ses yeux et ses pectoraux mis en valeur par un tee-shirt noir qui chez un autre aurait semblé banal, bordel de merde ?! Alors que lui… il est juste à tomber !
Commenter  J’apprécie          10
Chapitre 10 :
Angèle
«… — Je suis désolé si je vous ai paru froid et distant, mais moins vous en savez sur moi, mieux c’est !
OK …
— Pourquoi ? Vous avez des choses à cacher ?
Son sourire s’étire.
— Vous êtes bien curieuses, mademoiselle Forestier.
— Vous connaissez mon nom ? m’étonné-je.
— Comme vous connaissez le mien ! Je l’ai lu sur la porte de votre appartement.
— C’est comme le Port-Salut, c’est écrit dessus !
Si je pensais détendre l’atmosphère, j’en suis pour mes frais, il ne cille pas.
— Hum… Donc, je suis un nana et par définition curieuse ! me reprends-je. De plus, en vous montrant mystérieux, monsieur Reeves, vous ne faites qu’éveiller davantage ma curiosité.
Ses prunelles me dévorent, se violent d’une aura qui, loin de me rebuter, m’attire irrésistiblement.
Qui êtes-vous, Kyles Reeves ? …»
Commenter  J’apprécie          10
« – Je crois n’avoir jamais rencontré un homme aussi présomptueux.
– C’est normal, bébé, il n’y a aucun homme comme moi sur terre. »
Commenter  J’apprécie          10
C'était la loi dure des Hihlands, où les clans se détruisaient les uns les autres depuis des générations pour toujours plus de richesse et de pouvoir, car qui disait plus de terres disait plus de ressources.
Commenter  J’apprécie          10
Elle se rendit compte avec surprise qu'il n'y avait qu'avec Craig qu'elle pouvait se laisser aller et rester elle même.
Parce qu'il était des Highlands comme elle, peut-être, parce qu'ils étaient issus du même monde, de la même terre, parce qu'en eux coulait le même amour pour leur contrée d'origine, et parce que...parce que...elle ne le savait au juste, c'était ainsi.
Commenter  J’apprécie          10
Chapitre 5 :
Mona
« … Mon cœur accélère lorsque, après avoir éliminé plusieurs profils envoyés par l’appli, ainsi que quelques transferts d’e-mails de relous (qui me relancent régulièrement), des mots, sous « un nouveau profil a souhaité vous envoyer ce message », m’interpellent :

J’ai besoin de vous !

Bizarre comme entrée en matière…
Je clique sur l’e-mail et lis la suite.


Mademoiselle,
Ma demande va certainement vous paraître incongrue, mais j’ai une requête un peu spéciale. Accepteriez-vous d’en discuter autour d’un verre ?


Quoi ?
Une requête spéciale ? Qu’est-ce que c’est encore comme connerie ? Un truc sexuel ?
Je ne vais certainement pas accepter, il est fou, lui !
Bon, il s’exprime plutôt pas mal, mais je n’ai pas confiance.
Pourtant, j’avoue qu’il a titillé ma curiosité.
J’aimerais savoir ce que veut ce type. Après tout, sa demande n’a peut-être rien de sexuel et ça ne m’engage à rien.
Je quitte la page et appuie sur l’icône de l’appli.
Je recherche son profil à partir du pseudo donné par la plateforme : pas de photo de lui, mais celle d’un voilier… des banalités… ses centres d’intérêt sont classiques… un pseudo énigmatique : Barca.
...»
Commenter  J’apprécie          10
Chapitre 3 :
Mona
«… Son regard devient encore plus intense sous ses sourcils froncés.
– Mme Burgot sera absente du bureau pendant au moins deux semaines. Vous sentez-vous capable de faire son travail en plus du vôtre ?
– Oh, euh… oui, pas de problème, monsieur. Je ferai le maximum, si vous… enfin… si de votre côté, vous me promettez de ne pas me submerger de dossiers et d’être un peu plus patient que d’habitude.
Après tout, c’est dans l’intérêt de sa boîte !
Il faut qu’il arrête de vouloir tout régenter à la baguette. Je suis sûre que s’il était plus humain et plus… calme, tout le monde (moi y compris) ne s’en porterait que mieux.
– Pardon ?
J’affronte courageusement son expression fermée.
– Je veux juste vous faire comprendre que si vous me criez dessus comme vous le faites avec Mme Burgot, je serai incapable de faire mon travail correctement. C’est dans votre intérêt… monsieur.
Je n’en mène pas large, mais après tout, j’ai dit ce que j’avais sur le cœur.
Il en fera ce qu’il voudra.
– Je vois !
Sa voix, grave, terriblement mâle, me prend encore totalement au dépourvu.

...»
Commenter  J’apprécie          10
"J'aurais pu devenir marin pour sentir les embruns sur ma peau, l'iode, sentir le vent du large dans mes cheveux. Si j'avais vécu à une autre époque, j'aurais aimé être corsaire ou flibustier, ou encore pirate, et partir à l'aventure. Avoir une vie où aucun jour ne ressemble au précédent. Une vie où rien n'est acquis, ni prévisible, ni immuable. Une vie sans attaches, sans pression, sans obligations, sauf celles que je m'impose. Pour vivre au jour le jour, en ne prenant que le meilleur, en n'en retenant que l'important, le principal, le primordial.
L'essentiel.
Oui, j'aurais pu devenir marin.
Je suis devenu biker."
Commenter  J’apprécie          11
Chapitre 2 :
Helena
«…La foule, à l’instar d’Emma qui, n’en pouvant visiblement plus sautille sur place, retient son souffle. La tension monte. La musique devient plus rapide, plus forte, et soudain, sous les applaudissements et les cris hystériques des femmes (et de quelques hommes !), un homme franchit l’ouverture à droite de l’estrade, et avance lentement sur le tapis rouge.
Mon souffle se bloque dans ma cage thoracique.
Mes jambes menacent de se dérober et ma main, agrippée à celle d’Emma, se met à trembler. Elle tremble tellement qu’Emma tourne la tête vers moi, je le sens. J’entends un « Ça va ? Qu’est-ce que tu as ? » auquel je suis incapable de répondre. Me voyant aussi végétative qu’un légume, elle insiste :
– Helena, ça va ?
Je ne veux pas gâcher son plaisir alors je fais « oui » de la tête, sans quitter l’arrivant des yeux car ce n’est pas le très beau, très séduisant et très charismatique Christopher Hemsworth qui se dirige vers l’estrade sous les applaudissements de la foule en délire, mais Amos.
Mon Amos…
Le garçon à qui j’ai donné mon cœur il y a dix ans.
Encore plus beau que dans mon souvenir... »
Commenter  J’apprécie          10
Cette voix, je la reconnaîtrais entre mille, car c’est la sienne ! Toujours le même message : ils sont là pour nous, pour nous sauver d’une destruction proche, pour ne pas que l’humanité s’éteigne… Les intonations rauques et chaudes à souhait parcourent mon corps, me font frissonner. C’est complètement fou, mais j’ai le sentiment qu’il ne s’adresse qu’à moi.
Commenter  J’apprécie          10



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Ana Scott (696)Voir plus

Quiz Voir plus

The promised Neverland

Comment s'appelle la peluche de Onney ?

Little Bernie
Larrey Bibi
Berney little

8 questions
14 lecteurs ont répondu
Thème : The Promised Neverland, tome 1 de Posuka DemizuCréer un quiz sur cet auteur

{* *}