Nationalité : France
Né(e) à : Morlaix , 1947
Né(e) à : Morlaix , 1947
Biographie :
Daniel Appriou est un écrivain.
Ancien professeur d’anglais, il est expert judiciaire près la Cour d’appel de Rennes.
Après avoir écrit dans la presse régionale bretonne de nombreux articles sur la vie en Angleterre, il débuta une série de livres d’histoire, tout d’abord locale, intervenant de 1992 à 1998 sur Radio Bretagne Ouest pour une série d’émissions évoquant les Bretons et Bretonnes célèbres. Puis il collabora à diverses revues et quotidiens.
En collaboration avec Erwan Bozellec, il publia une série de quatre tomes sur les châteaux et manoirs en baie de Morlaix, bientôt suivi d’une évocation historique du château du Taureau avec Marie-Claude Appriou.
Il a publié de nombreux ouvrages de référence expliquant les expressions historiques de la langue française, l’origine des mots historiques, les grands événements qui ont fait l’Histoire, les surnoms historiques, etc.
+ Voir plusDaniel Appriou est un écrivain.
Ancien professeur d’anglais, il est expert judiciaire près la Cour d’appel de Rennes.
Après avoir écrit dans la presse régionale bretonne de nombreux articles sur la vie en Angleterre, il débuta une série de livres d’histoire, tout d’abord locale, intervenant de 1992 à 1998 sur Radio Bretagne Ouest pour une série d’émissions évoquant les Bretons et Bretonnes célèbres. Puis il collabora à diverses revues et quotidiens.
En collaboration avec Erwan Bozellec, il publia une série de quatre tomes sur les châteaux et manoirs en baie de Morlaix, bientôt suivi d’une évocation historique du château du Taureau avec Marie-Claude Appriou.
Il a publié de nombreux ouvrages de référence expliquant les expressions historiques de la langue française, l’origine des mots historiques, les grands événements qui ont fait l’Histoire, les surnoms historiques, etc.
Source : Wikipedia
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Citations et extraits (5)
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Les symboles de l'histoire : L'origine des objets légendaires : De l'aigle Impériale à la statue de Marianne
Daniel Appriou
Daniel Appriou
« Le Bon Roi Dagobert » date de l’époque révolutionnaire (1787) et fut écrite avec un but précis : ridiculiser Louis XVI et la royauté. Le choix de Dagobert est sans doute dû au nombre de ses favorites mais aussi, pense-t-on, au fait qu’un jour le digne souverain se présenta devant son conseil avec ses chausses mal ajustées.
À midi, Georges Pompidou s’adressa aux Français en ces termes : « Françaises, Français, le général de Gaulle est mort ; la France est veuve. En 1940, de Gaulle à sauvé notre honneur, en 1944, il nous a conduits à la libération et à la victoire ; en 1958, il nous a évité la guerre civile. Il a donné à la France ses institutions, son indépendance, sa place dans le monde. »
Trois couleurs pour la France
A la Révolution française, le nouveau pouvoir veut effacer les symboles de l'Ancien Régime et remplace le drapeau blanc par le drapeau tricolore à trois bandes verticales.
Au bleu et au rouge, couleurs du tiers état et de la ville de Paris, La Fayette fait ajouter le blanc, couleur des Bourbons.
A la Révolution française, le nouveau pouvoir veut effacer les symboles de l'Ancien Régime et remplace le drapeau blanc par le drapeau tricolore à trois bandes verticales.
Au bleu et au rouge, couleurs du tiers état et de la ville de Paris, La Fayette fait ajouter le blanc, couleur des Bourbons.
« Pour gagner cette guerre nous avons besoin d’hommes, puis nous avons besoin d’argent et pour finir nous avons besoin de temps. La Russie a les hommes, les Etats-Unis ont l’argent et nous, les britanniques et les français, nous avons le temps. »
Celui qui prêta à de Gaulle une « main forte et secourable » dit aussi de notre pays : « La France ! J’ai confiance ; un peuple qui a créé quatre cents fromages ne saurait disparaître. »
Lorsque Eisenhower fut quasiment imposé par Roosevelt comme commandant en chef des troupes d’invasion de l’Europe en juin 1944, Churchill, bien qu’il eût tenté de faire nommer un général anglais à ce poste, déclara : « I like Ike like Ike likes me » (j’aime Ike Eisenhower comme Eisenhower m’aime).
Celui qui prêta à de Gaulle une « main forte et secourable » dit aussi de notre pays : « La France ! J’ai confiance ; un peuple qui a créé quatre cents fromages ne saurait disparaître. »
Lorsque Eisenhower fut quasiment imposé par Roosevelt comme commandant en chef des troupes d’invasion de l’Europe en juin 1944, Churchill, bien qu’il eût tenté de faire nommer un général anglais à ce poste, déclara : « I like Ike like Ike likes me » (j’aime Ike Eisenhower comme Eisenhower m’aime).
Le bourreau, qui avait quelques démêlés avec son « outil de travail », dut faire patienter le condamné en chemise sous une pluie continue et froide.
[…] la pluie qui avait traversé la chemise sans col, tout cela contribuait à faire trembler le condamné de tous ses membres.
Moqueur, le bourreau qui l’observait en réglant le « rasoir national » lui demanda : « Tu trembles, Bailly ?
- Oui, mais c’est de froid », répondit fièrement le condamné.
[…] la pluie qui avait traversé la chemise sans col, tout cela contribuait à faire trembler le condamné de tous ses membres.
Moqueur, le bourreau qui l’observait en réglant le « rasoir national » lui demanda : « Tu trembles, Bailly ?
- Oui, mais c’est de froid », répondit fièrement le condamné.
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