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4.3/5 (sur 63 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Malaga, Espagne
Biographie :

Christopher Willis Gortner, est un romancier, hispano-américain, auteur de romans historiques.

Il est né et élevé à Malaga, en Andalousie, dans le sud de l'Espagne.

Christopher Gortner est titulaire d'un Master of Fine Arts en écriture avec une spécialité en études de la Renaissance au New College of California, ainsi que d'un diplôme du Fashion Institute of Design and Merchandising de San Francisco.

Après une carrière de onze ans dans la mode, il a consacré les douze années suivantes au secteur de la santé publique.

En 2012, il est devenu écrivain à plein temps à la suite du succès international de ses romans.

Il voyage beaucoup pour se documenter. Il a donné des cours universitaires sur les femmes de pouvoir à la Renaissance. Ses livres ont obtenu des prix dans le monde entier et ont été traduits en 14 langues.

Il milite pour les droits des animaux et pour l'environnement.

C.W. vit en Californie.

site officiel : http://www.cwgortner.com

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Source : http://www.cwgortner.com
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Bibliographie de C.W. Gortner   (8)Voir plus

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Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
Sachant qu'elle n'avait pas treize ans lorsqu'elle se maria pour la première fois, et à peine vingt lorsque Alphonse fut assassiné. Elle avait subi plus de tragédies dans sa jeunesse que beaucoup n'en connaissent au cours de toute une vie. Au bout du compte, le bonheur lui échapperait toujours.
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- Je suis désolée de ne vous avoir donné que des soucis supplémentaires, murmurai-je.
- Ah, ma chérie, répliqua-t-elle, c'est à cela que servent les belles sœurs. Sans les soucis des autres, les miens seraient peut-être trop lourds à porter.
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Tu lui as probablement sauvé la vie avec ton cri, ou tu lui as du moins évité de graves blessures. Tu devrais être fière de toi. Peu de filles auraient eu la présence d’esprit d’agir ainsi.

Je la considérai en silence. Du respect, compris-je, voilà ce que j’avais perçu dans sa voix. Cela me prit par surprise. Autrefois, elle m’aurait traitée de petite sotte.
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D’après la rumeur, Rodrigo lui aurait donné six coffres remplis d’argent après le conclave, mais c’est un mensonge. La vice-chancellerie et le palais de ton père sur le Corso seraient une récompense suffisante pour n’importe quel homme, fût-il aussi cupide que celui-ci.
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J'ai compris que je ne saurais jamais qui il est vraiment. Ni moi, ni personne. C'est une énigme; il nous ressemble, mais il peut-être tout ce que nous voulons qu'il soit, car il n'a pas de sentiments. Son pouvoir repose dans son habileté à tromper.
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Il y a des échafaudages dans les antichambres et des ouvriers qui entrent et sortent à toute heure. Pourquoi a-t-il fallu que Sa Sainteté nous fasse venir aussi précipitamment ? Nous aurions pu patienter le temps que tout soit prêt.
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Rares étaient les vestiges de sa beauté autrefois si légendaire. Désormais dans sa cinquantième année, ma mère s’était épaissie à force d’accoucher et de profiter des plaisirs de la table, de sorte qu’elle ressemblait désormais à une vulgaire matrone ; ses yeux bleu-gris – dont j’avais hérité, même si les miens étaient un peu plus pâles – étaient cernés d’ombres sillonnées de rides, ses joues veinées de rouge, et son nez crochu accentuait son froncement de sourcils perpétuel.
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J’étais à court de mots. Elle avait raison, bien sûr. J’avais beau n’avoir aucune expérience en la matière, je supposais qu’il arrivait à certaines femmes mariées de rompre leurs vœux. Je la soupçonnais d’en faire autant depuis qu’elle m’avait parlé des machinations de mon père au conclave, une affaire privée dont elle n’aurait rien dû savoir. Mais qu’elle me confirme l’existence de cette liaison à haute voix ne me la rendait pas moins perturbante pour autant.
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J’étais sa seule fille, elle aurait pu me prendre sous son aile, mais elle s’était montrée froide et exigeante, comme si mon existence l’offensait. Je n’avais jamais compris son hostilité et, toute mon enfance, j’avais cherché à y échapper. Venir vivre avec Adriana avait été la réponse à mes prières. Elle m’avait fait comprendre que j’étais importante, aimée, et que j’étais effectivement, comme l’affirmait Papa, unique.
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Nous entrons dans une nouvelle ère – l'ère des Borgia. Et j'en serai le fléau. La terreur que je sèmerai sera telle que mon seul nom les fera trembler.
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