C'était tout. Pas un mot de plus. Après avoir lu et relu ces quelques lignes, Bellaman se sentit plus perplexe que jamais. Il avait beau se creuser la cervelle, la phrase restait toujours aussi incompréhensible. Quelle servitude? Et comment Potter pouvait-il prétendre agir, même après sa mort, en " libérant " le dénommé Siméon Brown, - l'homme maigre, aux mains éternellement gantées, qui à deux reprises avait manifesté sa présence de façon si curieuse? Décidément, toute cette affaire paraissait fantastique.
Toute cette affaire, sauf évidemment la présence réelle de M. Siméon Brown, en chair et en os ( surtout, en os ).