Monsieur,
J'ai été surpris de recevoir par pneumatique votre lettre me demandant de penser à la Fête des Pères.
J'ai le regret de vous informer que je n'ai jamais pu me passionner pour la Fête des pères, pas plus d'ailleurs que pour celle de leurs épouses, car je me consacre exclusivement à la Fête des Beaux-Frères, espèce ingrate, délaissée et parfaitement pitoyable.