C’était le 7 janvier 2015. L’attentat de Charlie Hebdo. Coco nous raconte son insouciance,avant, puis l’horreur. L’angoisse, la culpabilité. La vague est au centre de ses dessins, comme une immense vague d’Hokusai qui la submerge. Après deux thérapies, dont une sans succès, elle continue tant bien que mal de vivre.
Les dessins sont directs, bruts et très expressifs, pour dessiner l’indicible.« Je n’oublierais jamais… je dois dessiner, dessiner encore. »