Mais cette eau-forte à laquelle bien d’autres pourraient se joindre n’est, en somme, dans l’oeuvre gravée de M. Rops, qu’une alerte et qu’une boutade. Toutes celles que j’ai passées en revue sont seulement ironiques et scabreuses, d’aucunes presque fanfaronnes dans leur entrain.
Nous allons signaler maintenant son oeuvre même ; la femme va surgir démoniaque et terrible, traitée par un talent qui s’amplifie et se condense à mesure qu’apparaît, dans un retour d’idées catholiques, ce concept du satanisme dont j’ai parlé.