Nationalité : France
Né(e) à : Villeneuve-Saint-Georges , le 02/08/1920
Mort(e) le : 31/08/2007
Né(e) à : Villeneuve-Saint-Georges , le 02/08/1920
Mort(e) le : 31/08/2007
Biographie :
Dachs, de son vrai nom Jean Busson, est un écrivain.
Dachs est la traduction en allemand du totem scout de Jean Busson : « blaireau ». Il s'en est fait son pseudonyme.
Il est l'auteur de nombreux romans scouts pour la collection « Jeunes de France » aux éditions Dumas, marqué par son passage chez les Scouts de France, notamment à la troupe 1re Quimper. Plusieurs de ses romans sont aussi inspirés de ses voyages dans le Hoggar.
Après une carrière dans l'industrie pharmaceutique, Dachs s'était remis à l'écriture. Ses titres ont d'abord été réédités dans la collection « Les Jeux de l'Aventure » aux éditions Elor avec des couvertures de Pierre Joubert (entre 1989 et 1995), puis aux éditions du Triomphe dans la collection Totem (à partir de 1997).
Avec Serge Dalens, l'auteur du Prince Eric, il a également écrit Six foulards verts.
+ Voir plusDachs, de son vrai nom Jean Busson, est un écrivain.
Dachs est la traduction en allemand du totem scout de Jean Busson : « blaireau ». Il s'en est fait son pseudonyme.
Il est l'auteur de nombreux romans scouts pour la collection « Jeunes de France » aux éditions Dumas, marqué par son passage chez les Scouts de France, notamment à la troupe 1re Quimper. Plusieurs de ses romans sont aussi inspirés de ses voyages dans le Hoggar.
Après une carrière dans l'industrie pharmaceutique, Dachs s'était remis à l'écriture. Ses titres ont d'abord été réédités dans la collection « Les Jeux de l'Aventure » aux éditions Elor avec des couvertures de Pierre Joubert (entre 1989 et 1995), puis aux éditions du Triomphe dans la collection Totem (à partir de 1997).
Avec Serge Dalens, l'auteur du Prince Eric, il a également écrit Six foulards verts.
Source : http://auteurs.amis-signe-de-
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Citations et extraits (2)
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Quand il avait pris sa décision, il n'avait peut-être pas estimé à sa juste difficulté l'obstacle majeur auquel était confronté un fugueur. Il commençait seulement à comprendre qu'il ne le surmonterait pas sans peine. Partir n'était rien. Cela se faisait sur un coup de tête. Tuer le temps s'avérait beaucoup plus ardu. Le temps résiste, se défend, s'accroche, se cramponne, et ne se laisse pas manipuler. On s'épuise vite à vouloir l'épuiser.
Rude existence, en effet, que celle qui consiste à guetter du haut d'un bordj les immensités interdites, à être voué à une implacable séquestration par une consigne formelle, à demeurer enfermé dans un horizon dont on ne peut même pas espérer que le regard le dépassera un jour.
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