AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Dalaï-Lama (553)


 Dalaï-Lama
Si vous avez l'impression d'être trop petit pour pouvoir changer quelque chose, essayez donc de dormir avec un moustique et vous verrez lequel des deux empêche l'autre de dormir.
Commenter  J’apprécie          9072
 Dalaï-Lama
«Il y a deux jours dans une année où l’on ne peut rien faire. Ils s’appellent hier et demain. Pour le moment, aujourd’hui est le jour idéal pour aimer, croire, faire et principalement vivre»
Commenter  J’apprécie          8334
Si vous êtes angoissé parce que vous n'avez aucune confiance en vous et pensez que rien de ce que vous faites ne réussira, réfléchissez un peu.
Essayez de voir pourquoi vous vous donnez perdant dès le départ.
Vous ne trouverez aucune raison valable. Le problème vient de votre façon de penser, non d'une incapacité réelle.
Commenter  J’apprécie          6450
certains regardent la vase au fond de l'étang,
d'autres contemplent la fleur de lotus à la surface de l'eau,
il s'agit d'un choix.
Commenter  J’apprécie          4430
 Dalaï-Lama
Il n'y a personne qui soit né sous une mauvaise étoile, il n'y a que des gens qui ne savent pas lire le ciel.
Commenter  J’apprécie          4311
 Dalaï-Lama
"Lorsque vous parlez, vous ne faites que répéter ce que vous savez déjà, alors que lorsque vous écoutez, vous pouvez apprendre quelque chose de nouveau".
Dalaï Lama
Commenter  J’apprécie          3713
 Dalaï-Lama
« la religion est un choix personnel et que la moitié de l’humanité n’en pratique d’ailleurs aucune mais qu’en revanche les valeurs d’amour, de tolérance, de compassion prônées par le bouddhisme concernent tous les humains et que cultiver ces valeurs n’a rien à voir avec le fait d’être croyant ou non ».
Commenter  J’apprécie          3670
Plus nous aurons donné de sens à notre vie, moins nous éprouverons de regrets à l'instant de la mort.
Commenter  J’apprécie          2870
Prendre soin des autres, partager leurs problèmes, faire preuve de compassion, tel est le fondement d'une vie heureuse pour soi-même, pour sa famille et pour l'humanité toute entière.
Commenter  J’apprécie          2450
La patience est le seul remède à la frustration. L'avidité - je veux ceci ou cela - n'entraîne que le malheur, la destruction de l'environnement et l'exploitation de l'autre; elle creuse le fossé entre riches et pauvres.
Commenter  J’apprécie          2130
 Dalaï-Lama
Nul besoin de temples, nul besoin de philosophies compliquées. Notre cerveau et notre coeur sont nos temples.
Commenter  J’apprécie          1990
Lorsqu'il m'arrive de me sentir supérieur à quelqu'un, je m'efforce aussitôt de lui trouver des qualités. S'il a de beaux cheveux, je me dis qu'il m'est bien supérieur, puisque je suis chauve. N'importe qui nous surpasse forcément, d'une manière ou d'une autre.
Commenter  J’apprécie          1820
Tous les êtres humains connaissent la douleur et la souffrance, mais ceux qui ont été élevés au sein d'une culture orientale paraissent mieux tolérer l'une et l'autre. Cela ne serait-il pas dû pour partie à leurs convictions? Il est vrai que la souffrance est plus visible parmi les nations pauvres que dans les pays riches. La faim, la pauvreté, la maladie et la mort y sont présentes, au vu et au su de tous. Celui qui tombe malade, celui qui vieillit, n'y est pas marginalisé : on ne le place pas en maison de retraite pour le confier à des professionnels de la santé - il demeure au sein de la communauté, sa famille prend soin de lui. Du coup, dans ces sociétés où l'on vit journellement au contact des réalités de l'existence, il est moins facile de nier que la vie se caractérise par la souffrance, que cette dernière fait naturellement partie de l'existence.
À mesure que la société occidentale à acquis la faculté d'améliorer les conditions de vie matérielles, d'en soulager la rudesse, elle semble avoir perdu son aptitude à faire face aux souffrances qui subsistent malgré tout. Les sociologues ont mis en évidence que beaucoup de gens, dans la société occidentale, ont tendance à vivre dans l'idée que le monde serait somme toute un endroit agréable, que la vie serait équitable, et que les braves gens - comme eux - ne mériteraient de vivre que de bonnes choses. Inévitablement, la souffrance vient ébranler ces croyances.
Commenter  J’apprécie          1730
Les problèmes et les rivalités d'aujourd'hui doivent se résoudre par le dialogue, il n'y a pas d'autre solution. La victoire écrasante d'un seul camp n'est plus acceptable. Nous devons travailler à résoudre les conflits dans un esprit de conciliation, en tenant compte des intérêts de chacun... Je pense sincèrement que la violence a fait son temps. Seule la non-violence apportera de véritables solutions.
Commenter  J’apprécie          1640
 Dalaï-Lama
" On peut conquérir des milliers d'hommes dans une bataille,
mais celui qui se conquiert lui-même,
lui seul est le plus noble des conquérants. "
Commenter  J’apprécie          1620
 Dalaï-Lama
Ce qui me surprend le plus chez l'homme occidental, c'est qu'il perd la santé pour gagner de l'argent, et il perd ensuite son argent pour récupérer la santé. A force de penser au futur, il ne vit pas au présent, et il ne vit donc ni le présent ni le futur. Il vit comme s'il ne devait jamais mourir, et il meurt comme s'il n'avait jamais vécu.
Commenter  J’apprécie          16129
Nous contribuons activement et de bien des façons à notre agitation psychique et à notre souffrance. Si, en règle générale, les troubles psychiques ou affectifs surviennent pour ainsi dire naturellement, c'est souvent en alimentant de nous-mêmes ces émotions négatives que nous les aggravons. Lorsque nous éprouvons de la colère ou de l'aversion à l'egard de quelqu'un, si nous traitons la chose avec indifférence, il est peu vraisemblable que cela s'envenime. En revanche, songer aux injustices qui nous sont faites (croyons-nous), aux mauvais traitements qui nous sont infligés, les ressasser indéfiniment, voilà qui nourrit la haine. Il en va de même quand nous sommes très attachés à un être : songer à sa beauté, aux qualités que nous projetons en lui, entretiendra cet attachement, qui gagnera en intensité. Mais cela ne montre qu'une seule chose : en fréquentant l'autre régulièrement, en songeant constamment à lui, c'est de nous-mêmes que nous renforçons et intensifions nos émotions.
Il n'est pas rare que nous fassions preuve d'une sensibilité excessive en exagérant les événements mineurs de façon disproportionnée, et simultanément nous savons souvent rester indifférents aux choses réellement importantes, celles qui exercent leurs effets en profondeur et à long terme.
Vous découvrez que quelqu'un tient des propos déplaisants sur votre compte? Si vous réagissez à cette information en vous sentant blessé ou furieux, alors c'est votre tranquillité d'esprit que vous détruisez. En revanche, si vous ignorez la calomnie en faisant la sourde oreille, vous vous protègerez contre cette impression blessante. Certes, vous ne pouvez toujours éviter les situations délicates, mais vous avez la latitude d'attenter l'ampleur de la souffrance en choisissant de ne pas réagir.
Commenter  J’apprécie          1530
 Dalaï-Lama
Sème un acte, tu récolteras une habitude ; sème une habitude, tu récolteras un caractère ; sème un caractère, tu récolteras une destinée.
Commenter  J’apprécie          1140
 Dalaï-Lama
Le silence est parfois la meilleure des réponses.
Commenter  J’apprécie          1043
Dans les relations entre adultes, il s'échange les mêmes émotions, une forte intimité alternant avec une plus grande distance. Cela s'inscrit dans le cycle normal de la croissance et du développement. Pour exploiter tout notre potentiel, savoir être autonome, grandir, étoffer notre personnalité, nous avons besoin de compenser nos besoins de proximité et d'union avec l'autre par d'autres moments plus intérieurs.
Une fois que l'on a compris cela, on ne réagit plus avec horreur dès que « le fossé se creuse » avec son partenaire, pas plus que l'on ne panique en voyant la mer se retirer à marée basse. Certes, parfois, la distance affective qui se creuse au sein du couple peut être le signe de problèmes graves, et une cause éventuelle de rupture.
Dans cette hypothèse, une psychothérapie se justifiera.
Mais il faut surtout garder à l'esprit que distance n'est pas forcément synonyme de désastre. Tout cela peut s'inscrire dans un cycle de redéfinition du couple, pour le cas échéant recomposer l'intimité passée sous une forme neuve, sinon la dépasser.
Il est donc vital de laisser une large place au changement dans les relations avec l'autre. Cela permet de découvrir, au moment où l'on se sent déçu (comme si l'on constatait la disparition de quelque chose), qu'en réalité une profonde transformation est sur le point de s'opérer. Ces transitions tiennent lieu de périodes charnières, où l'amour véritable mûrit et s'épanouit. Le couple ne se basera plus sur la passion intense, sur la vision de l'autre en tant que perfection incarnée, ou sur le désir de fusion. En échange, on est désormais en position de vraiment connaître l'autre - de le voir tel qu'il est, avec ses défauts et ses faiblesses, un être humain comme soi-même. Ce n'est qu'à ce stade que l'on est en mesure de s'engager sincèrement auprès de l'autre - un véritable acte d'amour.
Commenter  J’apprécie          994



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Dalaï-Lama (1819)Voir plus

Quiz Voir plus

Quiz sur le livre "Voyage à Pitchipoï"

Qu'est-ce que "Pitchipoï" ?

C'est le camp des Milles
C'est le camp de Drancy
C'est le camp d'Auschwitz

10 questions
1405 lecteurs ont répondu
Thème : Voyage à Pitchipoï de Jean-Claude MoscoviciCréer un quiz sur cet auteur

{* *}