Citations de Dalaï-Lama (553)
Il est indispensable de faire en sorte que chaque jour de notre vie ait un sens.
Nous pouvons vivre sans thé, mais pas sans eau ; de même, nous pouvons vivre sans religion, mais nous ne pouvons pas vivre sans spiritualité.
Donne à ceux que tu aimes des ailes pour voler, des racines pour revenir et des raison de rester.
Ce n'est pas assez d'avoir de la compassion, il faut agir.
La prospérité - mentale et affective plutôt que purement materielle - a elle aussi son importance dans l'acquisition de la paix intérieure.
Je crois que le but de la vie est d'être heureux
Nous gaspillons notre vie. Dès l'heure de notre naissance, nous avançons vers la mort. Et nous passons pourtant le plus clair de notre existence à faire provision pêle-mêle de nourriture, de vêtements et d'amis. A l'heure de notre mort, il faudra laisser tout cela derrière nous. Ce voyage vers l'autre monde, nous devons le faire seul, sans personne pour nous accompagner.
L'esprit, c'est comme un parachute. Ca marche mieux quand c'est ouvert.
Si tu veux connaître quelqu'un, n'écoute pas ce qu'il dit mais regarde ce qu'il fait.
Si vous perdez, ne perdez pas la leçon.
Malgré notre besoin vital de confiance en nous, il est important de savoir distinguer l'arrogance de la fierté légitime...
Nous portons tous en nous le bien comme le mal...
Si vous le pouvez, mettez-vous au service des autres. Sinon, abstenez- vous de leur faire du mal.
Les êtres humains vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir, puis meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Si cette situation ou ce problème sont tels que je ne puis y remédier, alors cela ne sert à rien de s'en soucier.
Aucun journaliste ne sait plus ce qu’est une bonne nouvelle.
Il est de notre responsabilité de nous montrer vertueux. Patience et tolérance ne sont pas des signes de faiblesse, mais des preuves de notre force.
(Cité dans revue "Panorama" no 516, mars 2015)
Malgré leurs différences philosophiques et rituelles, toutes les religions se ressemblent: elles délivrent un message de compassion, d'amour et de pardon.
Dans nos sociétés, le progrès technologique et le confort matériel accru ont introduit un bouleversement de la perception. Dès lors que la souffrance devient moins visible, elle n'est plus tenue pour une part fondamentale de la nature humaine - mais plutôt comme une anomalie, le signe de l'"échec" d'un système, une atteinte à notre droit au bonheur garanti!
Ce type de pensée est perfide. À partir du moment où nous jugeons la souffrance contre nature, alors nous sommes mûrs pour nous mettre en quête de quelqu'un à qui en faire supporter la faute. Suis-je malheureux? Je dois être la "victime" de quelqu'un ou de quelque chose - le gouvernement, le système éducatif, des parents abusifs, une "famille déséquilibrée", le sexe opposé, une compagne ou un compagnon indifférents. Nous avons aussi la latitude de retourner la faute contre nous-mêmes : je suis la victime d'une maladie ou d'un défaut génétique. Reporter ainsi la faute sur autrui, conserver une posture de victime, tout cela n'est qu'une manière de perpétuer la souffrance - avec la colère, la frustration et le ressentiment qui vont de pair.
À l'évidence, vouloir s'affranchir de la souffrance est le corollaire du désir d'être heureux. C'est pourquoi il est tout à fait juste de rechercher les causes du malheur, en explorant tous les niveaux - mondial, social, familial et individuel.aus tant que nous verrons dans la souffrance un état contre nature, une situation anormale que nous redoutons, que nous évitons et rejetons, nous n'en débusqueront jamais les causes.
Nos véritables ennemis sont les poisons mentaux : l'ignorance, la haine, la jalousie, l'orgueil.
Ce sont les seuls capables de détruire notre bonheur.
La colère ou la haine, en particulier, sont les causes d'un grand nombre de malheurs dans ce monde, depuis les querelles familiales jusqu'aux plus grands conflits.