Citations de Dalaï-Lama (553)
Donnez à ceux que vous aimez des ailes pour voler, des racines pour revenir, et des raisons de rester.
Les êtres humains vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir, puis meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le vrai bonheur ne dépend d'aucun être, d'aucun objet extérieur. Il ne dépend que de nous...
"Véritablement; c'est le combat de l'existence qui fait de nous ce que nous sommes. Et ce sont nos ennemis qui nous mettent à l'épreuve, qui nous fournissent cette capacité de résistance si nécessaire à la croissance."
"Puisque telle est la réalité de l'existence, n'est-ce pas toute notre attitude vis-à-vis de la souffrance qu'il nous faut revoir? C'est important, car cela peut affecter notre manière de supporter la douleur quand elle survient. Or c'est le plus souvent par l'intolérance et l'aversion que nous y réagissons. Pourtant, savoir transformer notre attitude devant la souffrance, pour mieux la tolérer, voilà qui peut grandement aider à neutraliser la tristesse, l'insatisfaction ou le mécontentement."
"De toute façon, si l'on cherche à construire une relation vraiment enrichissante, le meilleur moyen d'y parvenir, c'est de s'attacher à découvrir en profondeur la nature de l'autre et d'établir un rapport avec lui ( ou avec elle) à ce niveau, au lieu de le faire sur la seule base de traits superficiels. Et dans ce genre de relation, la compassion véritable a son rôle à jouer."
"Notre rapport avec autrui a beau être parfois éprouvant, donner lieu à des disputes, il faut essayer de ne jamais se départir d'une attitude amicale et chaleureuse, ou s'écarter d'un mode de vie qui accorde suffisamment de place au dialogue, et cela afin de vivre heureux."
"C'est pourquoi notre bonheur quotidien dépend largement de notre attitude. En fait, la sensation d'être heureux ou malheureux dépend rarement de notre état dans l'absolu, mais de notre perception de la situation, de notre capacité à nous satisfaire de ce que nous avons."
"C'est l'état d'esprit, plus que les événements extérieurs, qui détermine le bonheur."
"En s'imposant une certaine discipline intérieure, on peut transformer son attitude, ses conceptions et sa manière d'être dans l'existence. Naturellement, cette discipline intérieure repose sur quantité de méthodes. Mais on commence par isoler les facteurs qui mènent au bonheur de ceux qui mènent à la souffrance. Après quoi, on s'attache peu à peu à éliminer les facteurs de souffrance et à cultiver ceux qui conduisent au bonheur. Telle est la voie."
Soyez égoïstes : aimez-vous les uns les autres !
Comme toute conversation, celle-ci nous conduit au silence.
Nous pouvons tout nier, sauf cette possibilité que nous avons d'être meilleurs.
Il rappelle au passage que le bouddha est dit "omniscient" ce qui implique nécessairement qu'il y a quelque chose à savoir.
La bouddhéité, qu'est-ce ? Une première réponse est simple : il est impossible de le dire avec des mots. Les mots sont imparfaits et trompeurs. Les traditions indienne et chinoise ont toujours montré la plus alerte vigilance à l'égard des définitions. Les meilleures sont celles qui ne tombent pas dans le filet des mots.
Pour beaucoup de lecteurs pressés, le bouddhisme peut se résumer en une phrase : "il vaut mieux être gentil que méchant."
Le Dalai Lama le dit à sa manière : "quand je doute d'exister, je me pince."
L'extrême compassion n'est autre qu'un stade supérieur de cet intérêt pour soi-même. C'est pourquoi les gens qui se détestent eux-mêmes ont tant de mal à se montrer sincèrement compatissants envers leur prochain. Ils n'ont pas de point d'ancrage, de départ.
La sensation d'être heureux ou malheureux dépend rarement de notre état dans l'absolu, mais de notre perception de la situation, de notre capacité à nous satisfaire de ce que nous avons.
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J'ignore la haine. j'y suis parvenu grâce à une pratique progressive, ce n'est pas arrivé du jour au lendemain.