Falzar

Je ne lis pas souvent de BDs, encore moins de livres jeunesse.

J'ai donc été surprise quand ce livre m'a été proposé dans une masse critique privilégiée : une BD jeunesse. Je me suis dit : Pourquoi pas, alléchée par la couverture pleine de couleurs et ses personnages attendrissants.

Verdict : j'ai beaucoup aimé et je remercie Babelio et Bamboo Édition pour cet envoi.



Dans la famille Bête à bêtises, je vous propose :

Rose petite fille qui souffre des disputes entre ses parents et vient se réfugier chez son grand-père. Elle a des idées parfois un peu farfelues, mais est pleine de tendresse

Papy Titanic, qui malgré son âge plus avancé, n'est parfois pas en reste dans les idées saugrenues.

Sans oublier les quatre chatons ...



Regardez bien, ils sont tous sur la couverture.



Beaucoup de couleurs, des dessins de qualité, et surtout des visages très expressifs qui montrent bien les sentiments éprouvés par les personnages pour 8 petites histoires qui raviront à coup sûr enfants, parents et évidemment grands-parents.

Lasse d'entendre ses parents se quereller, Rose part s'installer chez son grand-père maternel, quelques portes plus loin.

Un grand changement pour le Papy qui n'est plus habitué à se lever le matin pour accompagner une enfant à l'école et voit son activité principale, construire une maquette du Titanic, quelque peu chamboulée. Mais aussi pour Rose, qui découvre un nouvel espace de liberté.



Le sujet n'est pas si facile, puisque les auteurs nous parlent de la réaction d'un enfant face aux querelles incessantes de ses parents. Il est traité avec humour et beaucoup de tendresse, en repositionnant le rôle des grands-parents. Je m'y reconnais assez bien...

Les textes sont simples, faciles d'accès pour les plus jeunes, dès qu'ils savent lire.

Le dessin est coloré. Il paraît simple mais fourmille de petits détails qui justifient un regard approfondi.



J'ai beaucoup aimé cette lecture et je suis certain que l'album plaira à l'une de mes petites-filles ou petites-nièces à qui je vais le donner.



Je remercie Babelio et Bamboo édition de m'avoir fait découvrir cette BD jeunesse, son auteur et son illustrateur.
Lien : http://michelgiraud.fr/2023/..

Un grand merci à Babelio et Bamboo pour cette BD reçue dans le cadre d'une Masse Critique. J'ai trouvé cette histoire toute mignonne.

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Une BD donc évidemment parlons des dessins. Franchement je les ai trouvés très sympa, ils m'ont beaucoup plu. A ces charmants dessins très vivants s'ajoutent des couleurs toniques. Chapeau bas au dessinateur et au coloriste. Je me suis vraiment régalée avec les dessins !

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Mais une BD c'est aussi une histoire, ici des petites histoires qui se succèdent.

Rose, petite fille, quitte ses parents, toujours en conflit, pour s'installer à deux maisons de chez elle chez son papy. Cette BD est basée sur les relations tendres, émouvantes, entre ce papy et sa petite-fille.

C'est frais, mignon, tendre. Disons que je m'attendais à quelque chose de plus humoristique. C'est son seul, minuscule, bémol....

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Donc un grand merci pour cette BD déjà partagée avec mon mari et ma fille cadette, qui ont tous deux également apprécié !

Mais que cette BD est mignonne ! J’ai totalement fondu face à ce tandem intergénérationnel touchant, drôle et complice. Certes, certains gags sont (re)vus toutefois, j’ai été sous le charme tout au long de ma lecture. Je trouve qu’il y a un petit air duo de Cédric ou de Dad dans le binôme du grand-père veuf et de sa petite fille pétillante. En tout cas, ils forment un cocktail vraiment tendre auquel on s’attache réellement. Ni vu ni connu, on aborde également des sujets sensibles propres à tous les âges : la solitude, les conflits familiaux, le deuil, les humeurs changeantes, etc. Bref, un one-shot qui fait du bien au moral dont le graphisme et les héros parleront à toutes les tranches d’âge.



Merci Babelio et Bamboo pour cette MC ! Je vais donner la BD à ma bibliothèque ! Je suis certaine que mes lecteurs vont adorer !

Adorant les ouvrages mettant en scène des relations intergénérationnelles, je ne pouvais qu’être tentée par cette BD, d’autant que j’étais moi-même proche de l’un de mes grands-pères. J’ai donc été très touchée par la relation entre Rose et son papy, surnommé Papy Titanic. Sympathique allusion à la maquette du Titanic qu’il reconstitue patiemment, jusque dans ses moindres détails, et qui semble occuper ses journées. Du moins jusqu’à ce que l’arrivée de sa petite fille, et de quatre adorables chatons, ne vienne bouleverser ses habitudes de vieux monsieur solitaire…



En effet, lasse des disputes incessantes de ses parents, Rose plie bagage pour emménager chez son papy, qui lui ouvre gentiment sa porte et l’installe dans l’ancienne chambre de la maman de la fillette, au grenier. Commence alors une tendre, douce et quelque peu mouvementée vie à deux ! C’est que la petite Rose amène pas mal de changement dans la vie de ce papy qui va devoir revoir ses priorités : entre l’école, les sorties, la mission de récupération en pleine nuit d’un doudou, les goûters, les activités à trouver pour occuper Rose et la fougue toute juvénile de sa petite-fille, sa maquette risque bien de ne plus être sa principale (pré)occupation.



Dès la première page, j’ai été séduite par les couleurs lumineuses et le trait tout en arrondi de Marco Paulo, qui convient à merveille à la tendre douceur qui se dégage de cette cohabitation à deux. Une cohabitation emplie de complicité et de beaux moments de partage même s’il y aura également quelques moments de tension et d’incompréhension, heureusement bien vite oubliés. Car dans cette BD, ce qui prime, c’est avant tout la communication, l’écoute, l’empathie et la bienveillance ! Bienveillance d’un grand-père pour sa petite-fille affectée par les disputes de ses parents ; et bienveillance d’une petite fille pour un grand-père un peu fantasque, qui porte en lui ses propres maux.



Au fil de la lecture, et malgré le ton léger de la BD, on réalise tout le talent de l’auteur qui évoque sans pathos et avec un humour bienvenu, des sujets parfois difficiles : les différences intergénérationnelles pouvant occasionner des conflits, les relations conflictuelles entre les parents ayant de réelles conséquences sur les enfants pris en étau, la manière dont la vie actuelle peut pousser des parents à négliger, sans même en avoir conscience, leurs enfants, cette question de la solitude et de l’isolement des personnes âgées… Une solitude, ici, liée au deuil.



L’auteur évoque ainsi avec une rare et réelle sensibilité ce thème du deuil, se contentant de quelques allusions et de brefs moments qui permettent de comprendre à quel point la perte de sa femme a affecté ce grand-père fantasque. À cet égard, j’ai trouvé certaines scènes particulièrement belles et poétiques. Je pense notamment à celle où un foulard permet d’inclure, même symboliquement, la grand-mère de Rose dans une folle course jusqu’à l’école, ou à une balade jusqu’à un lieu important pour Papy Titanic et sa défunte épouse, même si les choses ne se passeront pas comme prévu. L’auteur nous rappelle d’ailleurs avec beaucoup de douceur que les choses changent inexorablement, le nouveau remplaçant l’ancien, mais qu’il est toujours possible de se recréer un coin de paradis ; un endroit où partager de beaux souvenirs et s’en créer de nouveaux.



Petit à petit, une sorte de pont semble se créer entre un bonheur passé empreint de nostalgie, et un bonheur présent qui laisse place à la nouveauté et à une petite fille qui a le don d’entraîner son papy adoré dans de drôles et de loufoques aventures. L’auteur arrive ainsi à nous émouvoir, à nous attendrir et à nous faire rire à travers des scènes cocasses, des échanges empreints d’humour et des moments hauts en couleur entre un Papy qui semble reprendre goût à la vie, et une petite fille déchargée des tensions familiales. J’ai adoré voir leurs liens se renforcer à mesure que les jours défilent, d’autant que j’ai apprécié le choix de l’auteur de ne pas proposer une intrigue classique, mais des instants partagés sur quelques pages. Cela apporte beaucoup de dynamisme à l’histoire, tout en nous donnant le sentiment d’être les témoins de précieux moments de tendresse et de complicité.



En conclusion, Mon Papy Titanic est une douce, lumineuse, tendre et poétique BD qui, avec humour et bienveillance, met en scène une cohabitation animée et joyeuse entre un grand-père solitaire qui va de nouveau s’ouvrir à la vie, et sa dynamique, joyeuse et espiègle petite-fille qui va prendre de la distance avec une vie familiale marquée par les disputes parentales. Entre des scènes cocasses, des situations amusantes et des instants émouvants, cette histoire est un petit bonbon qui met du baume au coeur, et dont on a envie de faire durer le plaisir. Un indispensable pour les amateurs de belles relations intergénérationnelles !



Je remercie Babelio et les éditions Bamboo pour cette belle lecture.
Lien : https://lightandsmell.wordpr..

Bienvenue à bord !

Embarquons, voguons, à travers les aventures cocasses et rocambolesques de papy Jacques et de sa petite-fille,...Rose, évidemment.

Le voyage n'est pas garanti de tout repos. Surtout pour papy, qui est un grand solitaire depuis le décès de mamy...

Les disputes incessantes entre les parents de Rose vont inciter la fillette à trouver refuge chez papy.

Et interrompre la vie tranquille de ce dernier, en pleine construction d'une magnifique maquette du Titanic.

Un sacré chamboulement !

Ah, ça ! Rose, elle le ménage pas son papy...

Ça déménage même...

Quand papy prend le volant, on n'est pas loin du remake du Titanic... gloups !

Sueurs froides et rires au rendez-vous.

Mais la petite chipie n'est pas toute seule à dégripper les vieux os du grand-père... Vous verrez.

Son cœur va lui aussi être mis à rude épreuve.

Pas besoin de check up !

De belles cascades et de frayeurs, pour le plus grand bonheur de nos zygomatiques.

C'est frais, c'est coloré.

Pétillant !

C'est tendre, amusant, touchant et tellement expressif...

De beaux moments de partage, de complicité entre eux.

Et de sourires pour nous.

Ils se complètent bien ces deux-là.



Pour papy Jacques, Rose, c'est la reine de son monde.



Falzar et Marco Paulo, c'est quand vous voulez pour un tome 2.

Je suis partante pour un nouveau voyage.

Au boulot !



Merci Bamboo édition et Babelio.

Les parents de Rose se disputent souvent, alors elle décide d’aller vivre chez son grand-père dont la grande passion est de construire une maquette du Titanic.

Huit petites histoires composent cet album réservé aux jeunes lecteurs. Un récit tout en tendresse sur les relations entre un grand-père et sa petite fille. J’ai beaucoup apprécié la qualité des dessins et surtout les expressions des visages des personnages.

Merci aux éditions Bamboo et à Babelio pour leur confiance.

Aja est fakir et se rend à paris spécialement pour acheter un lit à clou Ikea. Il n'avait pas prévu de rester, mais sa commande n'arrivera que le lendemain. Du coup il décide de se cacher dans le magasin. pas de chance sa cachette, une armoire, se fait déstocker en Angleterre et lui avec!



Bon... pas extraordinaire cette lecture. Je ne sais pas comment est le roman, mais la bande dessinée est une succession d'événements rocambolesques, hautement improbables, qui se déroulent à un rythme effréné. Pas le temps d’approfondir les histoires, les sujets ou les personnages. L'humour pas tellement plus... Dommage car il y avait de quoi aborder la question des rencontres entre cultures, la mixité sociale, les migrants, ...

Le tout se conclut par une fin attendue avec une morale un peu à trois sous. Bref je ne me suis pas tout laissée embarquée dans les péripéties de notre fakir.



Les dessins sont un peu brouillons, pas toujours élégants. Ils restent honorables avec une colorisation dynamique qui colle au sujet.

Quelques tensions actuellement dans la famille de Rose, une petite fille un peu solitaire par la force des choses. Ses parents sont chacun accaparés par leur travail, lui consacrent peu de temps et la laissent se réfugier dans ses jeux vidéo. Pire ils se disputent sans cesse et c'est démoralisant. Rose n'en peut plus et va demander asile à son grand-père qui habite tout près, quelques semaines peut-être quelques mois juste le temps que ses parents « se retrouvent ».



Papy Jacques est veuf, il vit seul enfermé dans ses souvenirs, sa routine et ses manies. Sa passion et son passe-temps de tous les jours : le Titanic. Il en construit une superbe et grande maquette. Rose va quelque peu bousculer la vie quotidienne du vieux monsieur, par sa fantaisie et son énergie. La cohabitation n'est pas toujours facile, parfois des hauts et des bas mais une grande complicité unit le grand-père et sa petite fille. Beaucoup de moments de partage et de tendresse dans cette relation intergénérationnelle.



Falzar et Marco Paulo ont conçu une charmante bande dessinée, touchante et amusante, qui peut être lue par toute la famille. Les textes sont simples, courts et humoristiques. Quant aux illustrations aux couleurs gaies et aux formes arrondies elles apportent douceur, fraîcheur et tendresse à l'ensemble. Des tranches de vie sympathiques et deux personnages bien attachants.



J'ai reçu Mon Papy Titanic dans le cadre d'une masse critique privilégiée. Merci à Nicolas, à Babelio et aux Editions Bamboo d'avoir pensé à moi et de m'avoir proposé cet album que vais pouvoir partager bientôt avec mes petits-enfants lors de leur prochaine visite.



#Challenge Riquiqui 2023

Nous remercions Babelio et Bamboo Edition pour l'envoi de cette jolie BD.

Mon petit fan de BD était au départ très septique. La couverture faisait pour lui trop mignon et enfants (s'en est un mais il ne faut pas lui dire 😅).



Nous avons donc fait la rencontre, sur ce premier tome, de la petite Rose qui vit chez ses parents à deux pas de chez son grand-père maternel. Et heureusement, car ses parents se disputent souvent et cette fois est la fois de trop. Elle part donc, toute seule, avec son sac, chez son grand-père.

Ce dernier est en plein montage de sa maquette du Titanic mais est ravi d'accueillir sa petite-fille et va la loger dans l'ancienne chambre de sa maman.

Ils vont vivre quelques jours ensemble, le temps que tout se calme chez elle.



Elle lui fait faire un peu ce qu'elle veut à son papy mais c'est une gentille petite fille qui ne fait pas trop de bêtises.

Il est veuf et très attaché aux deux femmes de sa vie.

Il a ses habitudes mais fait passer sa petite Rose avant tout et elle lui rend bien.

Les illustrations sont très jolies.

Le tout va très bien ensemble. De la douceur, de la rondeur, de l'empathie, de la sympathie, des drôleries.

On s'attache aux personnages.

C'est un peu dommage que les parents ne sachent pas communiquer autrement que par des disputes.



C'est un carton plein pour mon petit fan qui mettrait un 5 étoiles. Je n'en mets que 4 car, chez nous, la communication c'est primordial 😊.

Ce premier tome d'une série policière parodique reprend bien évidemment la trame du roman très célèbre d'Agatha Christie , les dix petits nègres en la modernisant puisque sous toile de fond une émission de TV Culinaire à la TOP CHEF

Soit dix chefs lauréats de précédentes éditions qui se retrouvent en tournage dans un chalet de montagne et qui vont disparaitre les uns après les autres dans des circonstances particulières.



La commissaire Magret( sic) et son rejeton Hercule Poirot sont dépéchés pour tenter de trouver le fin mot de l'histoire.



Une enquête 100 % humoristique où aucun des meurtres n'aura beaucoup de sérieux mais l'objectif est atteint on s'amuse beaucoup devant cette relecture gastronomique et moderner par les expérimentés Falzar et Carrère.



Des illustrations efficaces, des dialogues savoureux : une BD sans prétention mais très agréable !




Lien : http://www.baz-art.org/archi..

Une nuit, deux loubards se font chopper par la police pour avoir tagger un mur. Il passe au tribunal, et au lieu d'une peine de prison, nos deux voyous en herbe se retrouvent avec des travaux d'intérêts généraux... dans un parc de loisirs.

Zozoland est un parc d'attractions dont raffolent les enfants. Le travail de nos condamnés sera d'enfiler le costume des deux mascottes du parc. Mais voilà, le travail n'est pas facile : ils sont très solliciter par les enfants.



Et nos deux amis n'aiment pas particulièrement les gosses.



Un album composé par Blatte et Falzar dont l'humour est grinçant et teinté de vérité.



Les deux auteurs ont déjà prépublier Zozoland dans le magazine Spirou et l'impression album doivent être une grande fierté pour eux.



C'est le premier album de Blatte, en tant que dessinateur. Il est aussi l'auteur de "Johnny têtard" mais sa série est resté au stade "découverte" dans Spirou. Je trouve qu'il a beaucoup de talent et j'espère qu'il se fera un nom dans l'univers BD.

Quant à Falzar, il a débuté avec Zidrou pour Spirou (lui aussi). Sa série la plus connue est "Sac à puces" (Editions Dupuis). Ce n'est pas sa première expérience dans le monde des éditions, mais il prouve qu'il a du talent et de l'imagination pour narrer des histoires destinées à la jeunesse.

Un album avec une couverture très colorée, avec des dessins tout en douceur, la nature, le ciel bleu et lumineux, une promenade en barque avec des chats et Papy Titanic avec sa petite fille Rose !

En effet, Rose n'a pas supporté les disputes incessantes de ses parents et, elle est allée de réfugier tout près chez son grand-père maternel !

Papy est veuf, solitaire, fantasque parfois, il est passionné de maquette, en particulier celle du Titanic et, l'arrivée de Rose va l'obliger à se remettre en question pour la distraire. Rose est accro aux jeux vidéo que Papy déteste et, en cherchant le drapeau de la White Star, ils découvrent que c'est la chatte avec ses 4 chatons qui ont sabordé son bateau et, quand ils sont en retard : Papy va l'amener à l'école avec l'auto de Mamy qu'il n'a jamais conduite puis, il va l'amener promener pour voir un lieu magique " paradis " qu'il avait l'habitude de visiter avec Mamy, et, quand Rose n'arrive pas à dormir car elle n'a pas son doudou, il décide d'aller en pleine nuit le récupérer chez ses parents ! Il participe à la fête de l'école, s'amuse comme un fou avec les autres enfants et il se déguise en tomate à la danse des légumes ! Ils sont très différents l'un de l'autre : ils se chamaillent mais, au bout du compte ils s'aiment beaucoup et sont complices !

L'école est finie et sa maman, vient lui annoncer qu'ils vont en vacances avec son papa pendant 1 mois dans un camping ! Rose partie, Papy s'ennuie, il tourne en rond dans sa maison vide, Rose s'amuse elle a fait des copains mais elle pense beaucoup à son Papy et, quand elle veut lui envoyer un sms : une surprise l'attend car Papy s'est installé dans une tente voisine !!!

Une belle surprise pour moi aussi avec cette B.D proposée par Babelio et les éditions Bamboo que je remercie : celle d'une histoire universelle sur la relation intergénérationnelle entre un grand-père et sa petite-fille, sur la séparation des parents, sur la solitude des personnes âgées et surtout sur la tendresse !

Car, "sans la tendresse, l'amour ne serait rien " : un clin d'oeil à ce cher Bourvil et un autre, de la part de Falzar au capitaine Haddock avec son expression " 1000 millions d'icebergs " pour le Titanic ! ! !

Quelle daube ! Des anecdotes sans queue ni tête, des improbabilités (fou ! le nombre de gens qui se croisent dans différents pays !) J'y ai compris un peu quelque chose parce que j'avais lu le roman, contrairement aux personnes n'ayant eu affaire qu'à cette BD qui ont été larguées dès le début et n'ont pas aimé. Seule la colorisation est jolie.

J'ai reçu ce livre dans le cadre d'une opération "Masse Critique privilégiée" organisée par Babelio.

Merci à Babelio et aux Editions "Bamboo" pour cet envoi.

Le scénario est de Falzar et les dessins de Marco Paulo.

J'ai eu un coup de coeur pour cette bande dessinée pour enfants, appréciant aussi bien l'histoire racontée que le graphisme, avec des dessins expressifs et bourrés de détails.

Rose est une fillette qui passe beaucoup de temps à jouer sur sa tablette. Comme ses parents se disputent, elle part chez son grand-père, âgé et solitaire, qui habite tout près, avec son gros chat. Son papy construit une maquette du Titanic. Elle va passer quelques jours chez lui et le pousser hors de sa zone de confort, l'entraînant dans des actions parfois dangereuses ou cocasses, le faisant parfois devenir chèvre.

Rose et son papy ont parfois mauvais caractère mais un coeur d'or et le duo fonctionne bien.



J'ai beaucoup apprécié cette bande dessinée, peut-être parce que je m'imaginais très bien dans la peau du papy, et aussi dans celle de Rose.
Lien : https://www.unebonnenouvelle..

Les schtroumpfs sont des personnages nés sous le crayon de Peyo il y a près de soixante-cinq ans ; leurs aventures ont été adaptées au cinéma en dessin animé, aussi tous les enfants connaissent ces héros de fiction. Cet ouvrage appartient à une collection avec des planches comportant de deux à quatre vignettes par page et une écriture assez grosse dans des bulles aec un nombre de mots limités.



Dans ce récit en bandes dessinées, il est question de la mort d’un ami ; afin d’éviter de mettre en scène la mort d’un schtroumpf, le choix se porte sur la disparition d’un papillon. Cette optique relève d’une approche lointaine du phénomène de la mort humaine ou de celle d’un animal de compagnie (chat, lapin, hamster, chien…).



Rédigé par la psychologue Diane Drory, le dossier aborde de plein pied, en huit pages, la question de la mort est abordée à travers plusieurs questions comme : c’est quoi être mort ?, c’est obligé de mourir, c’est quand qu’on a fini d’être mort, sait-on quand on va mourir ? , ça fait mal d’être mort après la mort où va-t-on ?... On termine avec des conseils sous le chapeau de deux points : tu peux transformer l’absence en présence, les conseils du grand schtroumpf. Dans cette dernière réflexion, on trouve quatre affirmations dont « Même si la mort nous sépare, ce que l’amour a apporté de bon et de chaud reste vivant en nous pour toujours ». L'illustration couvre environ un tiers de la surface de ce dossier documentaire, certains mots importants sont en couleur et on a varié la taille des caractères d'imprimerie.

Ce n'est pas Papy Titanic qui dira que la vieillesse est un naufrage, au contraire !

Ce Papy, c'est celui de Rose. Il est passionné de sa maquette du Titanic comme elle l'est de son jeu vidéo. Et quand elle décide de quitter ses parents qui se disputent trop souvent pour aller vivre chez lui à deux maisons de là, tout n'est pas toujours rose non plus. Mais ce qu'il y a de bien avec Papy Titanic, c'est qu'il trouve toujours une bêtise plus grosse que celle de Rose à faire, et les bêtises, on le sait, c'est bien plus drôle à deux, voire à six quand les chatons s'en mêlent. En venant bousculer le quotidien de son grand-père, la mignonne petite Rose rebat les cartes des générations et de l'organisation familiale.

Cette bande dessinée à partager en famille croque avec humour et délicatesse les défauts de trois générations et personne n'est épargné pour son âge, qu'il soit grand ou petit. Le dessin coloré est gai et rafraîchissant et le numéro 1 sur la tranche laisse entrevoir que peut-être Rose et son Papy ne feront pas naufrage de si tôt.

Merci à Babelio et à Bamboo éditions pour cet ouvrage reçu dans le cadre d'une opération masse critique.

Rose fuit la maison familiale lors d’une énième dispute de ses parents. Elle se réfugie chez son grand-père qui habite à côté.



Celui-ci vit seul et va voir son quotidien bouleversé par l’arrivée de cette enfant, qu’il adore, mais qui bouscule ses habitudes. Petit à petit, chacun trouve ses marques, font quelques bêtises. Il y a des moments de nostalgie aussi.



Mais voilà, il est temps de rentrer à la maison pour les vacances avec les parents qui, semblerait, se sont réconciliés et souhaitent passer un bon moment avec leur petite fille ! Qu’en est-il du grand-père qui, du coup, se retrouve seul, livré à lui-même ?



J’ai aimé les dessins, très colorés, qui collent bien au scénario et les bouilles très expressives, sans être grossières, des personnages. Une BD tout en tendresse, plein de malice, de drôlerie et d’humour qui ravira aussi bien les petits que les plus grands. Ce n’est pas mièvre du tout. Un régal !



Un grand merci à Babelio et aux Editions BAMBOO. J’ai reçu ce livre lors d’une Masse Critique privilégiée. Je vais faire une heureuse et également en parler à mon Club de Lecture lors de notre prochaine rencontre.

0️⃣ Tome 3 des aventures de l'instit préféré de Ducobu Latouche.



0️⃣ Plusieurs histoires mais avec la même ligne rouge, il faut sauver la statue de Saint Potache.

Y'a pas de petites économies et Latouche va même devoir apprendre à se passer de stylos rouges ! Dur, dur d'utiliser du vert.



0️⃣ Ducobu n'apparait donc pas, sa manche oui, mais lui à peine.

On est centré sur les instits et la directrice.

Le dur fonctionnement d'une école avec les coups de déprime, les plus rares moments de joie, les budgets serrés, les contrôles de l'académie.



0️⃣ Bon, de notre côté, pas super convaincus par l'humour version Latouche. Pas certaine que mon petit fan retourne vers un autre tome.

Une bande dessinée sympathique dont les héros sont Max et Bouzouki, son chien. Un personnage à part entière qui ne pense qu'à manger. On aperçoit aussi Léa, la copine qui elle possède un chat.

Histoires d'écoles, de parents pas toujours d'accord et de copains.

5 ou 6 cases par page, et un gag à chaque fois. Texte simple, dessin coloré. La mise en page est plutôt gaie.

La 4 e de couverture nous apprend que c'est éducatif... Là je suis dubitative..

Par contre pour les lecteurs débutants, et à cet âge on a envie de lire de la BD, c'est vraiment adapté et drôle.

Heureux petits belges qui trouvent de la BD - cette BD- dans leur manuel scolaire, et cela depuis de nombreuses années.



"Ma première BD " pour les 6/7 ans, qui ne devraient pas bouder leur plaisir.



Merci à masse critique, à babélio et à la maison d'édition Kennes