Si, à l’avenir, les exclus ne veulent pas vivre de charité chrétienne et d’eau fraîche, ils devront accepter n’importe quel sale boulot, n’importe quel travail d’esclave, ou n’importe quel " contrat de réinsertion ", si absurde soit-il, pour prouver leur inconditionnelle disponibilité au travail.