Ma grand-mère a toujours rêvé que ma mère apprenne à parler français.
Parce qu'elle voulait qu'elle lise des livres de Zola assise dans un fauteuil avec un grand chapeau.
Elle avait vraiment un truc avec les chapeaux.
Elle n'avait jamais lu Zola mais elle trouvait que ça faisait chic.
(p. 30)