J’ai toujours aimé l’odeur du métal chaud glissant sur le tissu moite. Rien n’est plus rassurant pour les maris, les enfants et les bêtes. Repassage, cire fraîche, soupe qui cuit… Il y a toute l’alchimie du bonheur dans les effluves domestiques nés du labeur des femmes.