Hachette

Cet ouvrage de presque deux cents pages est une édition partielle de l'encyclopédie "Réussir ses aquarelles".

Je commence ma chronique par une digression ! Un jour, ou une année, où rien n'allait, où mes envies insatisfaites tournaient en obsession et qu'aucun cadeau ne me faisait plaisir, j'avais demandé au Père Noël , par dépit, une somptueuse boîte d'aquarelle professionnelle et tout ce qui allait avec (toutes sortes de pinceaux, une éponge naturelle, une blouse de peintre, un chevalet…) y compris ce manuel. Histoire de retrouver mes premières passions pour être bien. Comme certains adultes reprennent le piano, et puisque j'enseigne le piano je sais bien de quoi je parle ! La peinture, c'était ma passion d'enfance que la musique avait supplantée.

Les éternelles questions : faut-il suivre une méthode ou avoir ses propres idées ou intuitions auquel cas les méthodes ne font que nuire ou vous freiner?… Peut-on comparer une véritable séance en présence d'un maître avec l'étude sèche d'un manuel ? (Quoique le confinement nous a fait passer par l'enseignement à distance en visio !) Ou alors c'est une dialectique ?

Ce qui attire l'oeil dans ce manuel, ce sont les foisonnants « exemples » faits par Théo SAUER. Sur son site internet il se présente comme passionné d'aquarelle depuis plus de trente ans. « Mais c'est depuis mon déménagement à l'Île d'Yeu de 1997 à 2000 que je m'y consacre pleinement. Vivre de cette passion est un rêve qui se réalise lentement mais sûrement… Durant cette période islaise je réalise un manuel sur l'aquarelle avec Hachette fascicules intitulé « Réussir ses aquarelles ». Cette expérience pédagogique me permet d'approfondir les techniques de l'aquarelle et de partager mes connaissances avec d'autres personnes. C'est à mon retour en Alsace en 2000 que je commence à donner des cours d'aquarelle dans des groupes associatifs. Au fil des années le nombre de mes élèves augmente. » « Mon travail personnel est consacré à la friche industrielle. Cet univers me fascine et m'interpelle. J'affectionne tout particulièrement ces vieux bâtiments qui ont laissé une empreinte de notre passé. La nature y reprend doucement ses droits. Je recherche presque toujours des ambiances et des lumières de contre jour. J'aime également peindre une vieille porte, un petit bout de serrure, un détail de rouille riche de toutes les teintes et textures. J'entraîne le public dans les lieus oubliés et délaissés que je fais redécouvrir et renaître… »

L'auteur aborde tout le vocabulaire de l'aquarelliste : comment tendre sa feuille, la technique du papier sec, la technique humide, la technique mixte, le lavis uniforme, le lavis dégradé, le lavis polychrome, la technique des rehauts, l'art de préserver les zones blanches, le grattage, projections et diffusions à l'aide d'une vieille brosse à dents, les additifs, la peinture à l'éponge, transparence et opacité des couleurs, les arbres en toutes saisons, les fleurs, les couchers de soleil, les brouillards, les paysages de pluie, de neige, l'eau et les reflets, la mer et les vagues, les animaux et les personnages, les drapés, les poils et les plumes, le portrait et le nu artistique… L'index est plus que complet. Les petits glossaires illustrés de Théo Sauer sont très pratiques et parlants !

Mais j'avoue que je n'ai « suivi » ce manuel que très peu, découragée par mes réalisations par rapport aux exemples donnés ! Surtout je ne me suis pas crée « mon moment aquarelle » dans mes journées ballottées.

Aujourd'hui c'est à mon fils d'y piocher tout naïvement des astuces ! Comme il est petit, je lui lis graduellement le texte que nous trouvons passionnant : « L'aquarelle est une merveilleuse technique pour saisir les formes floues et mouvantes des nuages. On obtient très facilement un beau rendu de nuages en estompant un fond humide avec une éponge ou un papier absorbant. Essayez… » Comme un grimoire de magicien ! Ou comme un chuchotement, une mystérieuse incantation…

Ce guide propose un rapide tour d'horizon du Parc national des Cévennes avec un peu d'histoire et un déroulé pour ainsi dire "à la carte" des sites majeurs de cette région magnifique, une des plus belles de France, avec ses grands causses, ses rivières mythiques que sont Tarn, Dourbie et Jonte, ses grottes, ses randonnées somptueuses.



Il peut être utile pour celui qui veut visiter les Cévennes afin de réaliser un choix car elles sont tellement grandes, riches, éblouissantes que plusieurs séjours n'y suffiront pas, d'autant qu'il faut, si possible, les goûters en toute saisons pour savourer leurs fleurs printanières et celles de glaces en hiver, admirer les ciels noirs d'orage sur le Méjean, saisir le vol des vautours depuis les corniches de la Jonte, gravir le Lozère ou l'Aigoual sans se préoccuper trop de la météo sinon on risque de ne point y aller -- j'ai souvenir de ciels gris saisissants au Lozère, de vents terribles sur l'Aigoual, et toujours d'une lumière incomparable qui se mérite assurément.



Le guide propose quelques repères d'hébergement et de restauration, il est peu probable qu'il soit possible de déguster des grives au genièvre, mais peut-être les voir passer au début de l'hiver.

Chaque fois que je vais à Rome, j'emporte mon vieux guide "Voir", qui m'a aidé à découvrir tant de merveilles de la ville éternelle. Cette collection présente de multiples qualités, notamment la présentation des différents quartiers où sont souvent proposées des promenades courtes que l'on peut adapter à mesure que l'on connaît mieux la ville.



Six promenades plus longues sont suggérées à la fin du guide, plus thématiques, telles que les mosaïques, les arcs de triomphe, les traces du Bernin ou les bords du Tibre.



L'abondance des photographies et la courte description de chaque site, qu'il s'agisse de monument, musée, jardin, fontaine, église permet d'obtenir une courte synthèse que l'on peut étoffer en se procurant un guide ou un livre spécifique à propos de tel ou tel.



Les bonnes adresses ne manquent pas, culinaires, oenologiques ou artistiques et on peut les étoffer par ses propres découvertes ou les conseils avisés des romains au point que mon guide est devenu alourdi de nombreux post-it qui lui donnent une vie et une personnalisation appréciées par les amis qui me l'empruntent.



Aujourd'hui, je ne le trimbale pas systématiquement mais je le consulte toujours matin ou soir pour quelques précisions d'accompagnement dans le cheminement sans fin au coeur de la merveille absolue.

Nouvel achat chez Hachette, qui ont rapidement inondé le marché de l’Art Thérapie avec leur livre de coloriage pour adultes. On est bien loin des coloriages grossier pour enfants, ici, tout se fait avec minutie tant les dessins sont remplis de détails.





Hachette fait un superbe travail car chacun de ses livres possède une couverture épaisse et très rigide qui apporte un grand confort lors de nos coloriages.





Bref rien à redire, les dessins sont uniques car ils sont crées par un artiste, spécialement pour ce livre, aucune chance donc de les retrouver ailleurs (à moins que Hachette ne regroupe plus tard certains de ses dessins)





Que se soit aux crayons ou aux feutres, la qualité du papier est vraiment parfaite cela ne traverse pas. De plus le papier accroche très bien la pointe du crayon, ce qui fait que vous obtenez rapidement la bonne pigmentation du crayon. Comme toujours, le prix est très abordable, 12,90€ pour 100 coloriages (114 pour être précis, je les ai comptés), ce n’est vraiment pas cher car un seul coloriage vous occupera pendant des heures.

Depuis quelque temps, j'aime colorier des dessins et je me suis fait venir ce cahier. Je regarde mon recueil de motifs et j'aime beaucoup les dessins. C'est comme un vrai album et les dessins sont vraiment grands et ils captent le regard.



Ce que j'aime au début, on explique comment, on peut utiliser le livre. On y aborde le thème ''Des couleurs et des rêves'' :

- Couleurs, art et sérénité

- Les couleurs au quotidien

- La symbolique des couleurs : le bleu, le jaune, le rouge, le vert, l'orange, le noir et le blanc.



Quand tu colores, le crayon-feutre ne passe pas au travers, le papier est très solide. Je regarde encore une fois, les dessins, sur le thème du sommeil. On y trouve des moutons, des tasses de thés, des fées, des planètes et d'autres dessins tout aussi inspirés sur le sommeil. Je suis émerveillée par le vaste choix.



''L'homme a du génie, lorsqu'il rêve.'' Akira Kurosawa



''Les rêves sont la littérature du sommeil'' Jean Cocteau



Je crois qu'on peut dessiner en tout temps, et c'est vraiment magique :

ça détend et on ne pense plus à rien...

Comme on dit, sur la page couverture :

''Détendez-vous et retrouver le plaisir de créer''

Courte biographie de Diego Vélasquez, l’essentiel sur l’homme et sur l’artiste. Ses origines, son « apprentissage » à l’atelier de Pacheco dont il épousera la fille, son entrée à la cour de Philippe IV, ses réussites mais aussi ses déboires (« le regret que nous éprouvons à voir ce grand homme ravalé à des occupations de valet et d'intendant) , son amitié avec Rubens, ses voyages en Italie, à Venise, Rome…. Et en filigrane une analyse fine de sa manière picturale et de son évolution.

Et pour finir, l’œuvre du maître, « en 256 reproductions », qui a fait de nombreux émules célèbres dont cette biographie nous parle aussi.

Je voulais écrire une critique de l'essai de L'Eloge du rire de Baudelaire mais, après avoir pris connaissance des ultimes "saillies" de l'Héliogabale élyséen survolté fantasmant sur ses envies de guerre, je n'ai plus envie de discourir sur le rire.

A la place j'ai sorti La Grande Guerre par l'Almanach Vermot 14-18 pour plonger dans le premier suicide européen.



Même si l'Almanach Vermot traite de la Première Guerre mondiale avec le style qui a fait sa réputation, sa longévité et à sa fortune -c'est-à-dire un humour plutôt vache et des plumes acerbes et pleines d'autodérision- il n'en demeure pas moins que même pour un almanach porté sur la légèreté et les jeux de mots vaseux l'époque a changé.



La guerre est là, elle est là pour durer et l'Almanach Vermot fait ce qu'il peut pour : se débrouiller avec la censure (Ah, les ciseaux d'Anastasie qui anesthésient !), remonter le moral des troupes enterrées dans de cruelles batailles de tranchées ou de familles restées sans nouvelles à l'arrière des fronts, présenter (c'est un des aspects les plus intéressants de cet Almanach) les nouveautés en matière de matériel militaire (français, allemand ou britannique), les ravages "massifs" de la guerre en milieu urbain, sans oublier de vrais articles de fond de plusieurs pages, comme celui intitulé "Deux ans de guerre" où on peut noter l'évolution dans la compréhension de la guerre qui se déroule par rapport aux articles du début de la guerre, pleins "d'élan patriotique" et "d'enthousiasme indescriptible".

L'Almanach s'internationalise. Il ne se contente pas de parler des Français, des Britanniques ou des Allemands, mais donne aussi des nouvelles du Front d'orient (Serbie, Roumanie, Grèce, etc), montre des photos des usines de guerre (aciéries) américaines, du "grand pont de Bagdad que les Turcs n'ont pas eu le temps de détruire avant leur fuite devant l'avancée des armées anglaises", ou "les troupes russes réunies en 1918 pour entendre lecture du manifeste du nouveau gouvernement". Notons que "Kerensky, le président du Conseil du Gouvernement provisoire russe" a les honneurs de l'Almanach Vermot le dimanche 23 juin 1918.



Au bout du compte même si l'Almanach Vermot garde certains de ses traits du temps de paix, notamment les "crayons aux traits ravageurs de ses illustrateurs", il évolue, fait face, et s'adapte comme il peut à la nouvelle réalité créée par la Première Guerre mondiale, ses ravages, ses morts, ses déluges d'acier et de feu, ses horreurs. "La Guerre industrielle" est née là, pendant ces années, et l'Almanach Vermot est un témoin plus intéressant, profond et moins complaisant qu'on aurait pu le croire au premier abord.

Toujours aussi moche, mais toujours bien fait.

J'ai été séduit par cette nouvelle édition du Guide du routard consacrée à Milan et aux Lacs italiens. Le guide est attentif aux évolutions urbaines de la ville préférée de Stendhal. On peut faire aussi de jolies ballades en sortant parfois un peu des sentiers battus. Le plus du Routard ce sont toujours ces conseils agréablement formulés et qui nous ont conduit vers des lieux que nous ne serions pas forcément allé voir sans lui. Reste toutefois la consternation de voir des musées vides et des files d'attente interminables devant les magasins de luxe. Mais je m'égare car le Routard n'y est pour rien bien au contraire !

Pour le reste le guide insiste à très juste titre sur Bergame, ville merveilleuse et méconnue, véritable capitale gastronomique, en recommandant intelligemment la ville basse souvent trop négligée. Ils ont également une sorte de coup de coeur pour Brescia et les conseils pour les laces italiens sont judicieux. Ainsi ils sont les seuls à mettre autant en valeur Torri del Benaco sur le lac de Garde. Ils ont bien raison !

Carte postale de Guadeloupe!..



Les chiens enragés mangent les cabrits.



C'est la première fois que je pars en voyage lointain sans un livre de Léon Tolstoï qui accompagne ma vie de son ombre, de sa lumière comme on voudra, comme un ami bienfaiteur, incommensurable artiste, tellement paradoxal et soi-même, animé d' une soif de vérité qui ne le laissera jamais en paix jusqu'à son dernier souffle, à la fois sur la grandeur des hommes et leur faiblesse. Un des écrivains majeurs à parler le mieux de la femme, qu'elle soit princesse ou roturière, paysanne ou domestique et toujours le même constat : le désir qu'elle suscite, son inaccessibilité. Il a été élevé au milieu de femmes, rien de surprenant à ce qu'il en parle avec une telle acuité, allant même jusqu'à prendre la plume de sa protagoniste dans le Bonheur conjugal. Toutes ses pages romanesques regorgent de sensualité, mais le sexe n'est jamais de sortie. Son tempérament parfois volcanique (pour rester dans le ton), animal, l'a fait parfois être rugueux avec Sophie la femme de sa vie qui lui a tout donné, jusqu'à être un peu injuste avec elle, passée la cinquantaine ; mais il lui écrivait aussi des lettres magnifiques, d'amour sur le tard, quand il était dans ses terres de l'Oblast de Samara par exemple, éloigné d'elle, ou chez lui à Iasnaïa Poliana et elle à Moscou quand elle restait seule avec les enfants. Je me garderais bien quant à moi de le traiter de misogyne ..



Première infidélité donc qui je m'empresse d'observer restera sans lendemain. Pas d'internet, rien, nada. Lu les journaux néanmoins , locaux évidemment, France-Antilles.. Où est-ce que les nouvelles sont réjouissantes ? Ca ne coûte pas cher, 1$30, mais il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent. Ca se lit en cinq minutes. Les inondations à Pointe à Pitre, qui s'est construit sur les marais en zone inondable, écoles comprises, je les laisse dans leur jus ..fatigué de toutes ces conneries ! J'étais en zone agricole, habitait sur un morne, à un endroit où on ne met pas de glaçon dans son punch, dégagé du monde surfait des touristes à la sauce dominicaine, très peu pour moi.. Ma foi, si ça leur chante de ne pas aller vers l'âme du pays ! Comme je connais, rien de nouveau sous le soleil. les choses s'aggravent inexorablement, les sargasses putrides, agression brésilienne, à chacun son lisier ! une jeunesse inactive, dérivante qui fait peur, les armes de gros calibre circulent maintenant, son ennemi est elle-même, pour l'instant !.. le politique reste le politique; descente "d'acteurs" régionaux, locaux pour contrôler le littoral sur la plage ou j'étais. En vue, les paillotes, leur extension, la préservation de la ponte des tortues, la mer qui grignote insidieusement du territoire insulaire, qui érode comme on dit de manière chronique et sans retour, un parking en retrait pour éviter les voitures qui s'invitent carrément sur la grève.. Mais de tout ça, ils ont déjà causé, ce sont des questions inlassablement rebattues, avec des axes pris mais ça finit toujours par entrer dans des budgets que le politique élude de tant d'incurie, et au moment de passer à l'action, eh ben il n'y a plus de pognon : elle est pas belle la vie ?..



N'allez pas visiter la Grivelière, elle est fermée jusqu'à nouvel ordre. Je soupçonne les politiques de gauche du nouveau statut de l'île de mauvaise volonté: pourquoi aller s'occuper du patrimoine des colons ? Ces vieux blancs à la con qui nous ont fait esclaves et qui veulent réhabiliter nos cases !



Retour à la casbah, le politique me dégoute de plus en plus, pas à la hauteur d'un des pays les plus beaux du monde. Grandeur française, où es-tu ? Tout est moche dans cette macronie, le mensonge, l'arrogance transpirent, le peuple souffre, humilié, les classes moyennes sont affreusement mutilées, d'une autre manière évidemment, la police de Macron ne leur casse pas la gueule ou ne les éborgne pas, mais leur niveau de vie déguste, leur pouvoir d'achat est amputé, et encore s'il n'y avait que ça, ce sont les laissés pour compte, les vaches à traire de ce gouvernement qui n'hésite pas à les laminer par l'impôt, par la fiscalité pour aller renflouer les caisses de l'Etat, panier percé, dette abyssale qui se conjugue avec clientélisme la veille des élections. Au moins aux Antilles, ils ressentent cette trahison plus que les autres et ne l'envoient pas dire ; en Guadeloupe on déteste l'hypocrisie, à fortiori quand elle est blanche. Ce ne sont pas les 70% de Marine le Pen qu'il faut voir mais les scores invraisemblables de Mélenchon au premier tour ; si celui-ci avait passé la barre du premier tour, à coup sûr, il aurait fait un score de république bananière autour de 80% : genre de vote plébiscite, implicite aussi contre celui qu'on veut abattre ici, bien sûr qu'on ne veut pas de ces corniauds, la dérision existe. Ils le détestent en Guadeloupe, tout comme moi..



J'entends encore la voix de Lucette, la dame de fer de Guadeloupe, elle s'est éteinte il n'y a pas longtemps dans un quasi-silence .. j'étais indigné ! La covid avait bon dos !



La tension tropicale est vite retombée, elles est encore dans ma tête sonnée, me manquent les punchs.. la cuisine antillaise, une des meilleures du monde, la musique haïtienne dans la chaleur de la nuit, sous les cocotiers frémissants, un Tabou ou un DP Express un bon boléro de derrière les fagots ou salsa de Torres.. Quand on entre aux Antilles, on est happé dans un bain de chaleur ; quand on revient ici, on est happé par la sinistrose. On se surprend à y vivre !.. Avec un tuba peut-être ..



Aller je vais me remettre avec Il mio rifugio de Cocchiante qui chante pour sa belle quand il

revisite ses premiers instants amoureux main dans la main .. en italien s'il vous plaît ..

Quando la sera scivolo su di noi

All uscita della scuola in scittà

Si prendemmo per mano et ti dissi ..

un long livre qui nous apprends à mieux connaitre les cousins des éléphants actuels. Même si il est très instructif et très intéressant, on est content de finir ce livre de la taille d'un Harry Potter mais beaucoup moins passionnant (à mon avis). [à part si vous voulez des renseignement précis, il est inutile de lire ce livre] sauf si vous ne savez pas quoi faire d'autre.

L' image, oui, mais uniquement des photographies en noir et blancs, typiques des ouvrages de l' après guerre.

Ce là n'enlève rien à l'intérêt des documents présentés, accompagnés d'un texte clair et compréhensible pour le lecteur profane et curieux.

Ce manuel couvre l'intégralité du programme officiel des classes de première Baccalauréat Professionnel du B.O. n°11 du 15 juin 1995.

En deux parties distinctes, ce manuel scolaire est clair et riche en documentation. Bien qu'il s'agisse d'une vieille édition il n'en reste pas moins d'actualité sur de nombreux sujets.

Un petit guide pour comprendre les us et coutumes de la culture indienne : histoire, religions, fêtes, gastronomie, éducation, loisirs, monde du travail, transport..

Condenser autant d’informations dans un si petit guide est assez impressionnant, aucun domaine n’est laissé au hasard. Idéal pour une première approche de ce pays fascinant.

Cet atlas consacré à l'histoire de Paris est en tous points tout à fait remarquable. Il est relativement simple et synthétique sans jamais perdre en fiabilité. D'excellents spécialistes ont participé à la réalisation et l'ouvrage ne tombe jamais dans l'anecdote ou l'information secondaire présentée hors de toute mise en perspective. Des zooms sur des points d'intérêt de certaines périodes complètent le texte principal. Les nombreuses cartes ou illustrations apportent une vraie valeur ajoutée.

Pour moi, passionné de Paris, ce livre est une référence très très utile.

Ce livre est précieux, déjà rien que par ces dessins.

Bien sur l'encyclopédie Alpha en 15 volumes fut un "must" en son temps.

Bien sur l'ouvrage a vieilli

Bien sur il est toujours agréable à feuilleter.

Bien sur nous tombons parfois sur des articles devenus caduques.

Mais quel plaisir ce fut d'acheter, chez le libraire, chaque semaine dès 1970 le cahier qui allait, petit à petit, constituer cette vaste encyclopédie;

Dans mon cas, c'est mon père qui l'a patiemment constituée.

cette entrée douce dans le foyer faisait qu'on ne pouvait faire autrement que lire, ou du moins parcourir chaque page du gigantesque ouvrage.

Elle a vieilli mais pas question de s'en séparer !

J'ai pas lu le livre mais j'ador le jeux!

"L'arbre à cupcakes géant" est un album de la série "Gabby et la maison magique" qui raconte l'histoire de Gabby et ses amis qui se retrouvent face à un petit arbre à cupcakes qui devient soudainement géant et envahit la maison magique.



Ce livre est une belle histoire qui mêle l'amitié, la créativité et la résolution de problèmes. Les personnages sont attachants et drôles, et les illustrations colorées et dynamiques ont immédiatement captés l'attention de mon fils.



L'histoire est bien construite et offre une belle morale sur l'importance de travailler en équipe, d'utiliser son imagination et de trouver des solutions originales aux défis qui se présentent.



Une belle découverte !

Lu en 4 ème, beaucoup de suspens...

L'univers des films d'animation des studios de Walt Disney a bercé mon enfance et m'a toujours passionné. Donc, lorsque je suis tombé sur une encyclopédie dédiée aux personnages, le choix a été rapidement fait, étant une véritable fan.



Ouvrir ce livre, c’est s’offrir plus de 300 pages de pur bonheur, de souvenirs et de découvertes. On y trouve les affiches des films, les personnages principaux et secondaires, des illustrations, des photos ainsi que des croquis. C’est un véritable moment de lecture qui attend le lecteur.



Cette encyclopédie est remplie d’anecdotes fascinantes qui permettent d’en apprendre davantage sur cet univers fascinant. On découvre comment nos personnages préférés ont été créés et toutes les informations intéressantes qui s’y rapportent.



Bien que j’apprécie la bibliothèque de films, je dois dire que je suis un peu déçue par le manque de films d’animations tels que “L’Etrange Noël de Monsieur Jack”, bien que ce ne soit pas mon préféré, et les dessins animés de la Fée Clochette par exemple. De plus, certains films n’ont pas leurs suites incluses alors que d’autres oui, en particulier les plus récents, ce qui entraîne l’absence de plusieurs personnages, tandis que d’autres qui sont présents n’ont pas d’illustrations.



Malgré quelques détails mineurs, “L’Encyclopédie des Personnages Disney” est un livre volumineux et magnifique qui mérite sa place dans toute collection. Les amateurs de l’univers Disney et Pixar seront ravis de découvrir de nombreuses informations intéressantes entre ses pages.
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