- La victoire vous aveugle. Vous vous comportez comme le lièvre au printemps : la steppe est parfumée, baignée de soleil, le rongeur est heureux. Il bondit de touffe en touffe. Le soir le voilà repu, c'est une grande victoire. Mais le livre grossit, grossit, et devient oublieux. Cette ombre au sol est si lointaine. C'est pourtant celle de l'aigle qui a emporté son père l'été dernier...Avez-vous oublié le nom de ceux qui ont empoisonné votre père ?