Swann [...] ne désirait pas d'enfants. Ni maintenant ni plus tard d'ailleurs. Donner la vie, c'était perdre la sienne. [...] les nuits sans sommeil, les couches sales pour quelques sourires édentés, le temps passé à gâtifier au lieu de lire, puis l'indifférence grandissante au fil des années, jusqu'au moment où l'esclavage reprendrait avec les petits-enfants.