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3.96/5 (sur 327 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Chicago, Illinois , le 31/03/1932
Mort(e) le : 11/03/2023
Biographie :

John William Jakes est un écrivain américain.

Il débuta en vendant des histoires au magazine pulp alors qu'il était toujours au collège dans les années 1950. Il publia différents romans les 20 années suivantes. Ceux-ci se basaient en général sur des histoires de science fiction, de westerns ou de fictions historiques.

Il est l'auteur des best-sellers “Kent Family Chronicles” et la triligie "North and South”.

Il travailla également dans l'industrie de la publicité et ce n'est qu'en 1971 qu'il travailla à plein temps dans l'écriture.



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Bibliographie de John Jakes   (19)Voir plus

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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
C'était un garçon qui n'avait pas vingt ans, mais la peur et la maigreur lui donnaient deux fois son âge. Il avait la peau marron clair.
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Certains aspects de l'art indien de lire une piste étaient si enrobés de mystère, si proches du don de seconde vue que Charles n'essayait pas de les comprendre.
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En cet après-midi chaud et humide, encore alourdi par une bruine poisseuse, un homme et une femme remontaient d'un pas pressé une rue émaillée de nids-de-poule, le grossier mélange de sable et de coquilles d'huître concassées qui la recouvrait offrant une piètre imitation des revêtements modernes. Le couple se dirigeait vers les docks du fleuve Cooper, où l'homme espérait trouver une place de domestique ainsi qu'un logement bon marché.
Cependant, à la simple vue de ces cohortes d'esclaves à la peau noir bleuté qui allaient lui faire concurrence, il se sentait déjà découragé.
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La vielle peur blanche de la peau noire soufflait sur le pays comme la brise nauséabonde de l'été.
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Je suis née et j'ai été élevée dans le Sud, sénateur. Il y a des années que j'ai entendu parler pour la première fois de sécession. Mon père assurait que cette idée était pernicieuse parce qu'elle n'arrangerait rien. J'y ai réfléchi depuis et je suis de cet avis.
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Tout autour de lui, des piliers de feu montaient vers le ciel. Les combats avaient incendié les broussailles sèches, puis les arbres. La fumée le faisait pleurer, l’empêchait de repérer les tirailleurs ennemis.
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Dans trop de fermes aux murs criblés de balles de mousquet, une tombe récente apparaissait, tel un gâteau saupoudré de sucre, quand la neige se mettait à tomber.
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- Tout homme censé sait pourquoi les fibres morales de l'armée et de la nation se désagrègent [...] Les journalistes fêlés, les philosophes de l'amour libre [...] les immigrants qui envahissent nos côtes, les usuriers juifs qui s'y trouvent déjà, les politiciens extrémistes, les milieux bancaires new-yorkais. Ils sont tous dans le coup !
- Vous voulez dire que les banques de new-york considèrent les noirs des plantations comme des clients potentiels ? ça alors !
Le colonel était trop passionné par son sujet pour sentir la raillerie
- Ils ont conspiré pour asservir l'homme blanc au nègre [...] Les Blancs ne se laisseront pas réduire en esclavage !
-ça alors ! répéta Georges. Je croyais que l'esclavage se terminait, pas qu'il commençait. Je vous remercie de vos lumières, colonel.
-Vous vous moquez de moi : quel est votre nom, major ?
- Harriet Beecher Stowe." (l'auteur de la case l'oncle Tom, - nldr)
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George gratta son menton hérissé de barbe. Il partageait ces craintes, que l'épuisement aiguisait. Mais il était l'aîné et, pour quelque fichue raison, l'ordre des choses voulait que l'aîné soit toujours fort et sage.
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Tant de choses on changé, murmura-t-il. Des noirs en uniformes ; des voies ferrées sillonnant le paysage, des trains transportant des régiments entiers ; des morts empilés comme des rondins _ personne n'avait prévu tout cela. Je me demande s'il restera quelques chose du passé. Y compris notre amitié avec les Main.
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