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Citations de Jim (383)


On ne sait jamais à l'avance les choses qui auront de l'importance dans nos vies... Peut-être seulement, au soir de la vie, lorsque fatigué, à l'ombre des grands saules pleureurs, vous vous reposerez... vous ne garderez en mémoire que ces petits moments insignifiants, ces instants furtifs qui, naturellement, ont fait naitre un sourire à vos lèvres...
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« Il y a trop longtemps que je t'aime pour arrêter maintenant. »
Otis Redding
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Quarante ans, je crois que c'est l'âge où l'on doit se faire à l'idée qu'on ne réalisera pas la plus grande partie de ses rêves. Et où l'on commence à parlementer avec soi-même pour essayer d'accepter cette idée-là.
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On savait tous qu’un jour il faudrait devenir des adultes. Personne ne nous avait dit que ça viendrait si vite.
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Il y a des êtres qu'on pourrait aimer tellement fort, seulement s'ils se laissaient faire.
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Je t’aime un petit peu. Et aimer un petit peu, ce n’est pas vraiment aimer, tu es bien d’accord avec moi ? Il faut aimer beaucoup, il faut aimer en grand…
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"Les femmes évoluent avec l'âge. Elles cherchent à comprendre ce qui leur arrive. Les hommes stagnent, héroïquement, puis régressent d'un seul coup."
Virginie Despentes, Vernon Subutex
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Peu de livres changent une vie.
Quand ils la changent, c'est pour toujours.
Christian Bobin
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 Jim
Mais on ne choisit rien [dans la vie]. C'est comme ça. On doit juste apprécier la part qu'on a... Faire festin des miettes...
(p. 294)
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Les amis, c'est comme ça, de toute façon. On aimerait bien, mais on ne les voit jamais assez.
Les copains, on ne les voit pas beaucoup plus, mais ils ne sont jamais très loin.
Parfois, tu aimerais que tes amis soient un peu plus des copains.
Et que tes copains se comportent un peu plus en amis.
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J'aime à lire comme une poule boit, en relevant la tête, pour faire couler. 
Jules Renard
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Nous souffrons d'un mal incurable qui s'appelle l'espoir. Il y a urgence à n'en pas guérir, croyez-moi.
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Elle s'agite devant moi, et ça la fait marrer. Et je picole, et je défais cette putain de cravate. Elle est marrante, quand même. Objectivement, elle n'est pas dingue physiquement, mais à cet âge [18 ans] toutes les filles sont attirantes. (…) Je pense à ma femme. Là, si nous n'avions pas divorcé, je serais assis là, tranquillement, avec ma femme. Je me ferais chier, tranquille. Il y a des jours, qu'est-ce que je rêve de me faire chier, tranquille.
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Je crois que l'amour va toujours de pair avec l'amour, on ne peut pas aimer tout seul de son côté, je n'y crois pas à ça, je ne crois pas aux amours désespérées qu'on vit solitairement. Il m'aimait tellement que je devais l'en aimer, il me désirait tellement que je devais l'en désirer. Ce n'est pas possible d'aimer quelqu'un à qui vous ne plaisez pas du tout, que vous ennuyez, totalement, je ne crois pas à ça.

Marguerite Duras, La vie maternelle
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Quand vous sortirez de la tempête, vous ne serez pas la même personne que celle qui y est rentrée. C'est tout l'intérêt de la tempête.

Haruki Murakami
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C'est curieux comme certaines images restent accrochées en nous... Des détails, un rire... On ne sait jamais, à l'instant de vivre les choses, quels moments on gardera en mémoire... Cet instant-là, peut-être, sous les branches d'un pin, dans la douceur du vent encore tiède ?
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Moi qui voulais écrire sur des morceaux de vie ... Maintenant que tout a volé en éclat, je n'ai plus qu'à me baisser et ramasser les morceaux... J'appelle ça "Où sont passés les grands jours?". J'écris sur tout ce qui me touche et m'atteint. Est-ce que c'était réellement mieux avant? Ou juste plus facile? Est-ce que les grands jours sont forcément derrière nous? Et qu'est-ce qu'on a perdu en grandissant? Est-ce qu'on a mis de côté nos rêves, tout ce qu'on rêvait d'être juste par facilité, par renoncement?
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Il faut aimer la vie, il faut embrasser les gens, se mettre à genoux et les serrer contre soi, et les serrer fort. Et leur dire qu'on les aime, et leur redire, et leur redire encore, avant d'être pris par surprise, avant d'être pris en traître et d'être dévasté. Il faut pleurer de bonheur chaque jour, et pleurer de peur de perdre des gens qui nous importent. Même si on sait qu'on les perdra. La vie n'a aucun sens. Jamais. Elle n'en a jamais eu et n'en aura pas. Elle ne répondra à aucune loi, aucune règle. C'est la nature même de la vie. Elle est impermanente, violente. Dégueulasse. Magnifique. Et il faut rester droit, solide, debout sur ses deux jambes et tenir face aux grands vents. Il faut sentir la vie nous traverser, nous secouer, c'est son essence même, son fracas permanent... Et dans le noir de la tempête, on doit juste essayer de hurler aux gens qu'on les aime, et crier fort et espérer que notre voix porte jusqu'à eux.
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Les mères, elles sont comme ça. Elles nous étouffent de leur présence, elles nous empoissonnent du lait de leur affection, et nous autres, mauvais fils, savons être intarissables sur leurs défauts. Mais annoncez-nous leur fin, et c'est tout un monde qui s'écroule.
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Toutes ces choses insignifiantes... tout ce à quoi on ne fait pas attention au jour le jour, c'est tout ce qui nous manquera le plus cruellement un jour.
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On était assis autour d'un feu de bois de tilleul, en train de tailler une bavette avec Gastibelza l'homme à la carabine et sa mère la vieille Moghrabine d'Antequara. Cette dernière nous raconta l'histoire de l'orang outan échappé du zoo de Malaga en se reversant un verre de ce vin doux et liquoreux provenant des vignobles alentours de cette noble cité.

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