MÂLAVIKÂ : Lui dont le cœur m'est inconnu, mon maître, je le désire pourtant, et de moi-même je rougis. Où trouver le courage de confier à ma chère compagne ce qui m'arrive ? Non ! Cette souffrance qui pèse sur moi est sans remède, je ne sais combien de temps l'Amour m'y réduira.
Acte III.