C’est l’histoire classique, répondit Akess Bi. Une secte à deux visages. D’un côté des activité dolosives connues seulement par un cercle restreint, je dirais un ou deux pour cent des disciples, et de l’autre, des activités eucharistiques servant de couverture, plus médiatisées et connues par les quatre-vingt-dix-neuf pour cent restants. Et quiconque présente un danger pour la première activité doit être éliminé physiquement.