Aujourd’hui encore : peur de l’insécurité et de l’étranger pour soutenir l’Etat policier ; frustration sexuelle et blessure narcissique pour soutenir la consommation ; ressentiment contre la réussite des autres, moteur à la fois de l’égalitarisme communiste et de la concurrence libérale ; peur des risques de santé et des catastrophes environnementales : on a toujours intérêt à nous maintenir dans la tristesse pour mieux nous dominer.