Le plus beau des livres d'amour me disait mon ami Dibrazza. Mais il n'est pas facile pour nous lecteurs occidentaux d'adhérer à ce style de narration nourris et bercés que nous sommes par nos "Lancelot et Guenièvre, Tristan et Iseult, Roméo et Juliette" qui nous sont si familiers.
Commenter  J’apprécie         20
Belle traduction de ce roman en vers. Le début de cette oeuvre est magique en arabe et coule dans nos oreilles :Yakoula Leila fi Iraki a Maridatan (Ils nous ont dit que Leila était malade en Irak).
Commenter  J’apprécie         80
Un fois n'est pas coutume, cette lecture de vers composés vraisemblablement à la fin du VIIeme siècle en terre d'Islam - en Irak - fut tout à fait plaisante.
Une fois de plus, le lecteur ne peut manquer d'être étonné par la justesse et la modernité des propos que tient Majnun - ce fou ! - lorsqu'il dit ô combien son cœur est transi par son amour. Sentiment que la belle Layla ne semble pas partager.
On voit d'ailleurs des vers où le poète "atteste" de son amour comme il atteste de sa foi totale en Dieu.
Des vers qui ne sont pas aux goûts de tous aujourd'hui pour des raisons qui n'ont rien à voir avec les goûts...
Commenter  J’apprécie         150