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Citations de Mao Tsé-Toung (43)


 Mao Tsé-Toung
La politique est une guerre sans effusion de sang et la guerre une politique sanglante.
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La révolution n'est pas un dîner de gala; elle ne se fait pas comme une oeuvre littéraire, un dessin ou une broderie; elle ne peut s'accomplir avec autant d'élégance, de tranquilité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d'amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d'âme. La révolution, c'est un soulèvement, un acte de violence par lequl une classe en renverse une autre.
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Dans la société de classes, chaque homme occupe une position de classe déterminée et il n'existe aucune pensée qui ne porte une empreinte de classe.
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La révolution c'est un soulèvement, un acte violent par lequel une classe en renverse une autre.
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 Mao Tsé-Toung
Si nos écrivains et artistes venus des milieux intellectuels veulent que leurs œuvres soient bien accueillies par les masses, il faut que leurs pensées et leurs sentiments changent, il faut qu'ils se rééduquent.
Sans ce changement, sans cette rééducation, ils n'arriveront à rien de bon et ne seront jamais bien à leur place.
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 Mao Tsé-Toung
C'est dans l'ignorance que l'on dirige un peuple.
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C'est à travers les difficultés et les vicissitudes que grandit le nouveau.
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Les masses nourrissent un enthousiasme débordant pour le socialisme.
(Page 137 de l'édition chinoise de 1966)
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Les changements qui interviennent dans la société proviennent surtout du développement des contradictions à l'intérieur de la société, c'est à dire des contradictions entre les forces productives et les rapports de production, entre les classes, entre le nouveau et l'ancien. Le développement de ces contradictions fait avancer la société, amène le remplacement de la vielle société par la nouvelle.
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Nous devons soutenir tout ce que notre ennemi combat et combattre tout ce qu'il soutient.
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Chaque communiste doit s'assimiler cette vérité que "le pouvoir est au bout du fusil".
"Problèmes de la guerre et de la stratégie" (6 novembre 1938), oeuvres choisies de Mao Tsétoung, tome II.
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Sur une page blanche, tout est possible; on peut y écrire et dessiner ce qu'il y a de plus nouveau et de plus beau.
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 Mao Tsé-Toung
De défaite en défaite jusqu’à la victoire
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La transformation d'une Chine agricole arriérées en un pays industriel avancé exige de nous un travail des plus ardus, alors que nos expériences sont encore loin d'être suffisante. Il nous faut donc savoir apprendre.
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Il faut que toute la main-d’œuvre féminine prenne sa place sur le front du travail ou sera appliqué le principe à "travail égal salaire égal", et cela doit être réalisé dans les plus brefs délais.
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 Mao Tsé-Toung
«Il n'est pas difficile à un homme de faire quelques bonnes actions ; ce qui est difficile, c'est d'agir bien toute sa vie, sans jamais rien faire de mal»
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 Mao Tsé-Toung
La révolution n'est pas un dîner de gala ; elle ne se fait pas comme une oeuvre littéraire, un dessin ou une broderie ; elle ne peut s'accomplir avec autant d'élégance, de tranquillité et de délicatesse, ou avec autant de douceur, d'amabilité, de courtoisie, de retenue et de générosité d'âme. La révolution, c'est un soulèvement, un acte de violence par lequel une classe en renverse une autre.
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La guerre, ce monstre qui fait s’entre-tuer les hommes, finira par être éliminée par le développement de la société humaine, et le sera même dans un avenir qui n’est pas lointain. Mais, pour supprimer la guerre, il n’y a qu’un seul moyen : opposer la guerre à la guerre, opposer la guerre révolutionnaire à la guerre contre-révolutionnaire, opposer la guerre nationale révolutionnaire à la guerre nationale contre-révolutionnaire, opposer la guerre révolutionnaire de classe à la guerre contre-révolutionnaire de classe. L’histoire n’a connu que deux sortes de guerres : les guerres justes et les guerres injustes. Nous sommes pour les guerres justes et contre les guerres injustes. Toutes les guerres contre-révolutionnaires sont injustes, toutes les guerres révolutionnaires sont justes. C’est nous-même qui, de nos propres mains, mettrons fin à l’époque des guerres dans l’histoire de l’humanité, et sans aucun doute la guerre que nous faisons fait partie de la dernière des guerres. Mais sans aucun doute aussi la guerre à laquelle nous ferons face fait partie de la plus grande et de la plus cruelle de toutes les guerres. […] (décembre 1936, pp. 64-65)
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Les étudiants devraient partir à la campagne dès cet hiver – je pense aux étudiants en lettres. Les étudiants en sciences physiques ne devraient pas être déplacés pour l’instant, quoiqu’on puisse les déplacer pour une période ou deux. Tous ceux qui font des études de lettres – histoire, économie politique, littérature, droit – doivent tous partir sans exception.

Professeurs, assistants, travailleurs administratifs et étudiants devraient tous sans exception partir pour une période limitée de cinq mois. S’ils partent cinq mois dans les campagnes, ou cinq mois dans les usines, ils acquerront une expérience directe. Chevaux, vaches, moutons, poulets, chiens, riz, sorgho, haricot, blé, variétés de millet, ils peuvent jeter un coup d’œil sur tout ça. S’ils partent en hiver, ils n’assisteront pas à la moisson, mais ils pourront voir quand même la terre et les gens.

Faire l’expérience de la lutte des classes – voilà ce que j’appelle une université.
(…)
Vous autres intellectuels, vous êtes tous les jours dans vos bureaux de fonctionnaires, bien nourris, bien habillés, et ne faisant pas même un peu de marche à pied – c’est pour ca que vous tombez malade.

Les vêtements, la nourriture, le logement et l’exercice sont les quatre causes principales de la maladie.

Si d’une vie de coq en pâte, vous passez à des conditions un peu moins confortables, si vous parez participer à la lutte des classes, si vous vous retrouvez au beau milieu des « quatre assainissements » et des « cinq antis » et vous vous endurcissez pendant quelque temps, alors vous autres intellectuels, vous aurez une toute autre allure.

Si vous ne vous mettez pas à la lutte des classes, alors qu’est-ce que cette philosophie ? ("Entretien sur des questions de philosophie", 18 août 1964, pp. 260 & 263)
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A présent, l'impérialisme américain est très puissant, mais cette puissance n'est pas réelle.

Il est très faible sur le plan politique, parce qu'il est coupé des larges masses populaires et que tout le monde le déteste, y compris le peuple américain.

Il est très puissant en apparence mais n'a rien de redoutable en réalité, c'est un tigre en papier.

Vu de l'extérieur, c'est un tigre, mais il est fait en papier et ne peut résister ni au vent ni à la pluie. A mon avis, les États-Unis ne sont rien de plus qu'un tigre en papier.

L'Histoire tout entière, l'histoire plusieurs fois millénaire de la société de classes de l'humanité, a confirmé cette vérité : le puissant cède la place au faible. Cela s'applique aussi au continent américain.

La paix ne pourra s'établir qu'avec l'élimination de l'impérialisme; et le jour viendra où ce tigre en papier sera détruit. Cependant, il ne disparaîtra pas de lui-même, il faut que le vent et la pluie s'abattent sur lui.

Quand nous disons que l'impérialisme américain est un tigre en papier, nous en parlons sur le plan stratégique. Nous devons le mépriser du point de vue de l'ensemble, mais en tenir pleinement compte dans chaque situation concrète. Il a des griffes et des dents.

Pour le désarmer, il faut les détruire une à une. Par exemple, s'il a dix dents, on commence par lui en briser une, et il lui en reste neuf ; puis, on lui en casse une autre, et il n'en a plus que huit.

Lorsque ses dents auront été toutes enlevées, il lui restera encore des griffes.

Pourvu que nous procédions avec sérieux et graduellement, nous finirons par réussir. ("L'impérialisme américain est un tigre de papier", 14 juillet 1956, pp. 170-171)
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