Maëster

C’est encore au cours d’une flânerie dans ma médiathèque que j’ai découvert cet album de ma bonne sœur préférée, et je me suis dit : « COMMENT ?????????? « Une aventure de Sœur Marie-Thérèse des Batignolles non lue ? Ben ça alors !!!!!!! Hop ! Dans mon sac ! et j’ai commencé à le dévorer, mais bon, mon appétit s’est vu réduit à peau de chagrin en avançant dans la lecture. Bien sûr, j’ai retrouvé mon héroïne, toujours très... A part et originale dans le monde du clergé, toujours la réplique, toujours hors norme, bagarreuse, buveuse, agitée, teigneuse, avec un sens très aigu de la justice au milieu d’un décor à observer attentivement pour ne pas louper certains détails hilarants, toujours des bulles à bien lire pour ne pas manquer les nombreux jeux de mots, clins d’œil et références qui parsèment ce volet, en revanche, on se retrouve en présence d’un scénario de BD assez décevant, confus, abracadabrant et sans grand intérêt. Fort heureusement, les dialogues délicieux sauvent l’ensemble de l’album !




Lien : https://1001ptitgateau.blogs..

Comme son titre l'indique cette BD nous raconte les aventures d'une bonne soeur.. mais pas comme les autres.

Soeur Thérèse, elle est complètement barrée : elle picole, elle se roule des pétards, elle dit des gros mots, elle emmerde sa hiérarchie, elle a des idées bien a elle sur la société et elle déteste les mioches.

et c'est drôle, très drôle. j'ai toujours été grande fan de l'humour noir et satirique... et bien avec cette BD j'ai touché le gros lot. pas une seule planche ne m'a pas fait sourire (au moins).



bref par ce temps automnal en hiver, cela fait du bien : un rayon de soleil qui perce entre les nombreux nuages gris

Je me suis offert l’intégrale en couleur sortie pour le 40ème anniversaire. Je ne pouvais quand même pas manquer ça, pensez ! Quel plaisir de pouvoir relire les histoires de ma bonne soeur préférée ne mâchant ni les mots ni les baffes à distribuer ! Je découvre les albums colorisés et ma foi (si j’ose dire !), c’est plutôt sympa même si j’aime aussi le noir et blanc. J’ai retrouvé avec plaisir Jésus, le jardinier portugais, mari de Soeur Marie-Thérèse, enfin… mari de toutes les soeurs comme il se définit lui-même. Mais un mari chaste que notre religieuse aimerait voir un peu plus dévergondé du crucifix !



J’ai pris mon temps pour lire cet album (360 pages quand même) car je voulais faire durer le plaisir (voilà qui plairait à notre héroïne !) et, surtout, ne pas manquer le moindre petit gag car il y a des détails se cachant dans toutes les cases. Mais je me dis que j’ai certainement dû en rater et qu’il faudra donc que je le relise dans quelques temps afin de vérifier… 😉 Non, vous ne croyez pas ?
Lien : https://promenadesculturelle..

Toujours fidèle a elle même, soeurs Marie Thérèse est toujours là pour aider son prochain.. N'est ce pas là la vocation même d'une religieuse ?

Mais elle n'aide pas les âmes en peine comme toute bonne soeur le ferait.. juste a sa façon et avec son vocabulaire si poétique.



Une BD toujours très portée sur l"humour et les jeux de mots (comme je les aime). On est quasi sur de passer un bon moment de rigolade avec cette religieuse a qui les "rangers" vont si bien (celà pourrait aussi être des Doc marten's coquée mais la semelle n'a pas encore révélé tous ses secrets)

Premier tome d'une saga dont je me délecte depuis sa découverte dans les pages de Fluide Glacial il y a quelques temps déjà.

Sœur Marie-Thérèse des Batignolles est une nonne et à des années lumière d'être une Sainte (Nitouche) ! Avec ce personnage totalement barré, Maester revisite la religion catholique et les Evangiles à sa façon car la bonne sœur ne cesse de jurer, fumer et picoler (elle raffole du vin de messe plus que de la messe en soi), cogner avec son sale caractère.

C'est complétement hilarant et c'est de l'humour tranchant, mais j'adore ce côté provocateur.

Deux évadés de prison réclament de l'argent, des bijoux ou encore de la bouffe aux passagers du métro. Malheureusement pour eux, sœur Marie-Thérèse voulait lire tranquillement et le pauvre homme venu lui demander la charité aurait mieux fait d'aller voir ailleurs. Un coup de poing dans le visage et le voilà à terre. C'était sans compter sur la carrure d'athlète de son coéquipier qui mettrait presque la sœur à genou. N'écoutant que son bon cœur, elle les emmène au couvent...

Un malade du cancer en fin de vie a besoin de soin. La mère supérieure n'a que sœur Marie-Thérèse sous la main. Dommage pour ce pauvre homme qui voulait vivre encore un peu décemment...

L'ennemi plégique numéro 1 sévit la nuit et ne pense qu'à une chose: tâter les nichons des nanas qu'il croise. Mise au courant, la sœur compte bien en faire son affaire. C'est vêtu de son plus bel apparat qu'elle arpente les rues de la ville. Qui sait? Peut-être pourrait-il céder à ses charmes?

Ou encore comment sœur marie-Thérèse va raconter une histoire complètement bidon à Jésus, le jardinier portugais, pour expliquer pourquoi elle a oublié son anniversaire...



A l'humour grinçant ou noir mais jamais méchant, ces huit petites aventures de sœur Marie-Thérèse des Batignolles se picorent au gré des envies. Pas sûre qu'elle soit envoyée par le seigneur lui-même pour sauver les bonnes âmes, quoique... elle était sur les bancs de l'école avec Jean-Paul II. On ne peut lui reprocher son sens de l'humour, ses (mauvaises) manières parfois déplacées, son sens de la répartie, son bagout ou son penchant pour les mâles. Avec un dessin en noir et blanc, minutieux et détaillé, Maëster nous offre un album décapant, caustique et riche. Les personnages tels que Delon, Nicholson ou les tortues Ninja sont délicieuses.



Soeur Marie-Thérèse des batignolles, Dieu vous le rendra... c'est quand Il veut!

Sainte Marie ! Jésus ! Mon Dieu ! Oh Bonne Mère ! , voilà notre religieuse indomptable de retour après une si longue absence.

De mes souvenirs concernant les tomes précédents, je n'ai jamais autant ri en lisant une BD, tellement que les cases sont riches en détail et denses en messages sans compter les situations cocasses et hilarantes.

Les dialogues sont toujours aussi savoureux et le franc-parler pour ne pas dire le langage fleuri de Marie Thérèse toujours aussi vertueux. Je viens de dévorer ce 7eme opus de la saga sans aucune retenue et j'avoue que j'ai pêché devant ce monument biblique !!!!

Il me fallait une clé pour achever le challenge objet et je suis tombée sur cette BD.

Alors merci à Sallyrose car ce que j'ai rit en suivant les aventure de cette sœur qui expérimente tous les pêchés capitaux.

Elle boit, elle fume, elle vole, elle fiche des mandales et elle se bat avec les autres nonnes pour obtenir les faveurs de Jesus, le jardinier.

C'est jubilatoire.

Je vais de ce pas réserver les autres tomes.

Cet album est un hommage à la Rubrique-à-Brac, œuvre emblématique de Marcel Gotlib, qui a marqué l’histoire de la bande dessinée. Pour cet hommage, un casting de rêve est réuni dans cet album : Zep, Berbérian, Léandri, Tardi, Belkrouf, Maëster, Dupuy, Binet, Boucq, Jannin, Mourier, Arleston, Barral, Chauzy, Mandryka, Goossens, Christin, Blutch, Lindingre, Tonino Benacquista, Bilal, Lefred Thouron, Antoine de Caunes, Jean-Yves Ferri, Margerin, Tronchet, Solé, Édika, Larcenet, Mézières, Guarnido, Julien/CDM, Ptiluc et Dal.

Chacun, dans son style, reprend quelques principes utilisés dans la Rubrique-à-Brac, quelques idées, quelques personnages. Le résultat est assez décevant, en tentant de s’accaparer le style du maître, la plupart s’y cassent les dents.

Dupuy & Berberian avec la girafe, et Blutch avec le matou matheux, reprennent et détournent un histoire de Gotlib et s’en sortent nettement mieux, ainsi que Solé, avec la morale finale sous forme de jeux de mots comme dans le tome 5 où quelques histoires avaient été scénarisées par Gotlib et dessinées par d’autre auteurs.

Manu Larcenet m’a vraiment fait rire, toujours très drôle, mais c’est du Manu Larcenet.

Le reste est assez moyen, en essayant de faire du Gotlib, ils ne parviennent pas à être drôle, même Binet et Goossens déçoivent, certains se plantent carrément, venant d'auteurs que j'admire d'habitude, c'est presque gênant.

Bref, un hommage raté et vraiment une grosse déception.

Si on aime l’humour noir, trash, décalé, il faut se faire cette chère Sœur Marie-Thérèse des Batignolles !



Et par "se faire", je ne sous-entends pas juste qu’il faut lire ses bédés, parce que notre sœur, elle ne serait pas contre le fait de tirer un coup non plus…



Sœur Marie-Thérèse, c’est un cas à elle toute seule, à se demander ce qu’elle fout chez les bonnes soeurs car cette bonne vivante boit son litre de rouge, fume (même de la beuh), se pique, marche avec des écrases-merdes, fout des coups de poings à tout le monde, fait voler les chiards énervants dans un super-marché et a un fond raciste.



Notre Sœur Marie-Thérèse est aussi à sa place chez les bonnes soeur q’un éléphant dans un magasin de porcelaine et face à elle, le capitaine Marleau est un modèle de délicatesse subtile et de gentillesse incarnée. Si, si, je vous jure !



Oui, Sœur Marie-Thérèse est encore plus irrécupérable que l’adjoint Billy dans la série « Walter Appleduck » car contrairement à lui, elle n’a pas oublié d’être conne. Son cerveau marche du tonnerre et sa vision du monde est cynique au possible.



Constitué de planches en noir et blanc (je ne voudrais pas la lire en couleurs), le dessin de Maëster est assez caricatural.



À noter que le visage de la Sœur évolue entre le tome 1 et le tome 3. Dans les premières cases de ce tome, elle fait plus âgée et moins gro… Oups, pardon… Je voulais dire qu’elle semblait plus élancée alors qu’après, elle s’est empâtée… Aie je vais en prendre sur le coin de ma gueule si elle m’entend !



Le plaisir est de regarder ses cases dans leur entièreté afin de repérer les petits détails cachés en arrière-plan, ou écrit sur des panneaux. Je me marre toujours et j’en découvre encore (ou alors, j’avais oublié).



L’auteur se moque de la religion, c’est trash, bourré d’humour noir qui ferait tomber dans les pommes les plus sensibles d’entre nous, ou alors, les culs les plus serrés.



J’ai lu un nom de bar qu’on oserait plus nommer ainsi de nos jours… Ça commence par "A" et ça se termine par "bar" et le crier bien fort dans un magasin peut vous valoir de sérieux ennuis avec la direction, les flics, les clients… Y’en a qui ont essayé, ils ont eu des problèmes.



Sœur Marie-Thérèse n’est pas pour les âmes délicates… Ses albums sont à se faire prescrire en cas de panne de lecture, de coup de blues, de grisaille intellectuelle, d’anticléricalisme confirmé, ou tout simplement juste pour le plaisir (comme le chantait si bien Herbert Léonard)…



Hé, t’as envie de chanter maintenant, non ???


Lien : https://thecanniballecteur.w..

Lorsque j’ai un coup de mou, de blues, marre d’entendre les bonnes nouvelles à la télé (oups), je me remonte le moral avec une bédé d’humour, des classiques qui marchent toujours, comme cette fumeuse Sœur Marie-Thérère !



Pour ceux et celles qui ne le sauraient pas encore (on a le droit de ne pas tout connaître), cette sœur est irrévérencieuse, politiquement incorrecte, mal polie, brutale, alcoolo et aimerait qu’on lui mette le petit Jésus dans la crèche !



Afin d'apprécier au mieux ses aventures, il faut bien entendu aimer l’humour au second degré, si pas au troisième degré (plus si affinité), ne pas être employé au Vatican, croyant à tendance extrémiste, intégriste et apprécier l’humour potache.



Chez moi, ça avait pris tout de suite et c’est toujours un plaisir de revenir vers cette bonne sœur pas catholique !

J'essaie régulièrement de me rapprocher d'un univers assez obscur à mes yeux, celui de la BD. Une critique de cet album postée sur Babelio m'a donné envie de découvrir "Soeur Marie-Thérèse". L'héroïne est réellement hors normes. Les sept péchés capitaux, et tous les péchés véniels d'ailleurs, n'ont plus aucun secret pour elle, car elle les pratique abondamment au quotidien. J'ai parfois souri au détour d'un bon mot et par le ton anticlérical, mais globalement, je n'ai pas vraiment été séduite. J'ai trouvé le dessin brouillon, effet accentué par le trait noir et blanc. Encore un rendez-vous raté avec la bande dessinée...

Sœur Marie-Thérèse des Batignolles est grosse, moche, alcoolique, un brin toxico et assurément mauvaise comme la gale. Elle déteste à peu près tout et tout le monde à l'exception de son cher Jésus, le jardinier, et la dive bouteille.



Si vous venez chercher des mots de sagesse dans cette BD ou l'amour de votre prochain, vous risquez fort d'être déçu. Le ton est résolument subversif et anticlérical.

Sous couvert d'humour vache, Maëster pointe tous les défauts de notre société. C'est drôle, décalé et jouissif.



Le dessin est très sympa, j'aime beaucoup tous les gags visuels que l'on voit au second plan de l'action principale.

En bref, c'est un vrai régal !

Troisième tome de la série et Sœur Marie-Thérèse est toujours aussi décomplexée.

Elle fiche encore beaucoup de baffes, c'est sa marque de fabrique, ne fait toujours pas vœux d'abstinence, déteste les gosses et picole plus que de raison.

Un moment de franche rigolade.

Pourvu qu'elle garde ce rythme pour les tomes suivants...

Soeur Marie-Thérèse est une religieuse comme on en voit peu. Elle jure, picole, bastonne, fume des joints, rêve aux plaisirs de la chair… La grande classe.

Au-delà de l'évidente critique de l'Eglise, ça vanne, ça jeu de mote, ça déconne à pleins tubes. Chaque case doit être décortiquée pour repérer les petits détails camouflés ici et là. le genre de chasse dont je suis grand fan.
Lien : https://unkapart.fr/umour-et..

Cinquième album de Soeur Marie-Thérèse, qui nous donne une image assez particulière de l'église...

Forte en gueule, cette Soeur n' a rien perdu de son caractère impétueux et de ses propos toujours aussi caustiques. Dans cet album, Soeur Thérèse, Sans Diocèse Fixe, part à la rencontre des plus démunis et tente de lutter contre certains fléaux (mal-bouffe...).

Les dessins, nuancées de gris, sont pleins de vivacité et d'entrain, le moindre petit détail est travaillé.

Une réussite, aussi bien dans le dessin que les dialogues.

Un humour noir, corrosif ... et jouissif !

Un peu en dessous du premier tome ou alors je me suis habituée aux provocations de Soeur Marie-Thérèse.

Elle fiche toujours autant de baffe, fume des pétards, chauffe Jésus le jardinier, vole, jure, etc. bref, la routine.

Les dessins sont très chargés et il faut se concentrer pour pouvoir percevoir tous les calembours.

J'ai moins rit que lors du 1er tome mais je me suis quand même bien amusée.

C'est toujours aussi savoureux que de suivre les ("bonnes") aventures de notre Sœur bien-aimée, toujours autant imbibée de bonnes intentions et de foi(e ?) avec son franc-parler pas toujours si catholique que cela.

De l'humour à volonté, de bons jeux de mots, de belles caricatures et scènes de quiproquo ... J'adore !

Ce que j'ai rit en suivant les aventure de cette sœur qui expérimente tous les pêchés capitaux.

Elle boit, elle fume, elle vole, elle fiche des mandales et elle se bat avec les autres nonnes pour obtenir les faveurs de Jésus, le jardinier.

Alors, oui parfois les gags sont un peu datés et frisent la vulgarité mais, sans subtilité du tout, cette BD dénonce aussi la pédophilie, le racisme, hypocrisie du clergé, l'expropriation des plus pauvres sommés d'aller en banlieue, etc.

C'est jubilatoire.

Dieu que c'est bon, un dessinateur aussi talentueux dans ses caricatures autant que dans ses jeux de mots et détails de dessins. J'ai eu de bons fous rires avec cet auteur pas assez connu à mon goût