Pour certains, le tatouage est comme une affirmation d’une sorte de rébellion personnelle. Pour d’autres, cela correspond à des étapes de leur vie. Pour d’autres encore, c’est strictement décoratif.
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Tiens, prends ça, mon pote. Ta maman aurait dû te dire qu'il ne faut pas déranger les gens quand ils pissent. Et faut pas regarder, non plus. C'est mal élevé...
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Je ne te juge pas Anselmo. D’abord parce que rares sont ceux qui n’ont pas fait de choses dont ils n’ont pas honte ou qu’ils ne regrettent pas, et parce que tu es un ami et qu’on ne juge pas ses amis. On les aide.
Page 33, Le Lombard, 2017.
Certains veulent que leurs tatouages se voient, d’autres qu’ils soient cachés. Tous les goûts sont dans la nature, et quand je dis tous les goûts, je veux dire qu’il n’y a pas de limites à ce que les gens demandent…
Je ne me cache pas. Je me tiens à l'écart. J'ai la conscience tranquille, mais parfois ça n'empêche pas de se faire des ennemis.
Dans la vie, faut rester zen. Des cons et des mal élevés, il y en a partout...
La prudence, c’est quand quelque chose arrive et qu’on est prêt. La paranoïa, c’est quand on se prépare mais que rien n’arrive. Qu’on s’est imaginé des choses.
Mais de quoi est-ce que vous parlez, à la fin ?
- La mise en coupe réglée de tout et de tous. Au bénéfice de quelques-uns qui sont au-dessus des lois et se permettent tout et n’importe quoi, qui s’enrichissent au-delà de ce qui est possible et qui ne partagent rien, qui ne laissent que des miettes aux autres.
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La prudence, c’est quelque chose qui arrive et qu’on est prêt. La paranoïa, c’est quand on se prépare mais que rien n’arrive, qu’on s’est imaginé des choses.
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De nos jours, il y a pour ainsi dire plus de gens tatoués que de gens non tatoués, de plus en plus de gens y viennent, et il paraît que c’est addictif et que ceux qui commencent en veulent toujours plus…
Autrement dit, tant qu’il y aura de la peau à tatouer, je ne suis pas prêt de manquer de clients…
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