Dehors, j’entends les oiseaux chanter leur joie de vivre, célébrer le début du jour, et pourtant, ça sonne comme une symphonie triste pour moi. Cet hymne triste me rappelle une autre nuit pénible, une nuit de plus à être déconnecté de ma réalité, décalé du reste du monde, à endurer mon existence et à me demander pourquoi je me fais autant de mal.