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3.97/5 (sur 12465 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Glasgow, Écosse , le 20/12/1951
Biographie :

Peter May est un scénariste de télévision et romancier écossais, auteur de roman policier.

Il s’est fait un nom à la télévision britannique en créant et transcrivant les scénarios de séries télévisées, très prisées outre-Manche.

Nommé, à 21 ans, "jeune journaliste de l’année", il abandonne le journalisme lors de la publication de "The Reporter" (1978), son premier roman, à l’âge de 26 ans. Il a été porté à l'écran pour la série "The Standard" sur la BBC à une heure de grande écoute. À partir de ce moment-là, Peter May est devenu très connu, à la fois comme producteur, scénariste et réalisateur de séries dramatiques pour la télévision britannique, signant plus de 1000 scénarios en 15 ans, tel que "Take the High Road" qui fût diffusé dans le monde entier.

Dans les années 90, il est également co-auteur et producteur d’une grande série dramatique en langue gaélique, "Machair" tournée sur l’ile de Lewis, aux îles Hébrides et qui fût nominée au Festival du Film Celtique.

Toujours à la recherche d’un nouveau défi, en 1996 il décide de quitter la télévision et l’Écosse pour s’installer en France et retourner à ses premières amours : l’écriture de romans.

Très vite il part en Chine, un pays qui le fascinait depuis longtemps, y séjournant chaque année plusieurs mois. Il a pu accéder aux coulisses des enquêteurs chinois en criminologie pour effectuer les recherches nécessaires à ses romans. En reconnaissance de son travail, il a été nommé membre honoraire de l’association des écrivains de romans policiers chinois à la section de Pékin.

"Meurtres à Pékin" ("The Firemaker", 1999) est le premier roman de sa série chinoise publié en France, une série dans laquelle deux mentalités s’affrontent, celle du commissaire Li Yan et celle d’une Américaine médecin légiste.

Son best-seller "La trilogie Écossaise" ("The Lewis Trilogy", 2011-2013), a remporté de nombreux prix littéraires français. En 2015, il obtient le Trophées 813 pour "L'île du serment" ("Entry Island", 2014).

Auteur prolifique, Peter May a vendu plus de 17 millions de romans dans la vingtaine de pays où il est publié. "Les disparus du phare" ("Coffin Road", 2016) est au palmarès des meilleures ventes en France.

Naturalisé français depuis le 19 avril 2016, il habite dans le Lot.

sites :
http://www.petermay.co.uk/
https://maypeter.com/
http://www.petermay.info/
http://www.ur-web.net/FrenchHome/PMFrancais/accueil.html

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Source : http://www.etonnants-voyageurs.com
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À l'occasion de la 20ème édition du festival "Quais du Polar" à Lyon, Peter May vous présente son ouvrage "Tempête sur Kinlochleven" aux éditions Rouergue Noir. Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/3037724/peter-may-tempete-sur-kinlochleven Note de musique : © mollat Sous-titres générés automatiquement en français par YouTube. Visitez le site : http://www.mollat.com/ Suivez la librairie mollat sur les réseaux sociaux : Instagram : https://instagram.com/librairie_mollat/ Facebook : https://www.facebook.com/Librairie.mollat?ref=ts Twitter : https://twitter.com/LibrairieMollat Linkedin : https://www.linkedin.com/in/votre-libraire-mollat/ Soundcloud: https://soundcloud.com/librairie-mollat Pinterest : https://www.pinterest.com/librairiemollat/ Vimeo : https://vimeo.com/mollat

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Citations et extraits (1178) Voir plus Ajouter une citation
Quand on entre dans une maison de retraite, on voit un tas de vieux, simplement assis là. Le regard dans le vide, le sourire triste... Et pourtant, derrière chacun de ces regards, il y a une vie, une histoire qu'ils pourraient nous raconter. De douleur, d'amour, d'espoir et de détresse. Toutes ces choses que nous ressentons, nous aussi. Devenir vieux ne fait pas de toi quelqu'un qui vaut moins que les autres, quelqu'un de moins réel. 
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C'est le privilège des femmes de commencer par tergiverser pour finir par décider toutes seules.
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La tempête s’était calmée, mais le vent était encore violent et la mer, haute et furieuse, battait la côte. D’immenses nuages, déchiquetés par le vent, filaient à toute vitesse au-dessus de nos têtes, laissant passer, par endroits, les rayons du soleil qui coloraient le paysage de nuances changeantes de vert, de mauve et de brun.
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Un vent léger poussait les nuages d'altitude à travers le ciel d'encre et les étoiles ressemblaient à des joyaux incrustés dans l'ébène. La clarté argentée de la lune presque pleine apparaissait par intermittence. Le son de l'océan emplissait l'atmosphère, la respiration lente et régulière de l'éternité.
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Le nord de Lewis était plat comme la paume de la main. Pas une colline, pas une montagne. Les intempéries le traversaient toujours au galop, de l’Atlantique jusqu’au Minch. Le temps changeait constamment. La lumière et l’ombre se succédaient en permanence, l’une derrière l’autre, pluie, soleil, ciel d’orage, ciel bleu. Et les arcs-en-ciel. Mon enfance en est pleine. En général, par paire. Nous en vîmes un ce jour-là, qui se formait rapidement au-dessus des tourbières. Ses couleurs éclataient contre le plus noir des ciels d’orage. Une beauté qui vous laissait muet.
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- Contrairement à toi, j'ai des responsabilités.
- Ta mère ?
- Ouais, ma mère.
- Elle est encore vivante ?
- Nan, je l'ai emmenée chez le taxidermiste pour la faire empailler, comme ça on l'a assise à côté du feu et elle nous tient compagnie le soir. Evidemment qu'elle est encore en vie ! Tu penses que j'aurais moisi ici toutes ces années si ce n'était pas le cas ?
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Pour cacher quelque chose, le meilleur endroit était souvent le plus visible. En général, les gens ne voient pas ce qui leur crève les yeux.
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Les jeunes sont trop occupés avec leur propre vie. Et il est facile d'oublier que vos parents ont une vie eux aussi. Des sentiments. Que ce n'est pas parce que l'on vieillit que cela disparaît.
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Je sais maintenant ce que l'on éprouve lorsque son enfant va à l'école pour la première fois. Une sensation de perte et de changement irrémédiable. Je sais que c'est ce que ma mère a ressenti. Cela se voyait sur son visage, avec, en plus, le regret d'avoir raté cet instant.
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Quand ils étaient assez secs, on venait avec un tracteur et une remorque pour les ramener à la ferme afin d’y faire notre grand tas bossu de tourbe, rangé en chevrons pour faciliter le drainage. Une fois complètement secs, les pains de tourbe devenaient imperméables et alimentaient le feu pendant toute la durée de l’hiver. La découpe était l’étape la pire, surtout si le vent tombait. Parce qu’alors, les puces vous sautaient dessus. Des bestioles minuscules, qui vous dévoraient. La malédiction écossaise. Seule, une puce est si petite qu’on la voit à peine, mais elles se rassemblent en paquets, de gros nuages noirs, qui vous envahissent les cheveux et les vêtements, et se nourrissent de votre chair. Enfermé dans une pièce remplie de puces, la folie vous gagnerait avant la fin de la journée. Et parfois, c’était un peu ce qui se passait lorsque l’on découpait la tourbe.
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