Citations de Morris (837)
(Banderoles traversant l'artère principale de la petite ville de Cow Gulch.)
VIVE LA VIANDE ! RIEN N'EST PLUS BEAU QU'UN BŒUF !
BIENVENUE AU BÉTAIL ET AUX CONGRESSISTES !
CASH CASEY : Parfait, parfait ! Tout ça est de très bon goût.
VERNON FELPS : Grand-Pa a raison ! Aux armes ! Mort aux éleveurs ! Vivent les fermiers et vive le fil de fer barbelé ! Le barbelé, c'est le symbole de notre liberté !
LUCKY LUKE : Vous vendez des réverbères mais il n'y a pas le gaz à Virginia City !
LE REPRÉSENTANT DE COMMERCE : Croyez-vous que ce détail préoccupe les chiens ?
- Mon service est terminé, Sir ! Je demande la permission de me retirer.
- Si ton service est terminé, tu peux m’appeler Papa, mon garçon… Qu’est-ce que c’est ?
- C’est l’alerte, Papa.
- Je sais bien que c’est l’alerte, cavalier ! Et quand c’est l’alerte, le service reprend ! Vous serez puni pour avoir appelé votre colonel Papa !
CASH CASEY : Cette nuit, vous vous glisserez pour couper les barbelés et dès qu'ils seront coupés, vous ferez le signal, et nous enverrons sur la ferme un troupeau en panique...
PREMIER COW-BOY : Ça c'est astucieux, Patron !
DEUXIÈME COW-BOY : Subtil même.
Chien Enragé: "Qu'est-ce que c'est?
Petite Cervelle: De la fumée à l'horizon ô Chien Enragé grand chef.
CE: Je le vois bien que c'est de la fumée à l'horizon, Petite Cervelle, mais que dit-elle?
PC: Il y a de la fumée à l'horizon
CE (qui se lève et brandit son arme): Tu veux un coup de tomahawk sur le scalp?
PC: C'est de ma faute à moi s'il y a de la fumée à l'horizon qui dit qu'il y a de la fumée à l'horizon?"
JOE DALTON : Pas dangereux les Dalton ?!! Je suis Joe, et là, c'est William, Jack et Averell Dalton ! Nous passons notre vie à nous évader pour aller piller les banques, les trains et les diligences !
LE JUGE : Allons, allons, ne vous noircissez pas à plaisir ! J'affirme qu'en tout homme gît une étincelle de bonté... Ce n'est pas dans un pénitencier que ladite étincelle peut se changer en brasier de pur altruisme. Petit polisson, va !
LUCKY LUKE : Minute ! Je proteste ! Manifestement, le juge ne sait pas lire !...
LE JUGE : Pas lire ?... Moi ??!! [...] Que l'accusé écrive quelque chose ! Je lirai devant tout le monde pour prouver que je sais lire... Le public peut prendre des paris sur le fait que je sais lire... Une amende à ceux qui ne parient pas !
LUCKY LUKE : Tenez, juge ! Lisez ça...
LE JUGE : Hmm... Ne me bousculez pas ! Il y a un tas de lettres là-dedans... Le... juge... est... une... vieille... fri... pouille...
LE CHEF DE GARE : Il a raté le train du mois dernier de deux minutes. Depuis il attend le suivant...
[...]
LE VOYAGEUR : Je vais faire un petit tour...
LE CHEF DE GARE : Ne vous éloignez pas trop. Le train peut arriver d'un jour à l'autre !
Pan ! Pan ! Pan ! Pan ! Pan ! Pan ! Pan ! Pan ! Pan !
LUCKY LUKE : Allons-y Jolly ! Interposons-nous ! Du calme ! Assez !
SUNG POO YANG : Si l'honorable étranger veut accepter d'avoir la sagesse de s'éloigner.
TCHONG YEN LI : Nous aurons l'audace de poursuivre cette discussion d'affaires entre nous.
LA BATAILLE DU RIZ.
Messieurs, un jour, les vaches s’habitueront à regarder passer les trains ! J’irai même jusqu’à dire qu’elles y prendront plaisir !
Jack Dalton (lisant une lettre de Ma Dalton à ses frères) :
- et c'est en voyant ce Monsieur Lucky Luke que j'ai eu l'idée de vous écrire, soyez sages, couvrez-vous si vous vous évadez et je vous ... c'est quoi cette lettre ?
William : c'est un "g"
Jack : et je vous engrasse gien fort, et Averell mon gégé...
LUCKY LUKE : Pas mal Waldo, mais tu devrais t'abstenir de crier " À l'hallali " quand tu poursuis tes veaux.
- Les guirlandes sont en place.
- Moi aussi je suis en place ! Alors, les saucisses, ça vient ?
- À TABLE !
- Mais j'y suis déjà, à table !
- On le saura, Old Timer !
(...)
- Je pense vous avoir convaincus qu'il ne se passe rien d'anormal à Gold Hill.
- Ouais ! Pour ce qui est des fantômes, vous aviez raison, il n'y en a pas beaucoup !
- C'est comme pour les saucisses !
- Salut ! Ça va ?
- Pas fort. Le tirage baisse. Je n’ai vendu qu’un exemplaire de ma dernière édition. C’est le marchand de poisson qui l’a acheté, et encore il se plaint que le papier soit imprimé...
- Alors, Pied-Tendre, en plein territoire indien, on se sépare de son artillerie ?
- On peut difficilement se baigner avec un revolver !
- Ça confirme ce que je pensais… Il est dangereux de se baigner !
LE SHÉRIF : Haut les mains ! Je ne sais si vous dites vrai, mais il me paraît plus sage de vous pendre à tout hasard...
LES VILLAGEOIS : Ouais ! Le shérif a raison ! Ouais ! Assez causé ! Pendons ! J'ai de la corde !
LUCKY LUKE : Mais enfin ! Si je n'appartiens pas à la bande des Dalton, vous allez pendre un innocent !
LE SHÉRIF : Bah ! Si on ne pendait que les coupables, on ne rigolerait pas souvent au Texas !...
- Ugh ! La cavalerie !
- Cavalerie toujours arriver au mauvais moment ! Indiens jamais pouvoir finir travail à cause d'eux ! Ugh, alors !
Il fallait s'y attendre ! C'est l'expédition punitive de notre expédition punitive !! Nous allons faire une expédition
punitive pour leur apprendre à ne plus faire d'expéditions punitives après nos expéditions punitives.
Main d'œuvre bon marché, de nombreux Chinois furent importés aux États-Unis pour travailler à la construction du chemin de fer. Ces nouveaux immigrants, bien qu'orientaux, firent bientôt partie de l'histoire de l'Ouest.
LA BATAILLE DU RIZ.