Quand on a la chance d’être un pionnier dans un art, on ne s’interdit rien. Car les « règles » à la con qu’on s’imagine juste parce les précurseurs ont fait si ou ça n’existent pas encore.
C’est toujours un combat d’accéder à la liberté.
Je rêvais d'une autre terre
Qui resterait un mystère
Une terre moins terre à terre
Oui, je voulais tout foutre en l'air
Je marchais les yeux fermés
Je ne voyais plus mes pieds
Je rêvais réalité
Ma réalité, ma réalité
Oui, je rêvais de notre monde
Et la terre est bien ronde
Et la lune est si blonde
Ce soir dansent les ombres du monde
A la rêver immobile
Elle m'a trouvé bien futile
Mais quand bouger l'a fait tourner
Ma réalité m'a pardonné
M'a pardonné
Ma réalité m'a pardonné
Dansent les ombres du monde
Dansent les ombres du monde
Dansent les ombres du monde
Dansent les ombres du monde
Dansent, dansent, dansent, dansent, dansent
Dansent, dansent, dansent, dansent, dansent
Dansent, dansent, dansent les ombres du monde
- Figure-toi que j'ai dans ma poche une photographie de la femme que j'aime. Tu aimerais la voir ?
- oui, bien entendu... Tu t'es trompé, c'est un miroir de poche.
Le peintre et résistant Enrico Pontremoli dessine et imprime un autre médaillon représentant Hitler pour le coller clandestinement sur l’Affiche rouge à la place des portraits des dix résistants. Et il l’accompagne de ce pastiche : « Adolf Hitler- Autrichien - 11 millions de morts, 25 millions de blessés. »
La force de la propagande, c’est justement d’utiliser des éléments réels pour les tordre dans le sens qu’on veut donner à l’Histoire.
Savoir qu'on ne reverra jamais ce qu'on a aimé ... elle est là la vraie douleur.
« Merci », c’est vraiment la dernière chose à dire à une femme après l’amour.
D’innombrables devoirs me bousculent et m’assaillent, si bien que je ne sais plus derrière lequel courir.
Chez les civilisés, le bâtiment principal dépasse toujours, afin que le peuple se sente écrasé par la puissance des autorités.